À propos du Schitt’s Creek en quelques mots:

Schitt’s Creek est une sitcom canadienne qui suit les vies de la famille riche Rose après qu’ils ont perdu leur fortune et sont forcés de vivre dans une petite ville qu’ils ont achetée autrefois comme une blague. La série explore les thèmes de la famille, de l’amour, de l’acceptation et de la croissance personnelle alors que les Roses apprennent à s’adapter à leur nouvel environnement et à redéfinir leurs valeurs. Avec un casting talentueux et un scénario spirituel, Schitt’s Creek a remporté de nombreux prix et des éloges critiques, en faisant un incontournable pour les fans de comédie et de narration émouvante.

Rencontrez les personnages de Schitt’s Creek

Twyla Sands

Twyla, c’est la douceur incarnée du café du coin, toujours souriante avec un petit air rêveur — on jurerait qu’elle a vécu dix vies avant Schitt’s Creek (ou peut-être c’était la ville d’à côté?). Elle connaît tout le monde et rien à la fois, elle retient les anniversaires et oublie parfois son propre prénom, enfin presque. Elle aime la musique folk, les biscuits maison et raconter des histoires qui finissent souvent par devenir plus romantiques qu’elles ne l’étaient vraiment. Sérieusement, on la veut comme meilleure amie — même si elle arrive toujours en retard aux rendez-vous, prétend ne pas aimer le café mais a un mug secret caché sous le comptoir.

Johnny Rose

Johnny est le prototype du businessman qui a perdu son empire mais pas son costume — il garde cette dignité un peu froissée, toujours en mode « plan B et C ». Il est hyper organisé, parle en graphiques dans sa tête et garde un optimisme têtue à la limite du toc (mais touchant). On sent le papa protecteur qui veut réparer tout le monde, même si parfois il panique devant un grille-pain moderne. Ah, et il adore les classeurs — non, vraiment, il a un classeur pour tout, même pour les classeurs, ce qui est soit adorable soit terrifiant, selon l’heure.

Jocelyn Schitt

Jocelyn, c’est la mamie cool et la présidente des soirées caritatives, essentiellement adorable et souvent un peu à côté de la plaque (dans le meilleur sens). Elle aime le théâtre de communauté, les petits événements scolaires et confond régulièrement les noms — mais d’une manière tellement chaleureuse qu’on lui pardonne tout. Elle est prête à tout pour organiser une fête parfaite, même si la déco part souvent en freestyle. Parfois étonnamment lucide, parfois totalement zen sur des trucs importants, elle a un sourire qui résout la moitié des drames du village.

Ted Mullens

Ted est le vétérinaire doux au regard un peu mélancolique, on veut le protéger autant que ses patients poilus. Sérieux et fiable, il a cette patience tranquille et un amour évident pour la nature — et pour Jocelyn, évidemment (il rougit parfois comme un ado, c’est adorable). Il parle aux animaux comme s’ils comprenaient tout, et parfois on se demande s’ils ne répondent pas (probablement oui). Il est un peu strict sur les horaires mais adore faire des croquis inattendus, genre esquisses de rennes pendant une réunion, et ça le rend surprenamment humain.

Moira Rose

Moira est un tourbillon dramatique avec des perruques pour chaque humeur et un vocabulaire qui pourrait être une langue à part entière — exagérée, divine, inoubliable. Elle est théâtrale, parfois incompréhensible (vraiment, qui invente des mots comme ça?), mais terriblement sincère dans ses excès; une diva qui a aussi un côté fragile qu’on sent derrière le maquillage. Elle raconte des histoires d’un passé glamour qui varient selon l’auditeur (amoureuse de toute version, manifestement), et porte des robes qui défient la gravité. La voir bouger dans la maison, c’est comme regarder un opéra miniature — et oui, elle a probablement une collection de chapeaux qui pourrait financer une petite île.

Roland Schitt

Roland, le maire qui parle fort et aime encore plus parler fort, assez brutal parfois mais avec un humour de col bleu qui te prend par surprise. Il est un peu intrusif (ok, souvent), adore diriger les choses même quand il n’y connaît rien, et raconte des anecdotes qui finissent toujours trop bruyamment. Il a un vrai cœur (caché derrière un humour douteux), et on se rend compte qu’il est fidèle au fond, même si ses méthodes sont… eh, spécifiques. Petit détail: il a une passion inexplicable pour les biscuits secs et les concours locaux — vraiment, personne n’a jamais compris pourquoi.

Stevie Budd

Stevie est la reine du deadpan, une introvertie brillante qui gère le motel avec un cynisme charmant et un flegme légendaire. Elle dit rarement plus que nécessaire mais chaque phrase est une petite bombe d’ironie; elle a un sens pratique imparable et un humour noir qu’on adore. Elle paraît blasée mais protège ses amis comme un bulldog qui ferait la sieste — loyal mais discret. Parfois elle prétend qu’elle ne veut pas partir d’ici, parfois elle dit qu’elle fuit tout le monde, donc bon, elle est contradictoire et parfaite.

Patrick Brewer

Patrick est le calme dans la tempête, l’âme douce et organisée qui sait gérer une entreprise et un cœur brisé avec la même élégance. Hyper compétent, méthodique, il a ce côté « maison parfaite » — il plie les serviettes à la perfection et peut monter un meuble sans jurer (peut-être). Il est patient, romantique sans être cucul, et supporte David avec un mélange de fierté et de résignation charmante. Oh et petit truc mignon: il a une playlist secrète de slow des années 80 qu’il refuse d’admettre exister.

Alexis Rose

Alexis, la starlette repentie devenue entrepreneuse confuse, c’est un tourbillon de charme, de drama et de « tu te souviens de ce gars? » en permanence. Elle parle vite, se reconstruit en live et collectionne les jobs improbables (influenceuse, attachée de presse, experte en… tout et rien). Elle est adorablement égocentrique mais fondamentalement bénévole quand il le faut — genre elle s’investit à fond, souvent sans plan. Contradiction adorable: elle déteste les rendez-vous ennuyeux mais adore organiser des brunchs thématiques pendant des heures.

David Rose

David est l’ironie ambulante en option couture: sarcastique, anxieux, fashionista juste ce qu’il faut et absolument incapable de faire semblant d’aimer ce qu’il n’aime pas. Il protège ceux qu’il aime avec une intensité dramatique et un penchant pour la déco monochrome (tout est noir, gris et un soupçon de sarcasme). Il parle en punchlines et en regards, mais est aussi étonnamment vulnérable — genre il pleure silencieusement devant une bougie parfumée. Parfois il déteste les petites villes, parfois il ne supporte pas les estrangers, mais il a aussi plus de patience que ce qu’il laisse paraître (et une collection de plantes très consciente et très dramatique).