À propos du Utopia en quelques mots:

Utopia est une série télévisée britannique qui suit un groupe de fans de bandes dessinées qui découvrent un manuscrit pour un roman graphique qui prédit des catastrophes réelles. Alors qu’ils essaient de découvrir la vérité derrière le manuscrit et ses origines, ils se retrouvent poursuivis par une organisation mystérieuse prête à tout pour garder leurs secrets cachés. La série explore les thèmes de la conspiration, de la paranoïa et des frontières floues entre réalité et fiction.

Découvrez les personnages d’Utopia

Dr. Kevin Christie

Dr Kevin Christie, c’est le savant fou à la fois brillant et complètement effondré—mais pas toujours en même temps, parfois il a ses bons jours, vraiment. Il porte la culpabilité comme un manteau trop lourd et fait des choix terrifiants en se convaincant que c’est pour le bien (ce qui est peut-être vrai, ou pas). Il est hyper logique, froid sur le papier, mais attend, il aime les vieux films romantiques à 3h du matin et collectionne des tasses qu’il n’utilise jamais; étrange, non? On sent toujours qu’il va craquer ou s’effondrer en sanglots, souvent les deux dans la même scène.

Becky

Becky, wow, Becky est une tornade: furieuse, intelligente, débrouillarde et un peu dangereuse quand elle s’y met. Elle bricole, fouille, ment quand il faut et a un humour sec qui te coupe net — mais elle peut fondre pour un chat ou une chanson mauvaise, c’est très contradictoire et j’adore ça. Elle est la reine des plans improvisés (avec parfois des erreurs stupides, soyons honnêtes) et elle mange des biscuits comme si sa vie en dépendait, sauf quand elle prétend être végétarienne; aucun sens, mais drôle. Bref, elle est à la fois too much et insupportablement humaine.

Ian

Ian est le cœur moral du groupe, l’idéalisme qui porte la fatigue des autres; il pense toujours aux conséquences, parfois à l’excès. Il est doux mais obsédé par la vérité, genre vraiment — il garde des catalogues, des notes, des listes, et oui, il a une sacoche moche qu’il chérit comme un talisman. Parfois il est maladroit socialement, parfois il agit comme un général; ça dépend du chapitre, haha, c’est confus mais touchant. Il déteste les téléphones mais passe des heures à lire des forums sur son téléphone, ironie parfaite.

Wilson Wilson

Wilson Wilson, personnage délicieux: tout en spectacle, costumes impeccables, sourire trop large et voilà, il peut te vendre la lune et la remettre en boîte. Il adore le pouvoir, la forme, le contrôle — mais il garde aussi un jardin secret kitsch où il cultive des capucines; un ministre avec des gants de jardinier, sérieux. Il est charmant, manipulateur, profondément blessé peut-être, et en même temps il aime les napperons et les romans d’amour à l’eau de rose (ne le dites à personne). C’est le type qu’on déteste aimer et qui change constamment d’étiquette.

Grant

Grant est la blague froide de la bureaucratie: sec, précis, sans patience pour la poésie, mais attention, il sait comment faire plier une admin avec un seul regard. Il porte l’efficacité comme une armure et adore les dossiers impeccables, les classeurs, les timings serrés — et en parallèle il fait de l’origami à base de feuilles de rapport (vrai ou faux? peut-être vrai). Il a peu d’humour apparent mais quand il rit, c’est comme si un mécanisme se débloquait; surprenant et un peu flippant. Bref, on le voit comme un méchant administratif mais parfois on sent une humanité cachée (ou c’est un leurre).

Alice

Alice, elle est petite mais explosive, genre une bougie qu’on souffle et qui reprend de plus belle; tendre et féroce en alternance. Elle a une sorte d’innocence casse-cou — fait des choses sans calculer, parfois super imprudente, parfois adorablement lucide, toujours imprévisible. Elle colle des autocollants partout (véritablement, partout) et parle aux plantes quand elle est stressée; c’est à la fois mignon et un peu inquiétant. On sent qu’elle pourrait tout perdre ou tout sauver, souvent dans la même scène — et ça te garde en alerte, forcément.

Thomas Christie

Thomas Christie est ce personnage ambivalent qui te rend malade et fasciné: fils prodigue, rageux, mais aussi profondément blessé. Il oscille entre loyauté familiale et dégoût pour ce qu’on attend de lui, il crie, il pleure, puis il rigole comme si tout était une blague très mauvaise; on sait jamais sur quel pied danser. Il adore les gadgets bizarres (vraiment, collection étrange) et déteste l’eau, sauf quand il nage à minuit — contradiction parfaite, non? Bref, dangereux mais humain, et c’est exactement ce qui le rend magnétique.