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Quel est votre alter ego parmi les méchants de ‘Cobra Kai’?

Es-tu fan de 'Cobra Kai'? As-tu déjà pensé à quel méchant de la série est ton alter ego? Eh bien, ne te demande plus! Fais notre quiz et découvre si tu es plus comme Johnny Lawrence, Kreese, ou même Hawk. Clique sur le bouton Démarrer ci-dessous pour découvrir ta véritable identité Cobra Kai!

Bienvenue au quizz: Quel est votre alter ego parmi les méchants de Cobra Kai?

À propos du Cobra Kai en quelques mots:

Cobra Kai est une série télévisée qui se déroule 30 ans après les événements du film original Karaté Kid. Elle suit l’histoire de Johnny Lawrence, l’ancien intimidateur et antagoniste du film original, alors qu’il rouvre le dojo Cobra Kai et forme une nouvelle génération d’élèves. La série explore les thèmes de la rédemption, de l’héritage et des conséquences de ses actions.

Découvrez les méchants de Cobra Kai

Johnny Lawrence

Johnny c’est ce cliché génial du mauvais garçon qui a un cœur coincé quelque part sous sa coupe de cheveux (oui, il en a encore). Il est bourru, direct, un peu rétro, mais étonnamment conscient — parfois trop sentimental pour admettre qu’il l’est. Ancien roi du dojo, il oscille entre violence et sévérité pédagogique, puis bam, il donne un conseil paternel qui te prend par surprise. Il boit du café froid, se plaint du monde moderne et adore la pick-up truck (ou est-ce qu’il aime vraiment jardiner ? je confonds toujours).

Tom Cole

Tom est le prof sérieux que tu ne veux pas sous-estimer; calme, carré, avec ce regard qui dit « je sais ce que je fais ». Il a l’air posé, presque ennuyeux, mais quand il parle de technique c’est presque religieux — ok, pas littéralement, quoique. Fidèle à ses principes, parfois un peu trop rigide, mais il peut lâcher une blague à la fin et tu souris sans comprendre pourquoi. Petit détail bizarre : j’ai l’impression qu’il collectionne des tasses à café avec des slogans bizarres… ou alors c’est dans ma tête.

Kyler

Kyler est ce gosse flashy, sûr de lui à la surface mais fragile comme un vaisseau spatial en carton — ok, je dramatise un peu. Il est arrogant, aime se montrer, fait des choix impulsifs et veut toujours être le centre d’attention (les réseaux sociaux c’est son royaume). Mais parfois il y a un flash de doute, un geste qui trahit qu’il cherche juste à ne pas décevoir quelqu’un — ou lui-même, who knows. Et j’ai la nette impression qu’il porte toujours la même veste, même si ça serait un peu inquiétant.

Anthony LaRusso

Anthony, le fils de Daniel, c’est le gentil un peu perdu dans l’héritage familial; sérieux, juste, avec une bonne dose de pression sur les épaules. Il veut bien faire, suit les règles (souvent trop), et a un sens de la loyauté qui te réchauffe le cœur — même si parfois il exagère le côté « responsable ». Il est parfois maladroit socialement, mais il est ferme quand il faut, et il garde un humour sec qui te surprend. Petite bizarrerie: j’ai l’impression qu’il collectionne des souvenirs de poterie Miyagi-Do? Peut-être pas, mais ça lui irait.

Eli « Hawk » Moskowitz

Hawk, quelle transformation incroyable — de timide à guerrier au regard de faucon, littéralement. Il est féroce, stylé, adore la domination du ring mais cache une sensibilité qu’il refuse d’exprimer (par orgueil, par peur, prends ton pick). Loyal à ses potes mais parfois trop vindicatif; il peut être un héros et un hooligan dans le même épisode, j’adore cette ambiguïté. Fun fact non vérifié: je jure l’avoir vu pleurer devant une comédie musicale… ou alors c’était juste des allergies, qui sait.

Daniel LaRusso

Daniel est le maître romantique du dojo, toujours prêt à réciter la sagesse Miyagi-Do, parfois un peu « papa poule » et un peu trop dramatique sur le passé. Il incarne l’honneur, la patience, la persévérance, et en même temps il peste contre la modernité comme un vieux sage grognon — ce mélange est trop drôle. Il est charmeur dans ses propres batailles, protecteur envers sa famille, et obsédé par l’idée d’équilibre (et aussi par la carrosserie de son cabriolet, oui vraiment). Parfois il est raisonnable, parfois il fait des crises existentielles, c’est un vrai feu d’artifice émotionnel.

Robby Keene

Robby, quel casse-tête magnifique: fils rebelle, compétiteur né, cœur endommagé mais loyal quand ça compte. Il est sombre, malin, fait des choix discutables mais souvent pour des raisons humaines — pas juste parce qu’il aime souffrir, hein. Il peut être violent et protecteur en même temps, genre anti-héros romantique sans avertissement. Et il a ce style à la Johnny mais avec plus de tatouages; parfois il se gratte la tête comme s’il venait d’oublier une réplique, adorablement humain.

Tory Nichols

Tory c’est la tornade: froide, féroce, imprévisible et terriblement compétente. Elle ne s’excuse jamais et transforme l’arrogance en une forme d’art; dangereuse sur le tatami, sublime dans ses silences. Sous le masque de bravoure il y a des fissures, parfois une vulnérabilité qui apparaît quand la caméra s’éloigne — bref, personnage super nuancé. Ah, et je suis presque sûr qu’elle a une playlist secrète de ballades emo; je le jure, ça ferait sens.

John Kreese

Kreese est l’archétype du sensei toxique: impitoyable, manipulateur, adepte du « il n’y a pas de pitié » comme mantra personnel. Il inspire la peur, fabrique des disciples et a une histoire militaire tordue qui rend tout plus sinistre (et un peu fascinant, faut l’admettre). Il est stratège, sans remords, et capable de charmer quand il veut que tu tombes dans son piège — c’est presque artistique, en vrai. Parfois on croit percevoir une faiblesse (un regard? un tic?), puis non, il te replaque direct, quel personnage.

Terry Silver

Terry, c’est le méchant en costume trois-pièces qui rit trop fort; riche, manipulateur, flamboyant — et terriblement calculateur. Il mélange l’humour grotesque avec une cruauté calme, genre sociopathe à l’aise au barbecue du quartier. Il adore la gloire, les stratégies élaborées, et surtout l’idée de gagner à tout prix, mais il le fait avec un sens du spectacle qui donne des frissons. Petit truc bizarre: parfois il se comporte comme un entrepreneur de festival, on dirait qu’il veut vendre des t-shirts « victoire »… et j’achèterais presque.