À propos du Blood Drive en quelques mots:

Blood Drive est une série de science-fiction et d’horreur se déroulant dans un futur dystopique où les voitures sont alimentées par du sang humain. La série suit Arthur Bailey, un policier contraint de faire équipe avec Grace, une coureuse dangereuse, pour participer à une course de la mort à travers le pays où le vainqueur remporte tout. Alors que la compétition s’intensifie, le duo doit naviguer dans le monde dangereux de Blood Drive tout en essayant de rester en vie et de déjouer leurs adversaires.

Découvrez les personnages de Blood Drive

Arthur Bailey

Arthur, c’est le flic usé mais tenace, tu vois le type qui a plus d’un cauchemar dans sa poche et qui continue quand même d’avancer, un peu têtu, un peu brisé. Il a ce code moral de vieille école — loyauté, justice — mais il s’emporte facilement et fait des choix pas toujours brillants (ce qui le rend hyper humain). J’aime l’imaginer avec une vieille casquette et un cœur trop gros pour sa propre bonne santé, il râle mais protège les gens comme personne. Parfois il se dit “calme” et puis hurle dans sa voiture à pleine vitesse, donc bon, cohérence émotionnelle optionnelle.

Grace d’Argento

Grace, wow, la bad-ass sophistiquée qui mélange glamour et sang frais, genre veste en cuir + collier en métal (et oui elle a un sens du style implacable). Elle est rusée, maîtrise son corps et ses mots, et a un humour sec qui te cloue sur place — mais attention, sous les paillettes il y a une rancune ancienne, on sent qu’elle n’oublie rien. J’adore qu’elle prétende détester la violence et puis… ben fronce les sourcils et repart au combat, contradiction adorable. Et petit détail inutile mais je l’aime, parfois elle fredonne une vieille chanson italienne avant de s’élancer, comme si c’était une superstition.

Christopher Carpenter

Chris, c’est le génie un peu bordélique, l’homme aux mille gadgets (et aux mains toujours tachées d’huile), celui qui peut transformer une épave en œuvre d’art meurtrière — un bricoleur avec des valeurs, parfois flippant, parfois tendre. Il parle vite, tripote tout ce qui a un boulon et a le don de sortir une phrase philosophique entre deux étincelles; il est drôle sans le vouloir et incroyablement fidèle aux siens. Par contre, il a peur des voix fortes (oui, vraiment) et adore écrire des poèmes qu’il relit jamais, c’est trop mignon et incompréhensible. On sent qu’il cache quelque chose (toujours), genre une blessure douce-amère, et ça le rend encore plus attachant.

Aki

Aki est la calme dangereuse qui fait tout proprement — précision chirurgicale, regard froid, et un passé mystérieux qui claque comme une porte fermée. Elle est discrète mais efficace, ne parle pas beaucoup et quand elle sourit c’est presque suspect (tu sais que ça va mal finir pour quelqu’un). J’adore l’idée qu’elle ait des petites manies contradictoires: adore les friandises sucrées mais refuse de se salir, genre elle garde toujours des lingettes dans la poche. Bref, elle est l’ombre qui arrive, règle les problèmes et repart en silence, et parfois elle laisse une fleur (vraiment), parce que pourquoi pas.

Julian Slink

Slink, le showman machiavélique, est absolument délicieux à détester — glamour grotesque, manières théâtrales et un sourire qui fait froid dans le dos. Il dirige le cirque sanglant avec une élégance malade, adore le spectacle et transforme chaque atroce détail en numéro, genre un vrai metteur en scène du chaos. Il te raconte ses plans comme on déclame un opéra, puis boit un cocktail (rouge, bien sûr) en applaudissant, ce type est obsédé par la mise en scène et les apparences. Parfois il paraît presque charmant (danger numéro un), et parfois il est incroyablement tendre envers des choses bizarres (un chat? une vieille photo?) — et là tu comprends que c’est pire encore.