À propos du Suburra en quelques mots:

Suburra : Sang sur Rome est un drame criminel de Netflix situé à Rome, en Italie, où des politiciens puissants, des criminels impitoyables et des responsables de l’église corrompus se disputent tous le contrôle de la ville. La série suit les vies interconnectées d’un gangster, d’un politicien et d’un policier corrompu, alors qu’ils naviguent dans le monde dangereux du pouvoir et de la tromperie.

Découvrez les personnages de Suburra

Aureliano Adami

Aureliano, c’est ce type qui a l’air toujours à deux doigts d’exploser mais qui cache une loyauté bizarrement douce — contradiction vivante, je te jure. Il marche la nuit avec une cigarette (ou peut-être deux), regard fuyant et colère contenue, et puis soudain il peut être incroyablement tendre, surprise! Il a ce côté “je gère tout seul” mais en fait il traîne toujours des secrets de famille et des dettes morales énormes. Parfois il paraît froid comme la pierre, et cinq minutes plus tard il fait un truc impulsif et presque romantique (non je me contredis, c’est le charme). Ah et il a un geste bizarre avec sa montre, que personne n’explique, mais ça le rend plus terrible et humain en même temps.

Alberto ‘Spadino’ Anacleti

Spadino, quelle boule d’énergie — flamboyant, drôle et mortel quand il faut, genre charmeur mais dangereux, t’as capté ? Il mêle humour noir et colère vraie, il joue les clowns mais c’est souvent une façade pour protéger un truc très sérieux (la famille, la fierté, tout ça). Il a un style incroyable, un flingue caché et un sens du drame à rendre jaloux un acteur — parfois il exagère, parfois il est juste brut de décoffrage. Oui il est impulsif, oui il aime la scène, mais il sait être froidement efficace, et ça surprend toujours. Petite anecdote peut-être inventée: il collectionne des portefeuilles vides, ou c’est un truc qu’on m’a raconté, bref ça marche.

Amedeo Cinaglia

Amedeo, l’élu un peu perdu — politicien en costard, sourire facile, mains qui tremblent parfois (ok peut-être pas tout le temps), et des ambitions qui le dépassent. Il végète entre naïveté et cynisme (à part quand il est très sûr de lui, puis non, encore une contradiction), mais il sait manipuler les mots comme personne quand il faut paraître irréprochable. Il a la tête d’un type qui veut faire bien, et le cœur d’un type qui se laisse corrompre par les compromis — tragique et fascinant. Parfois il fait des gestes maladroits qui le rendent affreusement humain, genre acheter des fleurs hors saison, ou est-ce qu’il les oublie toujours? Bref, un mélange d’espoir, de peur, et de petites trahisons quotidiennes.

Angelica Sale

Angelica, reine discrète du jeu, elle te manipule sans que tu t’en rendes compte et après tu l’aimes presque pour ça — froide mais passionnée, et terriblement intelligente. Elle a ce style aristocratique (ou est-ce juste du paraître?), voix calme, et une détermination qui ferait pleurer un bulldozer; elle pense dix coups d’avance et sourit comme si c’était facile. Parfois elle semble tendre, parfois glaciale; je jure qu’elle garde une boîte de chocolats dans le tiroir et jamais la même excuse pour la cacher. Elle est centrale, surtout parce qu’elle sait ce que les autres veulent avant même qu’ils le sachent, et ça la rend effrayante et magnétique à la fois.

Adelaide Anacleti

Adelaide, oh la matriarche qui te regarde comme si tu avais fait une erreur cosmique — protectrice, violente quand il faut, mais aussi curieusement super organisée, genre liste et agenda, plus foi inébranlable en la famille. Elle est loyale au clan comme une vieille gargouille l’est à la cathédrale: immobile mais toujours là, prête à cracher du feu quand on touche à ses proches. Parfois elle pleure en secret (ou peut-être pas, je me rappelle mal), parfois elle récite des prières en mangeant des pâtes à minuit — contradictions, j’adore. Elle a cette force qui rend tout le monde nerveux; en même temps elle aime les petites traditions idiotes, comme garder une vieille serviette qui n’a plus de sens.

Samurai

Samurai, le boss silencieux: maîtrise totale, cool absolu, et une aura de danger qui te prend à la gorge sans même qu’il ouvre la bouche. Il est calculateur, stratège, respecté et redouté — mais parfois il te surprend en faisant un geste humain, genre arroser une plante ou sourire à un chien, je l’ai vu, ou c’est dans ma tête, qui sait. Il a un code d’honneur bizarrement strict (mais il transgresse ses propres règles quand ça l’arrange), et une élégance froide qui te laisse sans voix. Bref, un mélange de samouraï mythique et de patron de Rome: impénétrable, dangereux, et un peu mélancolique juste pour la touche.