À propos du Alice in Borderland en quelques mots:

Ce spectacle plonge les gens dans un Tokyo alternatif étrange où survivre signifie jouer à des jeux mortels. Arisu, Usagi, Chishiya et d’autres affrontent des énigmes, des problèmes de confiance, des alliances et une peur brute pour retrouver leur chemin vers chez eux. C’est sombre, intense, émotionnel—et d’une certaine manière, addictif à la fois.

Découvrez les personnages d’Alice in Borderland

Arisu

Arisu, c’est le cerveau un peu paumé mais tellement touchant du groupe — toujours en train de réfléchir à deux, dix coups d’avance et puis parfois il oublie la base: respirer. Il a ce côté joueur-video nerd qui planifie des stratégies comme si c’était des quêtes, et en même temps il doute tout le temps (super humain, non?). Il devient étonnamment brave quand ça compte, surtout parce qu’il refuse de perdre les autres, pas juste par héroïsme mais par culpabilité aussi — c’est compliqué. Parfois il est presque sarcastique, parfois il pleure en silence, et franchement, on l’adore pour toutes ces contradictions.

Usagi

Usagi, quelle tornade douce — une grimpeuse phénoménale qui a autant de force dans les jambes que de tendresse dans le regard. Elle est instinctive, loyale jusqu’au bout, et pourtant elle cache une indépendance presque sauvage (elle t’enverra bouler poliment, haha). Elle sait se battre, survit comme une pro dans la nature et sourit dans les pires moments; et oui, elle a un petit faible pour les choses simples, genre nouilles instantanées à 3h du mat. Parfois elle paraît naïve, parfois elle est terriblement lucide, et c’est ce mélange qui la rend irrésistible.

An

An est ce genre de personnage glaçant et précis — la tactique incarnée, froide, presque clinique, mais avec un sens du spectacle très disturbant. Elle manipule les jeux comme un chef d’orchestre (froid? oui. Impressionnant? aussi.), et on sent qu’elle ne joue pas juste pour elle-même mais pour une idée tordue de justice. Il y a des moments où on la devine fatiguée, parfois humaine, mais elle referme la porte si vite qu’on n’est jamais sûr. Bref, brillante, dangereuse, fascinante — un vrai casse-tête moral.

Banda

Banda, c’est le grand frère un peu roublard qui rit fort, mange plus que tout le monde et pourtant a un cœur énorme caché sous ses muscles. Il est drôle, attachant, un peu maladroit dans les émotions (il offre des conseils comme des plats: généreux mais parfois trop salés). Il devient protecteur comme personne, surtout avec ceux qu’il aime, et il faut avouer qu’il surprend par sa clairvoyance parfois, oui oui, lui! Parfois il parle comme un enfant, parfois comme un vieux sage—incohérence charmante, et franchement on veut sa place dans son équipe.

Nobu

Nobu, c’est le roc silencieux — pas beaucoup de blabla mais quand il agit, on le suit sans poser de questions. Loyal au possible, fiable comme une vieille montre, et il garde des cicatrices qu’il raconte à moitié (souvent à moitié parce qu’il s’embrouille dans les dates, sérieux). Il a ce look un peu dur mais cache une sensibilité surprenante, surtout pour les causes justes; parfois il se met en colère, parfois il fond en larmes, et c’est confus mais humain. Un pilier, un protecteur, quelqu’un sur qui on peut compter même quand tout s’écroule.

Rei Morikage

Rei Morikage, je l’imagine toujours élégant, presque aristocratique, gavé d’un calme effrayant et d’un sens du sacrifice un peu déroutant. Il parle peu mais ses gestes sont précis, comme s’il dessinait chaque décision — il a la classe sinistre, vous voyez le genre? Paradoxalement, il laisse parfois filtrer une once de fragilité (un sourire maladroit, une nostalgie pour des choses simples), et ça te fait fondre parce qu’on sent la profondeur. Intelligent, mystérieux, parfois imprévisible dans ses élans — on n’est jamais complètement sûr de ce qui se passe derrière ses yeux.

Kazuya

Kazuya, bouillonnant d’énergie, un peu impulsif et super compétitif — il veut gagner, parfois pour des raisons un peu floues, parfois juste parce que c’est drôle. Il peut être fonceur au point d’être casse-cou, mais il a aussi des moments de lucidité qui surprennent, et il est terriblement loyal à sa façon (bruyante). Il dit des choses sans filtre, se plante, s’excuse peut-être une heure plus tard ou jamais, et c’est exactement ce qui le rend humain. En résumé: intense, parfois agaçant, souvent drôle, toujours vivant — on ne s’ennuie jamais avec lui.