À propos du And Just Like That… en quelques mots:

Et tout à coup… est un spin-off de l’emblématique émission de télévision Sex and the City. Elle suit les vies de Carrie, Miranda et Charlotte alors qu’elles naviguent dans leur vie à l’âge de 50 ans. L’émission présente également de nouveaux personnages, dont une distribution diversifiée et inclusive, tout en abordant des problèmes contemporains et des défis auxquels sont confrontées les femmes de tous âges.

Rencontrez les personnages d’And Just Like That…

Carrie Bradshaw

Carrie, c’est un feu d’artifice littéraire en stilettos — une écrivaine romantique qui peut devenir totalement chaotique en deux secondes. Elle parle d’amour comme si chaque paire de chaussures avait une histoire (ou peut-être l’inverse?), et en même temps elle a des moments terriblement lucides, douloureux même. Elle adore analyser tout, mais parfois elle dit « je ne veux pas analyser » et part marcher sans téléphone — ou est-ce qu’elle le garde toujours? Toujours un peu nostalgique, toujours un peu moderne, elle est parfois contradictoire et c’est pour ça qu’on l’aime.

Miranda Hobbs

Miranda, reine du pragmatisme et de la répartie, est ce genre d’âme coriace qui a bossé pour être libre — et on sent chaque bataille dans sa façon de parler. Elle est brillante, froide quand il le faut, mais fondante et maladroite dans ses rares élans sentimentaux (oui oui, elle peut pleurer sur un film kitsch, chut). Elle collectionne les fiches pratiques et déteste les surprises, sauf quand une surprise transforme sa vie — et là elle râle mais finit par sourire. Et puis elle fait des blagues cyniques qu’elle ne reconnaît même pas parfois, c’est adorable et un peu agaçant.

Charlotte York

Charlotte, oh la bonne âme parfaite et douce, le cœur en porcelaine (mais parfois en béton, si on la cherche). Elle croit au conte de fées et aux dîners élégants, collectionne les objets mignons et peut soudain fulminer comme un ouragan si quelque chose brise son esthétique — petite tyrannie adorable. Elle a une foi presque naïve en la gentillesse humaine, mais attention, elle sait aussi se défendre et a des opinions surprenantes sur l’art religieux et les chihuahuas. Parfois elle est trop polie, parfois trop intense, toujours incroyablement fidèle — et oui, elle a un penchant pour les cupcakes à trois heures du matin.

Che Diaz

Che, c’est une explosion d’énergie créative, à moitié comédien·ne, à moitié philosophe, toujours prêt·e à déstabiliser les conversations. Ils ou elles balancent des punchlines, bricolent des performances et ont un sens du style qui fait dire « wow » — et parfois « hein? » — en même temps. Complexe, drôle, politiquement affuté·e, mais aussi étonnamment doux·ce derrière la provocation; ils aiment le vinyle mais grondent contre la nostalgie quand elle devient paresseuse. On n’est jamais tout à fait sûr·e de ce qu’ils disent au premier degré et c’est précisément ce qui rend Che irrésistible.

Mr. Big

Mr. Big, l’archétype du charme old-school, riche en mystères et en costumes parfaits, avec un côté maladroit qui apparaît quand on le surprend à sourire comme un ado. Il respire le succès mais traîne des zones d’ombre — engagement difficile, cœur tendre sous une armure de control freak, et parfois il part en road trip sans prévenir (ou il dit qu’il part, parfois il part pas?). Il adore les voitures rapides, les burgers late-night et a un talent pour revenir pile au bon moment, ce qui énerve autant que ça fascine. Bref, il est insaisissable, sincère parfois, et surtout magnétique — et oui, il aime les petites attentions mais déteste les textes trop longs.