À propos du The Ba***ds of Bollywood en quelques mots:

Cette série d’action-drame satirique (2025) d’Aryan Khan suit Aasmaan Singh, un nouveau visage de Bollywood dont l’ascension est mêlée à des contrats, des producteurs rusés et un père superstar tirant les ficelles dans l’ombre. Il s’engage dans un grand film aux côtés de Karishma Talvar, mais à mesure que les portes s’ouvrent, des secrets éclatent—le spectacle se débat avec l’ambition, les trahisons familiales et le réel politique sauvage du monde du cinéma.

Découvrez les personnages de The Ba***ds of Bollywood

Ajay Talvar

Ajay, c’est le type carrément intense qui te regarde comme s’il pesait chaque mot avant de le dire — mais parfois il lâche une blague nulle et tout le monde rigole, on sait pas pourquoi. Leader naturel, un peu taciturne, toujours avec un café froid à la main (ouais il oublie toujours son café, mais jure qu’il l’aime chaud). Il a des principes en béton, sauf quand il prend une décision totalement impulsive à 3h du matin — et ça marche bizarrement souvent. Il collectionne les vieilles cartes postales et prétend détester les réseaux sociaux (en secret il a un compte anonyme pour poster des photos de chats, chut).

Aasmaan Singh

Aasmaan, c’est l’âme libre, un peu poète de bazar, qui parle des nuages comme s’ils étaient des amis — trop dramatique parfois, mais adorable. Il vit pour l’adrénaline mais aussi pour les petits rituels du matin, genre méditation 5 minutes puis un bol de parathas trop épicés (il fait la grimace mais en redemande). Indécis sur beaucoup de choses mais toujours là quand ça compte, surtout pour les rêves des autres — il a ce côté « je te soutiens » un peu cliché, mais sincère. Il oublie ses clés tout le temps, on pense que c’est par distraction romantique, peut-être c’est juste qu’il a la tête dans les nuages, littéralement.

Parvaiz

Parvaiz est ce personnage qui semble toujours à deux pas d’une bagarre ou d’un fou rire — loyal comme pas possible, mais explosif si on touche à ses proches. Il a une logique très pratique, genre mec de terrain, débrouillard, qui peut réparer une moto avec un trombone et du chewing-gum (véridique? peut-être). Il est silencieux parfois, mystérieux, puis bam, il sort une anecdote ultra détaillée sur un match de cricket de 1998 et t’as perdu le fil, mais c’est fascinant. Il dit qu’il aime être seul mais se retrouve toujours entouré d’amis — bon, il ne dit pas non à une soirée karaoké non plus, contre toute attente.

Karishma Talvar

Karishma, wow, elle a ce mélange d’élégance glacée et de tempérament volcanique — carrière au top, regard qui tranche, et un rire qu’elle sort rarement mais quand elle le fait, attention. Féministe assumée, organisée au point de planifier ses imprévus, et en même temps elle laisse toujours un mug sale dans l’évier parce qu’elle a « oublie » (ou préfère l’appeler art contemporain). Elle est protectrice envers sa famille, parfois trop, et cache une vulnérabilité qu’elle montre à deux personnes maxi — cliché, je sais, mais vrai. Elle garde une vieille paire de boucles d’oreilles cassées dans une boîte, pour des raisons mystérieuses (souvenir? superstition? fashion statement?).

Neeta Singh

Neeta est la colonne vertébrale émotionnelle du groupe, l’oreille qui écoute et la bouche qui sort la vérité sans prévenir — souvent drôle, parfois dramatique, toujours honnête. Elle adore le thé et les ragots (dans cet ordre), tient un carnet où elle note « choses à dire demain » et ne raye presque jamais rien même si elle change d’avis toutes les cinq minutes. Elle a ce côté maternel mais peut aussi te lancer une réplique à froid qui te remet en place, moi j’adore. Ah, et elle prétend être ordonnée mais son sac est un vortex de tickets de bus, stylos cassés et petits bonbons — organisation à sa façon, donc.