À propos du The Umbrella Academy en quelques mots:

The Umbrella Academy est une série télévisée de super-héros populaire basée sur la série de bandes dessinées du même nom de Gerard Way et Gabriel Bá. La série suit l’histoire de sept frères et sœurs adoptifs, chacun avec leurs propres pouvoirs et personnalités uniques, alors qu’ils se réunissent pour résoudre le mystère de la mort de leur père et empêcher une apocalypse imminente. La série est connue pour son humour noir, ses personnages complexes et son mélange unique de genres, notamment la science-fiction, la fantasy et le drame.

Découvrez les méchants d’Umbrella Academy

Hazel

Hazel, c’est ce type qui te surprend toujours — calme comme un lac et capable de te trancher la gorge avant que tu comprennes quoi que ce soit. Il a ce mélange dingue de maladresse romantique (vraiment, il ferait presque des bouquets) et de métier de tueur hyper pro, ce qui donne des scènes à la fois tristes et drôlement gênantes. Il fume, il aime les pâtisseries, il oublie parfois pourquoi il est là, puis se rappelle qu’il a un boulot à finir — humain mais implacable, you know? Parfois il paraît bête et on l’aime, puis bam il devient efficace et tu te demandes comment t’as pu lui faire confiance.

Axel

Axel, c’est le gars rugueux dans l’ombre: pas besoin d’un grand discours, il agit, souvent mal luné, toujours prêt à se battre pour une raison que lui seul connaît. Il a un drôle d’humour sec, un peu méprisant, et un tic (tape-tape sur sa montre, ou c’est un porte-clés, je confonds toujours) — petit détail qui te fait sourire dans les moments tendus. Il peut être incroyablement loyal, ou disparaître comme par magie, ce qui rend son côté imprévisible fascinant. Franchement c’est le type dont tu te méfies mais que tu admires en secret, même si parfois il a des goûts bizarres en chaussettes.

Cha Cha

Cha Cha est folle de calme et d’efficacité, une tueuse presque joyeuse, qui t’envoie un bisou avant de te planter (vraiment chaud/froid total). Elle est souvent silencieuse, mais quand elle parle c’est glacial et drôle, un peu comme une poupée cassée — sauf qu’elle casse vraiment tout sur son passage. Elle adore les petites choses mignonnes, paradoxalement; tu pourrais la voir acheter un nounours entre deux missions, et honnêtement ça te dérange plus que ça ne devrait. En plus j’ai l’impression (peut-être faux) qu’elle a un faible pour les comédies romantiques? Bref, terrifiante et étrangement stylée.

Carl Cooper

Carl Cooper joue le type bureaucrate, le visage rond derrière des piles de dossiers, le stylo toujours prêt, et pourtant il a ce regard qui n’annonce rien de bon. Il aime les procédures, les formulaires et parler comme si tout était parfaitement logique — même quand c’est totalement immoral. Oui il sourit, beaucoup, parfois trop, et on se demande s’il sourit pour couvrir quelque chose; parfois il est presque sympathique, parfois c’est du froid professionnel. En vrai il a un petit carnet où il note tout, même des chiffons de phrases, et je jure que ça le rend plus flippant.

Carmichael

Carmichael, c’est l’archétype du petit chef sans cœur mais avec un costume impeccable et une montre qui brille trop. Il fait des plans, des réunions, il adore les cartes, les tableaux, les flèches rouges — un vrai stratège bureaucratique qui te broie dans un rapport. Il parle doucement mais on sent le venin, genre rassurant et létal, et il peut te trahir avec un sourire poli. Et oui, parfois il a une façon de marcher qui ressemble à une danse bizarre, je ne sais pas si j’invente ça mais c’est flippant et classe à la fois.

The Handler

La Handler, oh la Handler — reine du maniement, manipuleuse élégante, absolument terrifiante sous ses gants et ses perles. Elle a ce style impeccable, ce rire qui fait froid dans le dos, et la capacité de te plier comme une feuille; tu la sous-estimes une seconde, elle t’enterre la décennie. En même temps elle peut être étonnamment maternelle (attends, c’est pas compatibilité?), genre elle range ton agenda et après te donne un ultimatum mortel, incroyable contraste. C’est la méchante glamour: on adore la détester, on admire ses costumes, et parfois tu te surprends à vouloir un café avec elle — grosse erreur probable.

Leonard Peabody

Leonard est ce personnage doux-amère, charmant avec un sourire trop parfait et des secrets qui pourrissent tout, tu le sens arriver mais tu veux y croire quand même. Il a la voix gentille, l’allure de garçon pas dangereux, puis tu découvres un truc horrible derrière et pof, la trahison te saute à la figure; romantique toxique en gros. Il collectionne des petites choses sentimentales (photos, lettres, je ne sais quoi) et en même temps il a ce côté immature et dangereux — hyper attachant et complètement brisé. Parfois il paraît vulnérable et t’as envie de le consoler, puis il fait un truc irréparable; compliqué, tragique, fascinant.