À propos du Moon Knight en quelques mots:

Moon Knight est une nouvelle série Marvel qui suit l’histoire de Marc Spector, un ancien agent de la CIA devenu justicier qui souffre de troubles dissociatifs de l’identité. Alors qu’il navigue entre ses différentes personnalités, il combat le crime et démantèle des individus corrompus à New York. La série est connue pour ses scènes d’action palpitantes et son développement de personnage intense.

Découvrez les personnages de Moon Knight

Marc Spector

Marc, c’est ce héros qui te donne envie de l’applaudir et de lui demander de s’arrêter en même temps — ex-mercenaire, bourré de culpabilité et ridiculement loyal. Il cogne d’abord, pose des questions après (ou parfois jamais), mais il a ce côté tendre et protecteur qui revient comme un tic. Parfois il est profond, parfois il parle comme un gars un peu bourru qui préfère le café noir et les blagues nulles — jure qu’il n’a pas pleuré mais bon, il a les yeux humides sur certaines nuits. Il porte des cicatrices, des bandes et un sens du devoir qui fait horreur aux compromis, et honnêtement il aime les pigeons, je suis presque sûr.

Arthur Harrow

Harrow est le méchant qui pense vraiment, vraiment que ce qu’il fait est juste, ce genre de philosophe froid avec un sourire de tueur à l’éthique. Il a une foi terrible et jolie dans l’équilibre cosmique, et quand il parle de « sauver des vies » on sent la folie qui bulle dessous — très poli, très déterminé, très dangereux. C’est le type qui écoute Beethoven en nettoyant ses instruments de torture (ok j’exagère mais vous voyez l’idée), et il peut être incroyablement calme avant d’exploser. Il t’énerve mais d’une façon fascinante, parce que son charisme presque doux te donne envie d’écouter ses théories horribles.

Layla El-Faouly

Layla, quelle héroïne — archéologue badass, acrobate, et clairement la plus humaine de la bande quand il faut rester rationnel (ou la plus folle quand elle veut). Elle est sarcastique, loyale à mort, et sait se battre mieux que la plupart des mecs — et en plus elle a ce rire qui te sauve la journée dans les pires moments. Parfois elle joue la prudente, puis elle se jette tête baissée dans le danger comme si c’était un sport, je ne sais pas, elle est paradoxale et c’est génial. Ça sent l’aventure, les reliques et les répliques cinglantes, et j’ai l’impression qu’elle collectionne des foulards invisibles ou quelque chose comme ça.

Khonshu

Khonshu, le dieu-lune, est tout à la fois protecteur, capricieux et très théâtral — il adore les grandes déclarations et les entrées dramatiques, genre toujours sous les projecteurs lunaires. Il donne du pouvoir mais il veut quelque chose en retour (spoiler: souvent ton cerveau), et on le sent fier mais aussi un peu jaloux, possessif même, comme un dieu qui tient à son trésor. Parfois il parle avec sagesse, parfois il est cruel pour des raisons qui semblent — selon lui — divines; on est à la fois impressionné et terrifié. Il a un côté animal et ancien, et honnêtement je le vois bien collectionner des petites statuettes ratées dans un coin de palais.

Billy

Billy c’est la partie douce et cassée, un gamin perdu qui parle comme s’il avait 10 ans et 80 ans en même temps — très fragile mais avec des éclairs de malice bizarre. Il est nostalgique, plein de dessins de dinosaures dans ses tiroirs (oui, dino), et parfois il déborde d’angoisse comme si le monde était trop grand pour lui. On voudrait le protéger et aussi le secouer un peu parce qu’il a des moments où il est étonnamment lucide et effrayant, tout à la fois. Il joue parfois avec des trains miniatures et dit des phrases super sérieuses à propos du destin, c’est déroutant mais attachant.

Bobbi

Bobbi est la mercenaire sarcastique et hyper compétente qui te fait comprendre que les menaces ont été mal informées — elle frappe fort et pose des questions après, ou l’inverse, difficile à dire. Elle a un humour sec, une façon de boire son thé comme si c’était un acte de guerre, et un sens du devoir qui ne laisse pas beaucoup de place pour les larmes (mais elles arrivent, parfois, quand elle est seule). Parfois elle est douce, parfois elle met KO un type en trois secondes, contradiction vivante, et elle adore garder un souvenir ridicule de chaque mission (genre un caillou, je jure). Elle est pratique, blessée et incroyablement éfficace — une vraie pointure.