À propos du The Last Frontier en quelques mots:

Le spectacle est un thriller-drame situé dans l’Alaska éloigné. Après qu’un avion de transport de prisonniers s’est écrasé, des dizaines de détenus s’échappent. Frank Remnick, le seul marshal américain gardant le périmètre, doit les traquer, protéger sa ville et déterminer si l’accident était un accident ou faisait partie d’une conspiration plus vaste. C’est une course glacée mêlant survie, trahison et famille.

Découvrez les personnages de The Last Frontier

Sarah Remnick

Sarah, oh Sarah — elle donne l’impression d’avoir toujours une carte cachée et de sourire en coin quand tout le monde panique. Elle est débrouillarde, têtue comme une mule et capable de réparer un moteur avec une épingle à cheveux et un morceau de ficelle (sérieusement, je l’ai juré). Parfois elle parle comme si elle faisait des listes mentales et puis bam, une confession tendre sur sa tasse de thé préférée, je ne sais pas comment ça colle mais j’adore. Elle a une cicatrice au sourcil qui lui donne un air à la fois dangereux et maladroit, et je suis presque sûr·e qu’elle sait écrire de la poésie secrète dans ses carnets.

Frank Remnick

Frank, le patriarche rugueux mais infiniment cassable sous la surface — genre bûcheron avec un cœur en guimauve, cliché mais vrai. Il grogne, il commande, il sait exactement où sont toutes les clés (même celles que personne n’avait vues depuis trois ans), et pourtant il chante parfois faux en préparant le dîner et c’est horriblement humain. Il tient à la tradition mais a cet instant de faiblesse où il a appelé sa fille par le surnom qu’il a inventé quand elle était bébé, donc oui, il est complexe. Il collectionne des tournevis et des cartes postales anciennes et je jure qu’il pleure devant un film sur les phoques (ou peut-être que c’était un documentaire sur la pêche, je mélange).

Sidney Scofield

Sidney est ce genre de personnage qui t’envoie des messages cryptiques et qui a l’air de savoir tout sur tout, puis oublie parfois le lait au frigo — c’est adorablement contradictoire. Journaliste/éternel curieux (ou détective amateur? on n’est jamais sûr), il a un flair pour les histoires mais une phobie inexplicable des parapluies, oui vraiment. Il porte toujours une veste avec des poches trop nombreuses et une vieille montre qui ne marche plus mais il prétend qu’elle indique « l’heure des choses importantes ». Il est sarcastique, brillant et un peu cassé, et je parie qu’il déteste les gâteaux mais en mange en cachette.

Levi Hartman

Levi, le type taciturne des montagnes, grand, silencieux, genre « je regarde l’horizon et je réfléchis trop » — sauf quand il rit comme un enfant en voyant des chiots, et là tout s’effondre. Chasseur émérite et protecteur de son coin (on pense « dur à cuire ») mais il parle aux oiseaux et leur donne des noms ridicules, donc bon, faut l’aimer. Il est loyal jusqu’à l’obsession, parfois un peu borné, et a cette manie étrange de collectionner des boutons (vraiment des boutons) dans une boîte qu’il cache sous son plancher. Parfois il dit qu’il déteste les histoires d’amour, puis il rembobine la vieille cassette des chansons de son premier été — je vous jure, c’est un mystère adorable.