À propos du Peacemaker en quelques mots:

Peacemaker est une prochaine série télévisée américaine créée par James Gunn pour HBO Max. La série suit l’histoire d’un personnage de DC Comics, Peacemaker, joué par John Cena, qui est un tueur impitoyable et hautement qualifié avec un code moral tordu. La série promet d’être un mélange d’action, de comédie et de drame, avec un accent sur le voyage de Peacemaker alors qu’il essaie de trouver la rédemption pour ses péchés passés. La série devrait faire ses débuts en janvier 2022, et les fans attendent avec impatience la sortie.

Découvrez les personnages de Peacemaker

Peacemaker

Peacemaker, c’est ce type qui porte un casque ridicule mais s’en fiche complètement parce qu’il a une mission et du panache, tu vois ? Il est patriotique à l’excès, très sûr de lui et terriblement convaincu que la paix vaut tous les moyens — même les explosions, évidemment. Il est drôle sans le vouloir, tragique souvent, et on a l’impression qu’il change une baguette de mission en confession d’un coup, ou l’inverse. Parfois il est sérieux comme un pasteur, parfois il se comporte comme un gosse qui découvre les feux d’artifice, et oui, il pleure en écoutant de la pop des années 80 (ou est-ce du hard rock ?).

Leota Adebayo

Leota, c’est la voix de la raison mais genre vraiment la raison avec des mails classés et des argumentaires impeccables — sauf quand elle craque et dit des trucs très humains en off. Elle est brillante, loyale, et elle supporte la troupe en faisant face à des dilemmes moraux comme une pro, tout en gardant un sens de l’humour sec qui te surprend. Elle a des poches pleines d’outils et apparemment aussi une guitare cachée quelque part (je jure que je l’ai vue une fois ?). Parfois froide, parfois la plus chaleureuse, elle est le personnage qui te cloue par un regard mais qui te fait rire deux scènes plus tard.

Adrian Chase

Adrian est ce mec élégant, calme, très poli en surface et complètement, absolument complexe en dessous — la duplicité incarnée, un avocat le jour, un tueur à la morale tordue la nuit, ou un anti-héros, ou un ennemi, choisir un camp est difficile. Il a un charisme glacial, une logique implacable et ce sourire qui fait froid dans le dos, et il adore les petites phrases bien placées. Parfois il est presque charismatique à la James Bond, parfois il pète un câble et devient hyper imprévisible, donc bon courage pour le cerner. Il collectionne les costumes sobres et apparemment les mauvaises décisions sentimentales aussi, mais ça le rend humain — ou effrayant, selon le jour.

Clemson Murn

Murn, oh Murn, c’est le leader stoïque avec une histoire chelou et plein de secrets, sérieux mais avec des accès de sarcasme qu’on n’attend pas chez un type aussi en contrôle. Il est capable de planifier des opérations hyper techniques et aussi de te raconter une anecdote absurde sur ses anciens boulots, parfois dans la même phrase. Il ressemble à un vieux professeur militaire mais avec des piercing d’ironie, et oui, il a un faible inexplicable pour les chats (ou était-ce pour les chiens ?). On dirait le genre qui cache des blessures profondes sous un uniforme impeccable, mais qui peut aussi te faire un sourire rare qui te tue.

Emilia Harcourt

Emilia, la sniper froide et efficace, a ce regard de glace et cette routine implacable qui te font comprendre qu’elle n’est pas là pour rigoler — mais elle lâche parfois une blague noire qui te fait rire malgré toi. Elle est terriblement compétente, professionnelle jusqu’au bout des ongles, et pourtant (et c’est bizarre) elle a des goûts très simples en dehors du boulot — café noir, pulls trop grands et playlists tristes, ou était-ce disco ? Elle ne montre pas beaucoup d’émotions mais quand elle en montre, ça pèse. Parfois elle paraît inhumaine, parfois la plus humaine, c’est confus et génial à la fois.

John Economos

John, c’est le grand gars doux avec une voix posée et un accent sympa, genre le responsable logistique qui pourrait t’écraser par inadvertance en te serrant dans ses bras (je plaisante à moitié). Il fait le boulot ingrat, gère les bidonnées et les ordinateurs, mais c’est aussi le cœur tendre de l’équipe — maladroit, protecteur et bizarrement philosophe parfois. Il collectionne des t-shirts étranges et semble aimer la paperasse autant qu’un hamster aime les graines, ou du moins c’est ce qu’il dit. Il est calmant, drôle sans s’en rendre compte, et toujours prêt à aider même si ça implique des corvées improbables.

Auggie Smith

Auggie, le père de Peacemaker, est l’archétype du connard toxique mais tellement caricatural qu’on n’arrive pas à le détester totalement — en tout cas, il est détestable en vrai, mais fascinant comme méchant familial. Il est violent, manipulateur et plein de certitudes immondes, mais parfois (et je dis bien parfois) il sort une phrase qui te rappelle qu’il a été blessé et qu’il n’est pas juste un cliché, ce qui est pire en fait. Il collectionne les trophées de mauvaise foi et a peut-être — ou peut-être pas — un modèle réduit de train dans son garage (ce qui surprend et inquiète à la fois). Il inspire la peur et la pitié, souvent en alternance, et c’est hyper inconfortable mais narrativement délicieux.

Sophie Song

Sophie est la ninja tech super efficace qui parle peu mais quand elle dit quelque chose, bam, c’est précis et tranchant comme ses moves. Elle est discrète, rapide, super compétente en combat rapproché et en gadgets, et elle a ce côté mystérieux genre « je sais des choses que tu ne veux pas savoir ». Parfois elle apparaît froide, parfois elle est presque joueuse — on dirait qu’elle aime surprendre les autres avec des petites attentions étranges, comme des friandises exotiques (ou alors c’était un rêve de fan, je mélange peut-être). Bref, elle est dangereuse, loyale et possède un arrière-goût d’enfance perdue, et ça la rend incroyablement attachante.