À propos du The Paper en quelques mots:

Voici les nouvelles sur l’émission : The Paper (2025) est une sitcom de style mockumentaire et un spin-off de The Office. Elle vous plonge à Toledo, Ohio, avec la même équipe de tournage documentaire—sauf qu’ils chroniquent maintenant le personnel hétéroclite d’un journal local en déclin, le Toledo Truth-Teller. Vous avez un nouveau rédacteur en chef très motivé, une rédactrice en chef diva, des comptables, un vétéran de guerre devenu reporter, et plus encore—chacun essayant de ramener cette salle de rédaction du bord du gouffre, un moment maladroit à la fois.

Découvrez les personnages de The Paper

Ned Sampson

Ned, c’est le type qu’on imagine toujours avec une tasse de café trop froide et un regard qui en sait trop — mais il sourit parfois, quand il croit que personne ne regarde, et c’est presque tragique. Rédacteur en chef à la fois affable et acerbe, il peut hurler sur un titrage puis écrire une lettre émue à la même source deux minutes plus tard (oui, vrai). Il collectionne des carnets (et des trombones, oui, vraiment des trombones) et prétend détester la technologie mais il a trois applications secrètes pour organiser sa vie. Honnête, têtu, un peu paumé sur ses propres émotions, et étonnamment doué pour retrouver les clés perdues.

Esmeralda Grand

Esmeralda est une tornade élégante — glamour sans effort, mais avec un cerveau affûté comme un scalpel; elle dirige des projets et brise des cœurs en même temps, souvent sans le vouloir. Elle a ce rire qui remplit la pièce, puis un côté calculateur qui te fait vérifier ta phrase deux fois; bref, dangereuse et charmante. Philanthrope à ses heures et compétitrice acharnée à d’autres, elle porte toujours un rouge à lèvres exactement assorti à son agenda (je jure que c’est vrai). Parfois elle se perd dans une chanson des années 90 en faisant du café, et oui elle a un poisson rouge nommé « Président » — pourquoi pas ?

Mare Pritti

Mare, c’est l’âme méthodique du groupe, celle qui retrouve un papier dans une pile et te dit « je t’avais prévenu » avec douceur cassante; elle adore l’ordre, mais mystère: son bureau a aussi une plante qui ressemble à un champ de bataille. Discrète mais d’une loyauté à toute épreuve, elle corrige les détails que personne ne voit (et elle les voit tous), ce qui la rend indispensable et un peu intimidante. Elle croit aux rituels étranges comme toucher le coin droit d’un manuscrit avant l’envoi et porte souvent des chaussettes dépareillées (par choix? par accident? débat). Parfois elle parle comme si elle lisait un dictionnaire, et puis la minute suivante elle te raconte une blague de resto qui n’a aucun sens.

Detrick Moore

Detrick, oh là là, c’est l’enquêteur flamboyant: moto, tatouages, contact dans chaque zone grise imaginable — il te file une info, puis efface sa trace en sirotant un expresso, classe. Aventurier, parfois borderline, il aime les risques autant que son chien (il a un chien, je crois, ou c’était un chat, bref). Il adore les théories folles et les preuves concrètes, et il chante sous la douche des refrains absurdes quand il est sur une affaire — ça l’aide, apparemment. Paradoxalement, il peut être d’une prudence presque terrifiée quand il s’agit d’appeler sa mère; héroïque au travail, tendre en secret.

Adelola Olofin

Adelola, c’est la voix calme dans la tempête: analyste brillante, posée, avec une logique qui te terrasse et un rire qu’on n’attend pas mais qui te réchauffe. Elle vient d’un parcours intense (oui, immigration, oui, premières fois difficiles) et porte fièrement cette histoire dans chaque décision; respecte-la. Fanatique du piment (toujours un pot sur son bureau) et chanteuse de chorale à ses heures perdues, elle surprend, tenue impeccable ou t-shirt froissé, selon la journée. Elle oublie parfois l’heure (ou prétend l’oublier) mais ne loupe jamais un détail crucial — contradiction parfaite.

Adam Cooper

Adam, le jeune idéaliste, débarque avec des idées brillantes et des chaussures qui craquent quand il marche, tu sais ce genre — un peu naïf, mais tellement tenace. Stagiaire, journaliste en devenir, il écrit des haïkus sur des post-it et tente des expériences sociales absurdes pour « ressentir le pouls de la ville » (parfois ça marche, parfois non). Il est étonnamment rusé quand il faut improviser, même si cinq minutes avant il tremblait devant le micro; coeur gros comme ça, cerveau en ébullition. Oh et il parle aux plantes — je le jure — et certaines répondent (ou alors il est juste très persuasif).