À propos du The Marvelous Mrs. Maisel en quelques mots:

La merveilleuse Mme Maisel est une série originale d’Amazon Prime Video se déroulant à la fin des années 1950 et au début des années 1960. La série suit Miriam « Midge » Maisel, une femme au foyer douée pour la comédie debout qui découvre sa passion après que son mari la quitte. Avec des costumes d’époque époustouflants et un script hilarant, cette série primée a été saluée pour ses personnages féminins forts et son humour spirituel.

Découvrez les personnages de The Marvelous Mrs. Maisel

Sophie Lennon

Sophie, quelle créature scénique — diva, mystère et paillettes, tout ça à la fois. Elle a ce sourire trop parfait et ces répliques qui te font croire qu’elle est inattaquable, alors qu’en vrai elle ruse plus qu’une renarde (ou est-ce une métaphore trop dramatique? probablement). On sent qu’elle transporte une armée de secrets sous son chapeau haut de forme, et parfois elle est étonnamment tendre — ou c’est juste une pose, difficile à dire. Elle est excessive, glamour et un peu dangereuse, et j’adore la façon dont elle peut être à la fois chaleureuse et complètement calculée.

Shirley

Shirley, c’est la voisine chaleureuse qui connaît tout le monde et ne peut pas s’empêcher de juger — mais avec des biscuits, donc pardonnable. Elle a toujours une anecdote sur la vie d’autrefois, mélange de nostalgie et de ragots (souvent dans le même souffle). Parfois elle prend des airs très maternels, puis bam, elle te claque une remarque qui fait rire et pleurer en même temps; elle est complexe parce qu’elle est simple, oui ça sonne contradictoire mais c’est elle. On la voit souvent en talons confortables, prêt à défendre ses convictions, et parfois elle oublie pourquoi elle est entrée dans la pièce — classique.

Joel

Joel, oh Joel, théâtreux, un peu immature, mais étrangement charmant quand il veut — genre il a ce charisme désordonné. Il adore se sentir important, se voyait en star et parfois il l’est, par accident plus que par planification. Il est capable d’être adorablement naïf et aussi terriblement égocentrique, souvent dans la même scène — c’est ce qui le rend humain et agaçant en même temps. Et il aime improviser des blagues qui tombent à plat, mais on l’aime quand même, forcément.

Rose

Rose est la mère sophistiquée qui respire l’art et le chic, toujours impeccable, grande protectrice du paraître (et du bien-être familial aussi). Elle a ce mélange de froideur polie et d’amour inconditionnel, et parfois elle est plus honnête qu’il ne le faudrait — petite commère raffinée, vous voyez? Elle adore décorer, donner des conseils stylistiques non sollicités et prononcer des phrases qui sonnent comme des verdicts. Elle peut sembler légèrement snob et après, bam, te préparer un sandwich avec une sincérité adorable; très contradictoire mais on l’adore.

Moishe

Moishe, grand oncle barbu ou voisin vénérable — toujours une formule en Yiddish à te lancer, parfois une anecdote qui n’a ni queue ni tête mais qui finit toujours par faire sens. Il est un peu grincheux mais d’une tendresse qui se cache sous des couches de sarcasme, et il connaît des recettes de soupe comme personne. Parfois il exagère tout — ah non, il a peut-être tout inventé? — mais ce sont ces histoires-là qui font son charme. Il semble à la fois attachant et épuisant, mais bon, qui n’aime pas un peu de chaos familial?

Lenny

Lenny Bruce, légende du stand-up, électrique et incandescent, parfois brutalement honnête au point de te couper le souffle (et de te faire rire nerveusement). Il a cette énergie anarchiste, il déteste les règles et adore les contours flous; capable de t’illuminer une salle entière et de s’autodétruire la minute d’après. Il est brillant, furieux, drôle et un peu tragique — la combo parfaite pour un personnage qui te hante. Et oui, il fume peut-être trop, parle trop vite, mais c’est ce qui rend ses monologues irremplaçables.

Midge

Midge, explosion de jupons et de répartie, elle est pétillante, courageuse et absolument incapable de rester tranquille sur scène. Elle pense en punchlines et vit pour les projecteurs, mais elle est aussi étonnamment vulnérable — souvent au mauvais moment, haha. Elle jongle entre l’envie d’être drôle et la peur de décevoir sa famille, ce qui crée ce contraste délicieux à regarder. Elle est chaleureuse, excessive, un brin dramatique, et parfois elle récite des blagues à table comme si c’était la chose la plus normale du monde.

Benjamin

Benjamin, le petit bonhomme qui te surprend par sa clairvoyance (et par parfois te voler la scène sans le vouloir). Il est mignon, un peu sérieux pour son âge, et a des moments de sagesse qui semblent venir d’un adulte coincé dans un corps d’enfant — ou alors il joue la comédie déjà, qui sait? Il peut être facétieux, parfois trop calme, parfois hyper expressif, genre tu ne sais jamais vraiment quel Benjamin tu vas avoir ce soir. En tout cas, il ajoute une douceur sincère à tout chaos familial, même quand il jure salement (ok, peut-être pas souvent).

Susie

Susie Myerson, best manager ever, elle est râleuse, fonceuse, directe et loyale jusqu’à l’os — et je la vénère littéralement. Elle parle sans filtre, fume peut-être trop, et a un sens des priorités très particulier (la carrière avant tout, même si ça implique du sabotage subtil). Elle voit les choses à froid, calcule, pousse, tape, et te sortira d’un pétrin sans un sourire (mais elle en a un, c’est caché). Parfois elle est étonnamment tendre, et d’autres fois totalement impitoyable — une pierre et une plume en même temps, c’est hypnotisant.

Abe

Abe Weissman, l’intellectuel un peu sec qui aime les équations plus que les hurlements mais qui, surprise, a un cœur énorme (ou du moins des poches pleines de principes). Il est fier, drôle sans le vouloir, et adore corriger tout le monde — en particulier la ponctuation morale du monde. Souvent il joue l’autorité rigide, puis se révèle vulnérable dans des moments où on ne l’attend pas; c’est très sympa à observer. Il a ce côté très logique et en même temps des lubies sentimentales assez adorables, comme un mathématicien qui cache un roman.