À propos du Daybreak en quelques mots:

Daybreak est une série Netflix qui suit l’histoire d’un adolescent nommé Josh qui entreprend un voyage dangereux à travers un paysage post-apocalyptique pour retrouver sa petite amie disparue. En chemin, il rencontre une variété d’autres survivants et doit naviguer dans le paysage traître tout en affrontant des factions rivales, y compris un groupe de sportifs dirigé par le sadique Turbo. Le spectacle est un mélange d’action, d’humour et de références à la culture populaire, et a été salué pour son approche unique du genre post-apocalyptique.

Rencontrez les personnages de Daybreak

Josh Wheeler

Josh, c’est ce héros sar-CASTIQUE qu’on adore mais qui gueule tout le temps (vraiment, il a un talent pour injurier la situation). Il est brave et complètement à côté de la plaque en même temps — il prend des décisions folles et ensuite panique comme un ado, ce qui est presque adorable. Hyper loyal, il ferait n’importe quoi pour ses potes, même si parfois il organise des plans à la va-comme-je-te-pousse qui finissent par marcher (par chance ou par miracle, je sais pas). Oh et il collectionne apparemment des trucs cassés, genre réservoirs de voitures ou des caddies — ne lui demande pas pourquoi, il t’expliquera avec un rire nerveux.

Angelica Green

Angelica est la reine du combo charme/machiavel, toujours souriante d’un côté et capable de te manipuler comme un pion de l’autre — oui, c’est inquiétant mais fascinant. Elle a ce style hyper soigné (paillettes, coiffure impeccable) et en même temps elle peut t’entraîner à une réunion militaire improvisée sans perdre une mèche. J’ai l’impression qu’elle cache une vraie fragilité sous ses ongles parfaitement laqués, genre parfois elle dort avec des boules Quiès — contre-intuitif mais crédible? — et elle rit trop fort quand c’est trop sérieux.

Samaira ‘Sam’ Dean

Sam, c’est la badass pragmatique qui parle peu mais qui fait tout, la leader silencieuse avec un cœur énorme et un sens de la stratégie digne d’un général (mais elle jure tout le temps, donc pas un général classique). Elle sait bricoler des armes, des radios et même des alliances improbables, et pourtant elle peut fondre en larmes devant un film débile — oui, elle a des contradictions, faut vivre avec. Protectrice jusqu’à l’obsession, tu sens qu’elle préfère encaisser les coups plutôt que demander de l’aide, ce qui est à la fois noble et catastrophique. Et petite manie: elle garde toujours un élastique à cheveux sur le poignet, comme si ça allait la sauver d’une apocalypse.

Wesley Fists

Wesley, oh mon dieu, Wesley c’est le type costaud, un peu mystérieux, qui frappe d’abord et pose des questions ensuite (ou pas du tout). Il semble taciturne mais il a des petites attentions cheloues, genre offrir des cookies ou des figurines de kung-fu, donc on sait jamais sur quel pied danser. Il prétend détester la violence mais ses poings racontent une autre histoire — nuance dramatique, énorme cœur sous une armure de biceps. Bref, il est à la fois protecteur, imprévisible et affreusement attachant, avec un rire qui sort quand il est embarrassé.

Turbo Bro Jock

Turbo Bro Jock, c’est le cliché turbo-boosté mais en fait, il est plus profond que son short—oui, shocker, je sais. Obsédé par la vitesse, les motos, les voitures, il parle en onomatopées quand il est excité et utilise « turbo » pour tout (toujours), mais il peut aussi te réparer un moteur avec trois trombones et un chewing-gum, ce qui est impressionnant. Il crie, il encourage, il crie encore, et puis parfois il s’attendrit devant un coucher de soleil ou un chiot — et là tu te dis « mais ok, d’accord ». Il est bruyant, loyal, parfois idiot, mais tu veux clairement qu’il soit dans ton équipe.

Mona Lisa

Mona Lisa, wow, drama queen et stratège, elle mélange maquillage parfait et instinct de survie félin, genre une héroïne gothique de sitcom post-apocalyptique. Elle adore les plans très élaborés et les costumes (toujours un masque trop cool), et en même temps elle peut pleurer en pensant à une chanson débile des années 2000 — émotion volatile, on valide. Loyal quand ça l’arrange, manipulatrice quand ça l’amuse, mais surprenamment généreuse à l’occasion (ça doit être les sandwichs cachés dans son sac). Petite habitude inexplicable: elle parle aux statues qu’elle trouve, pas en public, seulement quand il n’y a personne — ce qui est peut-être normal si tu vis dans ce monde.

Eli Cardashyan

Eli est l’incarnation du glamour raté en pleine apocalypse: toujours tiré à quatre épingles, selfie-ready, et prêt à dramatiser la moindre situation — et oui, il a un regard pour la caméra, même quand il n’y en a pas. Il joue la star, il vend du rêve, mais en coulisses il panique, il doute, et parfois il se montre étonnamment courageux (grosse surprise, j’ai failli pleurer). Il adore le clinquant, les meubles en vinyle et les contrats imaginaires, mais il a un petit côté protecteur qui te prend quand tu t’y attends le moins. Oh et il a une manie: collectionner les faux avis positifs — qui fait ça, franchement? Lui.

Ms. Crumble

Ms. Crumble, la prof un peu loufoque mais terriblement pratique, celle qui te donne un cours de maths en te lançant un couteau (ok bon, elle lance pas vraiment de couteaux, mais presque). Elle a toujours une trousse d’urgence, un gâteau mal cuit dans une boîte et un manuel scolaire qui devient une arme si nécessaire; on dirait un personnage tout droit sorti d’un conte pour enfants qui a lu trop d’encyclopédies. Elle parle en métaphores de cours et en fait, bizarrement, c’est souvent ce qui sauve la journée — logique tordue mais efficace. Et petite bizarrerie: elle adore les chaussettes dépareillées, comme un signe de résistance vestimentaire.

Michael Burr

Michael, le nerd humble et un peu gêné, c’est le type que tu sous-estimes et qui te surprend toujours (il a des plans dans sa manche, littéralement). Timide, sensible, il note tout dans son carnet et croit fermement qu’un bon diagramme peut résoudre presque n’importe quoi — parfois ça marche, parfois non, mais il y croit tellement que c’en est mignon. Il est maladroit socialement, mais courageux quand il le faut, et il a une peur irrationnelle des toasts brûlés (oui, vraiment). Bref, c’est le héros qu’on encourage en silence et qui finit par prouver que l’intelligence et la gentillesse, ça compte énormément.