À propos du A Discovery of Witches en quelques mots:

« Découverte des sorcières » est une série télévisée basée sur le roman à succès de Deborah Harkness. La série suit l’histoire de Diana Bishop, une sorcière qui découvre un manuscrit mystérieux qui attire l’attention de diverses créatures surnaturelles, y compris des vampires et des démons. Alors qu’elle navigue dans ce monde dangereux, elle tombe amoureuse d’un vampire nommé Matthew Clairmont et ensemble, ils doivent démêler les secrets du manuscrit tout en se protégeant de ceux qui cherchent à leur nuire. La série est remplie d’intrigue, de romance et de magie, ce qui en fait un incontournable pour les fans du genre.

Découvrez les personnages d’A Discovery of Witches

Matthew Clairmont

Matthew, c’est ce mélange insaisissable de scientifique froid et de protecteur torride, toujours avec ce regard d’un masque qui cache trop de choses. Il parle comme un professeur, bouge comme un chasseur (parfois il semble presque maladroit avec les émotions — ou il simule ?), et ses côtés doux et terrifiants s’alternent sans prévenir. Il collectionne des spécimens (insectes ? vieux tableaux ? les deux, sûrement les deux) et a une passion ridicule pour la musique classique à 3 heures du matin. On l’imagine implacable mais il rit parfois bêtement devant un chat — oui, un chat, vraiment.

Diana Bishop

Diana est la bonne âme têtue du coin: historienne, sceptique puis complètement incapable de rester raisonnable quand le mystère l’appelle. Elle aime les livres comme on respire, mais paradoxalement elle oublie toujours où elle a posé ses clés (ou son grimoire, selon l’humeur). Curieuse, loyale et bizarrement maladroite dans les relations amoureuses, elle a ce feu tranquille qui peut devenir une tempête — littéralement. C’est le genre de personne qui mettrait une tasse de thé sur un parchemin ancien, puis s’excuserait auprès du parchemin.

Emily Mather

Emily a ce petit parfum de tragédie ancienne — on sent qu’elle a vécu avant que la plupart des gens n’aient des noms modernes. Mystérieuse, parfois froide, parfois presque enfantine; elle joue avec les règles comme si elles étaient des rubans qu’on peut défaire. Elle parle peu mais chaque mot compte, et on dirait qu’elle collectionne des regrets comme d’autres collectionnent des timbres. Petite note étrange: j’ai l’impression qu’elle aime les pommes cuites au four, mais je ne suis pas sûr d’où ça vient.

Sarah Bishop

Sarah, l’oncle (ou tante?) omniprésente et adorablement intrusive — non mais sérieusement, elle connaît tout le monde et toutes les rumeurs avant même qu’elles n’existent. Elle est pratique, chaleureuse, un peu protectrice en mode “je t’ai toujours dit de ne pas sortir tard” mais avec une capacité étonnante à dire les choses qui font mal de façon honnête. Elle a un humour sec, range des bibelots bizarres et parfois pleure devant des pubs pour animaux (ou alors c’est du mascara, qui sait). On la voit toujours comme le point d’ancrage humain dans le chaos surnaturel.

Domenico

Domenico, le vampire charmeur mais pas complètement sérieux, toujours prêt à sortir une blague (ou une dague, selon le besoin). Italien jusqu’au bout des ongles, il adore la bonne nourriture, le vin, et les conversations qui tournent autour des complots — il participe à la fois pour l’adrénaline et pour le dessert. Loyal comme un chien (mais raffiné), il a aussi ce côté facétieux qui te surprend au pire moment. Et oui, il pourrait très bien porter un chapeau ridicule et l’assumer avec un sourire assassin.

Peter Knox

Peter, l’archétype du méchant brillant qui croit être tragiquement incompris — arrogant, ambitieux et toujours sur le point de faire quelque chose de très stupide mais calculé. Il collectionne les secrets comme d’autres collectionnent les trophées, et il a ce talent inquiétant pour retourner une situation en sa faveur (même quand tout semble perdu). Il parle beaucoup, parfois trop, et on sent qu’il adore entendre sa propre voix — en particulier quand il récite des noms latins. Petit détail horrible: il a un goût étrange pour les gilets en tweed, je jure.

Gerbert D’Aurillac

Gerbert est la vieille école vampirique: érudit, inquiétant, aristocratique et très, très patient (et parfois il boude, oui, le vieux bougonne). Il règle les choses avec des manières polies et des menaces voilées, et on sent qu’il manipule les bouts d’histoire comme un joueur d’échecs qui sourit trop. Il adore le pouvoir sous toutes ses formes et porte souvent un parfum d’antiquité — littéralement, parfois il sent le parchemin. Parfois il laisse tomber des conseils presque gentils, mais ne vous y trompez pas, c’est un calcul.

Susanna Norman

Susanna est ce mélange surprenant de chaleur humaine et de pragmatisme affûté; elle soutient mais elle vous remet aussi à votre place quand il le faut. Elle a un rire contagieux, adore la bonne bouffe et connaît des méthodes empirico-pratiques pour tout (soigner, convaincre, embrouiller les bureaucrates). Elle peut paraître douce, mais elle a des nerfs d’acier et des sous-entendus qui cliquettent comme des outils. On jurerait parfois qu’elle collectionne des cartes postales de lieux qu’elle a jamais visités — sauf peut-être une fois.

Satu

Satu, sauvage, rapide, et terriblement loyale — la Viking scandinave du groupe qui arrive comme un orage. Elle est directe, sans fioritures, adore les armes blanches mais a un faible embarrassant pour les choses mignonnes (oui, la contradiction parfaite). Elle parle peu parfois, mais chaque mot pèse; et bon sang, elle frappe dur quand il le faut. Petits trucs: elle pourrait vous offrir un cadeau hyper réfléchi, puis le jeter nonchalamment sur la table comme si de rien n’était.

Ysabeau De Clermont

Ysabeau est la matriarche royale et intimidante, on la respecte comme on redoute un hiver long: beauté froide, stratégies familiales et un amour très profond (mais pas toujours démonstratif). Elle gère les querelles familiales comme on taille un diamant — précision et sans hésitation — et pourtant elle a des moments étonnamment tendres (surtout quand il s’agit de thé ou de musique ancienne). Elle pourrait vous cuisiner un plat sublime et vous menacer poliment dans la même phrase. Parfois elle semble inflexible, parfois elle s’autorise des petites folies — c’est ça qui la rend fascinante.