À propos du Z Nation en quelques mots:

Z Nation est une série télévisée d’horreur-comédie post-apocalyptique diffusée de 2014 à 2018. Située trois ans après qu’un virus zombie ait dévasté les États-Unis, la série suit un groupe de survivants alors qu’ils voyagent de New York à la Californie à la recherche d’un remède contre le virus. En chemin, ils rencontrent des hordes de zombies, des factions rivales et divers obstacles qui menacent leur survie. Avec un mélange d’humour, d’action et d’horreur, Z Nation offre une vision unique du genre zombie.

Découvrez les personnages de Z Nation

Doc

Doc, c’est le vieux médecin qui sent la camomille et le désinfectant — un peu ronchon, mais on le voit toujours rafistoler quelqu’un entre deux jurons affectueux. Il adore l’ordre et pourtant son coffre à outils est un chaos organisé (il sait exactement où est la pince rouillée, ne demande pas). Tendre avec les faibles, il peut devenir étonnamment cruel face à la trahison, mais de façon très calme, presque scientifique. Il raconte des anecdotes interminables sur des chirurgies improbables et collectionne des thermomètres comme d’autres collectionnent des timbres. Ah et il chante parfois à voix basse des chansons d’opéra — faux, mais avec conviction.

10K

10K, c’est le tireur taciturne qui compte toujours jusqu’à dix avant de tirer — le gimmick, oui, mais c’est plus que ça, c’est sa façon de respirer. Je jure qu’il est à la fois hyper professionnel et un peu gamin, il garde des dessins dans sa poche et une vieille Barbie à moitié brûlée dans le coffre de sa bagnole. Fidèle, silencieux, capable d’un humour sec qui surprend (parfois il rigole tout seul), et il déteste tuer si ce n’est pas nécessaire — sauf quand il est très, très précis. Il a des règles étranges (genre: ne jamais marcher sur les lignes peintes) et puis un jour il les piétine sans ciller, go figure.

Murphy

Murphy est le chaos emballé dans une personne — infecté mais pas un cliché, moqueur, terrifiant et étrangement attachant, vous savez, le type qui vous sourit avant de vous tirer dessus. Il a ce mélange malsain d’humour noir et d’instinct de survie qui en fait un aimant pour les ennuis (et pour l’intrigue). Parfois il est manipulateur à souhait, d’autres fois on le surprend à avoir une crise de sensibilité absurde (oui, il a pleuré devant un chien en plastique une fois, vrai). Il collectionne des vieilles canettes ou des bibelots bizarres, et il adore l’ironie — putain, l’ironie est sa langue maternelle.

Lt. Roberta Warren

Warren, c’est la leader qui n’a pas de temps pour les contes, elle respire la discipline mais elle a aussi ce côté mère protectrice qui resurgit quand ça chauffe. Elle est pragmatique, stratégique — et extrêmement tenace, genre “on partira quand la mission sera finie” même si tout le monde est épuisé. Parfois elle paraît froide, puis paf, elle sourit comme une adolescente devant un chiot; contradiction jolie. Elle boit du café noir comme de l’essence, garde une liste mentale des gens à sauver et s’énerve avec élégance.

Addison ‘Addy’ Carver

Addy, c’est la combattante qui ne se laisse pas faire: impulsive, loyale, des mains rapides et un passé qui la rend un peu explosive (dans tous les sens). Elle est douce avec ses proches mais peut devenir une tornade en bataille — protective mama bear et cascadeuse improvisée. Elle adore retoucher des vieilles fringues et peut se mettre à chanter du pop trop fort quand elle est nerveuse, oui, étonnant mais vrai. Parfois elle est trop franche, parfois trop vulnérable, ce qui la rend humainement parfaite et absolument imprévisible.

Citizen Z

Citizen Z, le gars à l’autre bout du monde, c’est l’hyperconnecté qui parle aux machines et aux oiseaux (je jure, il converse avec les serveurs comme si c’étaient des voisins). Il a un humour absurde, des théories folles et une habitude de lancer des remarques brillantes au milieu de la nuit; souvent il porte un pull moche et boit du thé vert. Isolé mais curieusement chaleureux, il envoie des bulletins qui sont à la fois infos pratiques et one-man show un peu mélancolique. Il bricole des gadgets improbables, caresse des robots et se rappelle toujours des détails insignifiants — parfois il oublie son propre nom, parfois il écrit des poèmes sur la météo.