À propos du Derry Girls en quelques mots:

Derry Girls est une sitcom sur le passage à l’âge adulte qui se déroule dans les années 1990 à Derry, en Irlande du Nord. La série suit un groupe de cinq adolescentes naviguant à travers leur adolescence tout en vivant dans un environnement politiquement tendu et socialement conservateur. La série est connue pour son humour spirituel, ses personnages attachants et sa narration puissante sur la croissance dans un temps et un lieu uniques.

Découvrez les personnages de Derry Girls

Mary Quinn

Mary, oh Mary, la fille silencieuse mais pas du tout ennuyeuse—elle a la tête pleine d’idées et le regard un peu perdu comme si elle calculait une équation émotionnelle. Timide et pince-sans-rire, elle lâche parfois une phrase qui claque et tout le bus se tait (vraiment, on entendrait une épingle tomber). Elle garde des petits trésors dans sa trousse — des mots collés, des tickets, peut-être un crayon qui marche miraculeusement toujours — et affirme détester le chocolat mais, euh, ça dépend des jours. Elle est incroyablement loyale, très observatrice, et surprend tout le monde par des réactions ultra-pratiques quand il faut (mais pas quand il s’agit de choisir un film). Bref, Mary c’est le combo bibliothécaire secrète / ninja émotionnel, un peu mystérieuse, un peu adorablement bizarre.

Sister Michael

Sister Michael, c’est la religieuse qui pourrait te lancer un regard qui te réévalue la vie entière et ensuite t’offrir un sandwich (ou pas, elle est compliquée). Autoritaire, sèche, ultra-rationnelle mais avec un humour pince-sans-rire qui te fait rire quand tu ne devrais probablement pas. Elle aime l’ordre, les règles, et pourtant elle porte parfois des chaussettes dépareillées ou fait des choix étrangement imprudents (ce qui est fantastique). Très protectrice envers ses élèves, elle a un cœur caché sous un extérieur en béton, et on sent qu’elle ferait n’importe quoi pour qu’ils s’en sortent (même chanter au karaoké si nécessaire, je jure que ce serait un choc). Bref un roc, un mystère, une légende — et parfois un peu dessin animé live.

Sarah McCool

Sarah est la reine du sarcasme gothique, toujours en noir, avec des punchlines qui te laissent pantois et une passion intense pour l’esthétique morose (et peut-être des bougies aromatiques un peu inquiétantes). Elle voit le monde comme un film noir et commente tout avec une distanciation théâtrale, mais en vérité elle est profondément loyale et incroyablement sincère—si sincère que ça peut faire mal. Elle collectionne des choses vaguement sinistres (timbres déprimés? cailloux dramatiques?) et clame qu’elle n’a pas de sentiments — puis les protège comme une relique. Ambivalente, drôle, parfois mélancolique; Sarah est ce personnage qu’on admire de loin puis qu’on voudrait draguer un peu (ou du moins lui voler sa veste).

Clare Devlin

Clare, la fille ultra organisée qui a des listes pour ses listes — sérieuse, consciencieuse et parfois tellement stressée qu’elle opère comme une alarme humaine. Elle tend à garder tout sous contrôle (emploi du temps, émotions, snacks d’urgence) et a un sens moral presque comique tant il est strict ; elle est la voix de la raison mais souvent emportée par une panique intérieure. Timide mais résolue, elle peut paraître coincée et puis, soudain, lâcher une bombe de sarcasme ou un geste impulsif (oui, elle a un côté rebelle, caché dans un carnet à spirale). Elle note tout, se souvient des anniversaires, et a probablement trois applications de calendrier ouvertes en même temps — à la fois prévisible et surprenante, en gros.

Erin Quinn

Erin est l’éternelle narratrice: persuadée d’être la protagoniste d’un grand récit, elle parle, analyse, dramatise, et tout le monde l’écoute — ou du moins elle pense que tout le monde l’écoute. Ambitieuse et bavarde, elle a des rêves de journaliste/writer/cheffe de monde (selon le jour) et une confiance qui vacille mais qui revient toujours en fanfare. Elle se passionne pour les causes, construit des théories et ensuite change d’avis trois minutes plus tard — ce qui la rend à la fois adorable et exaspérante. Elle adore être au centre de l’attention mais a des moments d’incroyable empathie où elle oublie complètement son petit soi égocentrique. Bref, Erin c’est le feu d’artifice émotionnel: bruyante, idéaliste, un peu naïve, et totalement inoubliable.

Michelle Mallon

Michelle, c’est l’énergie brute en personne: vulgaire, brillante et terriblement drôle, une boule d’assurance qui fonce et qui te tire derrière sans demander. Elle protège sa bande comme personne, balance des remarques assassines mais a un cœur immense (même si elle prétend le contraire). Toujours prête à faire une connerie épique, elle a une sagesse de rue étonnante et un sens de la loyauté qui ne faillira jamais — sauf peut-être quand il s’agit de rendre un CD emprunté, ne lui faites pas confiance pour ça. Elle est glamour à sa façon (cheveux en bataille, sourire carnassier), un peu provocatrice, mais surtout irrésistible et incroyablement vivante.

Orla McCool

Orla est l’oncle/tante excentrique improbable — complètement décalée, avec des emplois bizarres (vendeuse de perfums? animatrice de club de yo-yo?), et un sens de la logique qui suit sa propre carte mentale. Elle dit des choses absurdes et ensuite, mystère, elles sont étrangement profondes; elle peut te raconter une blague incompréhensible et soudain te donner le meilleur conseil de ta vie. Douce, un peu enfantine, parfois incroyable et parfois totalement inefficace pour les tâches quotidiennes (elle oublie les clés, confond le lait avec le jus de fruit, qui sait), c’est la source de chaos chaleureux. On l’aime parce qu’elle apporte une magie naïve et sauvage dans la vie ordinaire — et aussi parce qu’elle nous fait rire aux pires moments.

James Maguire

James, le gars anglais dans un monde irlandais, élève modèle mais pas ennuyeux — plutôt adorablement maladroit et incroyablement poli (souvent moqué pour ça, mais il s’en fout, ou presque). Il a cette sensibilité littéraire, une curiosité douce et une façon de rester calme quand tout s’effondre autour de lui; parfois il sait plus que tout le monde et parfois il est perdu, comme nous tous. Un brin doutsider romantique, il collectionne les petites attentions (notes, playlists douteuses, photos floues) et adore l’apprivoisement social subtil. Il est gentil, parfois un peu trop convenable, mais il a des moments où il brille d’une confiance surprenante — et oui, il peut être un peu sarcastique quand il en a marre. Voilà James: calme, doux, étrangement résilient et étonnamment charmant.