À propos du Atlanta en quelques mots:

Atlanta est une série télévisée américaine de comédie-drame acclamée par la critique qui a été diffusée en 2016. Créée et jouée par Donald Glover, la série suit la vie d’Earn, un étudiant fauché qui a abandonné ses études, et de son cousin, Paper Boi, un rappeur en devenir, alors qu’ils naviguent dans la scène musicale d’Atlanta et essaient de se faire un nom. La série est connue pour son écriture spirituelle, son récit unique et ses touches surréalistes, et a été saluée pour sa représentation réaliste de la vie d’un jeune Noir en Amérique.

Découvrez les personnages d’Atlanta

Darius

Darius, oh la la, le mec le plus imprévisible d’Atlanta — à la fois philosophe de canapé et détective des petites bizarreries de la vie. Il parle en énigmes, raconte des histoires qui commencent dans un snack et finissent en théorie quantique, et il est probablement en train de mâcher quelque chose (chips? herbe? un caillou, qui sait). Toujours calme, loyal au bord du nonchalant, mais capable de lancer une idée si tranchante que tu te demandes si c’était prévu; il dit des choses profondes sans jamais sembler les chercher. Il a des petites obsessions ridicules — les aquariums, les faux tatouages, les lunettes tombantes — et puis non, parfois il déteste les aquariums, allez comprendre.

Zan

Zan, c’est ce personnage qui te file l’impression d’avoir des centaines de vies à la fois, genre influenceur de quartier mais pas du tout calculé, t’as vu ? Il adore être au milieu du chaos, organiser des plans foireux à 2 h du mat et te convaincre que tout va marcher (spoiler: parfois ça marche, parfois non). On dirait quelqu’un qui lit des manuels de productivité pour les jeter ensuite et repartir en freestyle; il est drôle, dramatique, parfois agaçant mais toujours sincère. Petit détail inutile mais excellent: il collectionne des stylos bic — ou il dit qu’il les collectionne, peut-être qu’il les perd tous la semaine suivante.

Paper Boi

Paper Boi est l’alter ego rugueux et réaliste du rap d’Atlanta, vous savez — fier, méfiant, absolument pas dupe du monde de la musique. Il a ce mélange de colère froide et de sens de l’humour tranchant, protecteur envers sa famille mais pas toujours doux avec ses amis; genre il t’aime mais te le dira avec une insulte. C’est un gars qui veut réussir sans vendre son âme, ou il essaie au moins, et il garde toujours un flingue métaphorique (ou littéral?) sous le siège — je plaisante, ou pas. Et oui, il a un faible embarrassant pour des sneakers qu’il n’ose pas porter tous les jours, c’est touchant.

Van

Van, c’est la réalité douce-amère de la série: mère, ex, amie, parfois artiste, toujours fatiguée mais pas cassée. Elle garde les pieds sur terre, fait des choix pratiques et peut te regarder d’un regard qui résume une vie entière — et oui parfois elle chante sous la douche, pas très bien, mais avec conviction. Elle est sarcastique, chaleureuse à sa façon compacte, et a un radar anti-fête inutile hyper développé; en même temps elle aime les trucs kitsch comme les mugs à messages. On sent qu’elle voudrait partir loin ou juste dormir cinq heures d’affilée, la quête est la même.

Ahmad White

Ahmad White, personnage flamboyant et un peu mystérieux, genre businessman/poète selon l’humeur; il peut être charmant comme un vendeur de parfums et dramatique comme un acteur de soap. Il parle avec des métaphores, aime les costumes bien coupés et les répliques qui claquent, mais il a aussi des moments étrangement vulnérables où il collectionne des tickets de métro. Il est ambitieux, parfois cynique, parfois étonnamment généreux — c’est un cocktail imprévisible et addictif. Parfois tu penses qu’il exagère tout, parfois tu te rends compte qu’il avait raison depuis le départ; classic Ahmad.

Alicia

Alicia, elle débarque et bim, elle a une énergie qui te cloue: directe, pas là pour rigoler mais bizarrement super humaine. Elle peut être hyper organisée et en même temps perdre ses clés tous les jours — vraie championne du chaos planifié. Elle a ce genre de rires francs qui te détend, puis te lance un commentaire assassin qui te remet à ta place, et honnêtement on adore cette dualité. P.S. elle garde une boîte de cartes postales d’un ex dont elle ne sait pas quoi faire, c’est contradictoire et adorable.

Black Justin Bieber

Black Justin Bieber, haha, l’idée même te fait sourire — popstar, charme évident, un peu trop consciencieux de son image et pourtant étonnamment authentique. Il fait des chorégraphies dans sa cuisine à 3 h du mat, publie une story super propre et deux heures après poste un freestyle crado, parce que oui, il aime les contrastes. Il se prend au sérieux mais pas trop, le genre qui sait qu’il est cool et veut quand même savoir si tu l’es pour de vrai; parfois il est fragile, parfois une rockstar. Et il passe trois heures à coiffer ses cheveux pour les laisser ensuite en bataille, pourquoi? mystère.

Earn

Earn, le cerveau épuisé mais brillant d’Atlanta, toujours en train de calculer le prochain coup, souvent en retard et constamment en train de se justifier (à soi-même plus qu’aux autres). Il est obstiné, un peu maladroit socialement, et d’une loyauté compliquée envers ses proches — il veut réussir mais ne sait jamais si c’est pour l’argent, la dignité, ou juste pour prouver quelque chose. Sa vie est une suite de plans à moitié ficelés et de petites victoires honteuses, et il garde des reçus de tout, probablement pour une raison triste ou hyper organisée. Parfois il est un connard, parfois un héros pas reconnu, et les deux sont vrais en même temps, ce qui le rend tellement humain.