À propos du Absentia en quelques mots:

Absentia est un drame criminel psychologique tendu qui suit l’agent spécial du FBI Emily Byrne, qui disparaît alors qu’elle traque un tueur en série et est présumée morte. Six ans plus tard, elle est retrouvée — traumatisée et sans mémoire de sa disparition. De retour chez elle, elle doit affronter une vie changée : son mari s’est remarié, son fils la connaît à peine, et elle est entraînée dans de nouvelles conspirations mortelles.

Découvrez les personnages d’Absentia

Emily Byrne

Emily, c’est la survivante par excellence, la type qui revient de l’enfer et qui te fixe comme si rien n’avait changé — sauf que tout a changé. Détective tenace, obsessionnelle parfois, elle creuse, elle fouille, elle veut la vérité (même si la vérité la ronge un peu), et elle ne lâche jamais une piste. Elle est en morceaux et en acier à la fois, maman aimante et guerrière épuisée, toujours prête à exploser ou à fondre en larmes deux secondes après — oui oui, elle pique des crises et ensuite elle range les jouets du gamin comme si de rien n’était. Petit truc inutile mais amusant : elle collectionne les clés d’hôtel vides dans une boîte, je jure que j’ai vu ça une fois, c’est à la fois adorable et flippant.

Nick Durand

Nick, c’est l’agent-pilier, super pro, quiet but intense, celui qui essaie de faire tenir les morceaux pendant que tout part en vrille. Loyal à mort, parfois têtu comme une mule, il fait confiance à la procédure mais il a des failles humaines énormes — genre il oublie les anniversaires mais il connaît la date d’arrestation d’un mec de 2007. Il a ce côté protecteur qui peut devenir possessif sans qu’il s’en rende compte, et il ment parfois par omission pour « protéger » les autres (mauvaise idée, toujours). Ah, et il adore les mots croisés à 3h du matin, ce qui est un détail ridiculement mignon pour un type aussi sérieux.

Jack Byrne

Jack, le jeune adolescent qui traîne entre rébellion et vulnérabilité, toujours un peu paumé mais avec un cœur énorme — cliché mais vrai. Il veut prouver qu’il est grand, qu’il peut se débrouiller, et en même temps il colle à Emily quand ça lui fait peur, relation tellement ambivalente et touchante. Il joue aux jeux vidéo tard le soir, c’est son échappatoire, et il gribouille des trucs bizarres sur des serviettes en papier; parfois ceux-ci semblent complètement déconnectés, parfois étrangement prémonitoires. Il est impulsif, parfois égoïste, mais il protège sa famille comme un petit chien fougueux — et oui, il a pleuré lors d’un film romantique une fois, je te jure.

Warren Byrne

Warren, le frère compliqué qui porte des rancœurs, des dettes et de la loyauté mal placée, c’est le genre qui tape fort et qui regrette encore plus fort après. Il peut être sec, agressif, mais aussi faire de petites choses tendres et surprenantes (comme aider à réparer la vieille voiture à 3 heures du matin, mystère). Il a un passé un peu sale, tu sens qu’il n’est pas toujours fiable, mais il a ce code familial tordu qui le ramène toujours vers les siens. Oh, et il jardine bizarrement bien — oui, le jardin est parfait mais sa vie est en désordre, style contradiction totale.

Agent Crown

L’agent Crown, c’est la face froide de la loi: calculateur, poli mais distant, un vrai maître du poker pokerface, tu n’es jamais sûr de ce qu’il pense. Il joue la carte du protocole et des apparences, manipule doucement les choses en coulisses, et franchement il peut être terrifiant sous son sourire mesuré. Ambitieux, parfois lâche (ou simplement prudent?), il a une manière de prendre des notes comme si chaque mot était une arme, et j’ai toujours l’impression qu’il a un carnet secret quelque part. Fun fact inutile : il boit de la camomille comme si c’était du café — bizarre mais crédible pour un mec aussi freaky.