À propos du It’s Always Sunny in Philadelphia en quelques mots:

« It’s Always Sunny in Philadelphia » est une série télévisée comique qui suit un groupe d’amis qui dirigent un pub irlandais sans succès à Philadelphie. Le spectacle tourne autour de leurs plans ridicules et de leurs mésaventures alors qu’ils essaient de devenir riches et de réaliser leurs rêves, souvent aux dépens des autres. Avec son humour irrévérencieux, ses personnages décalés et ses sujets tabous, « It’s Always Sunny » est devenu un favori culte parmi les fans. La série a été saluée pour son audace et sa volonté de traiter des sujets controversés avec une touche comique.

Découvrez les personnages de la série It’s Always Sunny in Philadelphia

Charlie Kelly

Charlie, c’est ce mélange improbable entre génie crado et innocence d’enfant mal élevé — toujours sale, toujours affamé, et terriblement attachant. Il écrit des chansons absurdes, parle aux rats comme si c’étaient ses conseillers spirituels, et je jure qu’il a un manuel secret pour tout (ou c’est dans sa tête, je sais plus). Il est à la fois super maladroit et dangereusement créatif, genre il peut construire un piège avec du fromage et des clous en deux minutes. Parfois il a l’air complètement perdu, parfois il a une logique tordue qui marche mieux que celle des autres; c’est étrange mais fascinant. Ah et il est obsédé par “la Serveuse” — romantique et pitoyable en même temps, classique Charlie.

Dennis Reynolds

Dennis est l’archétype du narcissique calculateur: beau, précis, et terriblement persuadé d’être une œuvre d’art ambulante. Il planifie tout, manipule avec des sourires glacés, et a ce truc inquiétant qui te fait douter si c’est charme ou danger (souvent les deux). Parfois il se comporte comme un gentleman un peu maniéré et puis bam, il bascule dans le mépris total — il est brillant ET détraqué, combine les deux comme personne. On dirait qu’il a un manuel sur « comment contrôler une pièce », mais il lit surtout le miroir; adorablement effrayant.

Mac

Mac se voit comme un maître du combat et un dur à cuire, mais en vrai il est souvent plus comique que menaçant — et il le sait pas toujours (ou il fait semblant). Obsédé par la musculature, les arts martiaux et la « spiritualité », il change d’avis sur presque tout (religion, sexualité, régime) du jour au lendemain, ce qui le rend imprévisible et hilarant. Il prend son rôle dans le gang très au sérieux, genre il s’entraîne pour rien la moitié du temps, mais il a aussi un cœur très… étrange et mou parfois. Et franchement, ces scènes où il essaie d’être crédible sont tout ce que j’aime, juste sublime.

Dee Reynolds

Dee, la grande blessée du groupe: veut être actrice, crie fort, prend des risques catastrophiques pour prouver qu’elle est « talentueuse » (spoiler: souvent non). Elle a une voix reconnaissable à dix kilomètres et une capacité étonnante à se ridiculiser avec style — mais bon, parfois elle déstabilise et surprend, elle peut vraiment être drôle sur le bon moment. Les autres la rabaissent constamment, du coup elle alterne entre rage froide et grande comédie, et c’est presque tragique. Petit détail: elle collectionne des accessoires bizarres et croit qu’un chapeau peut tout régler; honnêtement j’y crois aussi un peu.

Frank Reynolds

Frank est le chaos pur: milliardaire déglingué qui s’est mis à vivre comme un clochard par choix (ou par déchéance), il adore l’argent mais aussi l’odeur de la pourriture, c’est contradictoire et parfait. Il monte des combines immondes, vit dans des conditions déplorables, et en même temps c’est souvent lui qui a les idées les plus tordues mais efficaces; il est diaboliquement libre. Parfois il est presque paternel (dans sa façon tordue), parfois il est juste répugnant — et les deux font partie de son charme sauvage. Il a une collection de costumes bizarres et mange des choses que vous ne voulez même pas imaginer; j’adore le détester.