À propos du This Is Us en quelques mots:

« C’est nous » est une série télévisée acclamée qui plonge dans la vie de la famille Pearson, capturant leurs triomphes, leurs chagrins et leurs moments quotidiens. S’étendant sur différentes périodes de temps, l’émission tisse habilement des récits qui explorent l’amour, la dynamique familiale et la croissance personnelle. Grâce à sa narration captivante, « C’est nous » aborde une gamme de thèmes relatifs à l’identité, la perte et les liens durables qui nous unissent. Avec un casting exceptionnel, des performances poignantes et des intrigues stimulantes, cette série a touché une corde sensible auprès des auditoires du monde entier, résonnant profondément et nous rappelant la beauté et la complexité des connexions humaines.

Découvrez les personnages de This Is Us

Jack Pearson

Jack, c’est ce type qui combine le père héroïque et le gars maladroit qui tente toujours de réparer quelque chose (souvent avec du ruban adhésif, oui vraiment). Il a ce côté chaleureux, un sens du sacrifice qui te serre la gorge, mais il peut aussi être étonnamment enfantin, genre il adore les blagues plates à table. Il prend les choses très à cœur, un poids sur les épaules qui se voit dans le regard — mais il rit fort, il fait des pancakes à l’aube et il sent parfois un peu comme du café renversé (bizarre, je sais). Franchement, il est à la fois simple et compliqué, et c’est pour ça qu’on l’aime follement.

Randall Pearson

Randall c’est le cerveau hyper-organisé qui sent la liste de tâches à dix kilomètres, mais qui cache une merde d’émotions bouillonnantes sous la chemise impeccable. Il est brillant, compétitif, hyper engagé socialement, et parfois il panique pour des choses qui semblent ridicules — puis il s’en sort toujours, bizarrement. Il a des rituels bizarres (oui, il aime ses petits carnets) et il peut être à la fois ultra-pratique et complètement théâtral selon l’humeur. C’est le genre à tout planifier pour faire le bien, mais il oublie parfois de respirer en chemin — très humain, quoi.

William Hill

William, oh William, le père imparfait qui arrive avec des histoires folles et une sagesse abîmée par la vie; il a un charme cassé qui te frappe direct. Il est tendre, drôle à sa façon grinçante, et il porte ses regrets comme un manteau trop grand, mais il essaie — et ça compte. Il parle souvent de musique ou de petites choses poétiques, même s’il s’emporte parfois ou disparaît un peu (dangereux mélange de fragilité et de mystère). Franchement, on veut le secouer, le remercier, puis lui pardonner tout en s’étant énervé cinq minutes plus tôt; c’est tellement pas simple et tellement humain.

Beth Pearson

Beth est une tornade contrôlée — discipline, ambition, cœur gros comme une maison, et une patience parfois effrayante. Ancienne danseuse (ou du moins elle me donne cette vibe de ballerine qui a su encaisser), elle impose le respect et les limites mais a un humour sec qui surprend toujours. Elle peut être hyper stricte sur certaines choses et complètement folle sur d’autres, genre collectionner des trucs ridicules ou chanter des chansons stupides à 3h du matin. Elle est la fondation solide de la famille mais attention, elle a des secrets de douceur qui te font fondre.

Rebecca Pearson

Rebecca, la matriarche qui pourrait être à la fois diva de Broadway et mamie gâteau selon l’épisode — quelle actrice, quelle énergie ! Elle est ambitieuse, aimante, parfois autoritaire (oui, la fameuse façon de vouloir tout contrôler), mais toujours prête à se battre pour ses enfants. Elle a des manies mignonnes (le rouge à lèvres impeccable, ou l’habitude de raconter la même anecdote en s’emmêlant parfois) et des failles qui la rendent incroyablement sincère. Bref, elle brille, se trompe, se répare, et on l’adore pour tout ça.

Kate Pearson

Kate, c’est le cœur sur la main mais avec un sac à dos rempli d’insécurités — elle lutte avec son image, cherche sa place, et pourtant elle déborde d’amour. Elle est drôle sans le vouloir parfois, ressemblerait à quelqu’un qui mange une tarte en espionnant la vie des autres (ok, cliché mais vrai). Elle est étonnamment résiliente, se relève, se fâche, pleure, puis repart; et elle a des petites obsessions qui vont des chansons tristes aux animaux mignons. On veut la protéger et lui dire 10 fois qu’elle est parfaite, même quand elle doute encore.

Kevin Pearson

Kevin, l’éternel charmeur qui balance entre ego de star et besoin d’être aimé — grosse boule d’angoisse dans un corps qui sourit facilement. Il est drôle, impulsif, fait des choix idiotes mais a ce côté profondément loyal quand ça compte vraiment (même si ça arrive tard). Il collectionne les figurines inutiles, les répliques cultes, et les regrets — parfois il est sérieux comme un roc, parfois il disparaît dans la vodka (bon ok, pas que la vodka, tu vois l’idée). C’est le clown blessé qu’on supporte, qu’on aime et qu’on secoue un peu trop souvent.

Toby Damon

Toby, le gars doux, maladroit et tellement loyal qu’on en pleurerait; il est le genre de personne qui met une couverture sur toi même si tu dis que t’as chaud. Il a un humour sec, des pauses gênantes et une honnêteté brute — parfois il est gênant, parfois il est la meilleure chose qui soit. Il lutte avec ses propres démons (la déprime, etc.), mais il est aussi incroyablement présent et étonnamment résilient; il a des hobbies bizarres (je jure qu’il doit posséder un nombre incalculable de chaussettes mignonnes). Bref, un allié parfait, un peu bancal, mais tellement vrai — on en redemande.