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Quel personnage de Deadly Class es-tu ?

Vous êtes-vous déjà demandé quel personnage de Deadly Class vous seriez ? Faites notre quiz pour le découvrir ! Avec un casting diversifié de personnages captivants et complexes, Deadly Class a conquis les cœurs des fans du monde entier. Êtes-vous plus comme le leader impitoyable Marcus ou la brillante tacticienne Petra ? Faites défiler vers le bas et cliquez sur le bouton Démarrer pour découvrir votre alter ego Deadly Class.

Bienvenue au quizz: Quel personnage de Deadly Class es-tu ?

À propos du Deadly Class en quelques mots:

Deadly Class est une série de bandes dessinées sombre et violente écrite par Rick Remender et illustrée par Wesley Craig. Située à la fin des années 1980, elle suit un groupe d’adolescents marginaux fréquentant l’Atelier du Dominion du Roi des Arts Mortels, une école secrète pour assassins. La série explore les thèmes de l’adolescence, de l’identité et de la moralité alors que les personnages naviguent dans leur monde dangereux et imprévisible.

Découvrez les personnages de Deadly Class

Master Lin

Master Lin, c’est ce type implacable qui dirige Kings Dominion comme on dirige un théâtre d’ombres — froid, mesuré, et toujours cinq coups d’avance. Il a l’air d’un professeur zen mais ne te laisse pas douter, il peut te briser la vie avec la même politesse avec laquelle il sert le thé (oui oui, il sert toujours du thé, enfin je crois). Parfois on le sent presque paternel, parfois il est carrément kafkaïen; impossible de savoir s’il te protège ou t’expédie. Franchement fascinant et terrifiant, il a ce côté “sage ancien” qui collectionne des objets bizarres et des regrets.

Marcus Lopez

Marcus, quelle montagne russe — cœur énorme mais poings prêts, poète qui explose quand la vie le pousse trop loin. Il est loyal jusqu’à l’obsession, plein de culpabilité et de rage contenue, et parfois il se surprend à vouloir juste dessiner des trucs (ou écrire des chansons? oui non, les deux). Son parcours est tout en crissements et en surprises: tendre un soir, violent l’autre, et toujours en proie à ses démons. Je jure que parfois il sourit comme un idiot et ça te brise le cœur à chaque fois.

Saya Kuroki

Saya, la reine du contrôle avec une fureur parfaitement poliée — discipline martiale, code d’honneur bizarrement romantique, et une coupe de cheveux qui veut dire “je gère”. Elle est froide en public mais a des fissures qu’elle cache avec des routines strictes (et parfois une peluche cachée, oui je l’ai dit). Loyal envers sa famille de sang et d’armes, c’est la mec qui ordonne des exécutions puis s’étonne d’avoir mal au cœur. Elle peut être douce, elle peut te fendre la tête; oui, les deux, et c’est ce qui la rend irrésistible.

Maria Salazar

Maria c’est le feu — explosif, glamour et brutal comme un bon vieux film noir latino avec des paillettes. Elle parle fort, rit plus fort encore, et porte des rouges à lèvres qui devraient être déclarés arme de distraction massive (je plaisante… à peine). Derrière l’attitude un peu diva, il y a une loyauté féroce et des blessures pas faciles; elle donne autant qu’elle prend, parfois au mauvais moment. Elle collectionne des boucles d’oreilles et des secrets, et je suis presque sûr qu’elle sait jouer de la guitare (ou bien c’est un truc que j’ai inventé, qui sait).

Willie Lewis

Willie, le grand gaillard qui veut plaire et frappe d’abord, pense après (ou jamais), un peu clown, beaucoup douleur. Son humour peut être brillant et affuté, mais la colère bouillonne sous la surface comme une casserole oubliée — imprévisible et souvent tragique. On le voit crier, chanter, parfois pleurer dans sa chambre — oui, c’est contradictoire mais ça le rend absolument humain. Il se vante, il triche, il veut être aimé; et parfois il met ses doigts dans des choses qu’il regrettera, mais on le regarde et on comprend pourquoi il fait tout ça.

Billy

Billy a ce calme glaçant, presque clinique; il est propre sur lui et mortel sans être théâtral. Parfois il parle peu, parfois il déborde en anecdotes ridicules (genre il aime la pâtisserie? surprenant mais possible), et il a ce regard de quelqu’un qui a vu trop de choses. Loyal, méthodique, parfois cruel, il est du genre à planifier un coup comme on compose une symphonie (ou un gâteau, apparemment). Il inspire confiance autant qu’il inspire frisson — et oui, il a un animal de compagnie imaginaire, je le jure.