À propos du Unbreakable Kimmy Schmidt en quelques mots:

Unbreakable Kimmy Schmidt est une série comique décalée qui suit l’histoire de Kimmy Schmidt, une jeune femme qui vient d’être sauvée d’une secte apocalyptique où elle était retenue captive depuis 15 ans. Maintenant libre de vivre sa vie dans la grande ville, Kimmy se fraye un chemin à travers un monde étrange avec sa personnalité vive et optimiste. En chemin, elle se lie d’amitié avec des personnages improbables tels qu’un acteur en herbe nommé Titus, une riche mondaine nommée Jacqueline et une propriétaire excentrique nommée Lillian. La série est connue pour son humour piquant, ses personnages colorés et ses thèmes réconfortants de résilience et d’espoir.

Découvrez les personnages d’Unbreakable Kimmy Schmidt

Gretchen

Gretchen, elle est genre la survivante qui a encore un peu de bunker dans le regard — un mélange de mélancolie et de drama permanent. Toujours prête à juger (gentiment) mais aussi à s’effondrer pour un gloss ou un shampooing, c’est un peu la queen du petit scandale domestique. Parfois elle se veut mystérieuse et ensuite elle raconte la recette de sa tarte comme si c’était un secret d’État — je te jure. Elle paraît froide mais a un cœur molletonné, et je suis presque sûre qu’elle collectionne des tasses avec des chats (ou pas, j’ai entendu aussi l’inverse).

Xanthippe

Xanthippe, quelle caricature délicieuse de l’adolescente riche et perdue — trop d’émois, trop de eyeliner, elle fait des phrases philosophiques à 2h du mat. Elle peut être horriblement snob une seconde et puis, boom, tu la surprends à pleurer devant un film de science-fiction culte (oui, vraiment). Elle adore l’art contemporain même si parfois elle confond un sac poubelle avec une installation — ce qui est peut-être de l’art, qui sait. J’ai l’impression qu’elle change d’avis toutes les cinq minutes mais c’est ça qui la rend imprévisible et attachante.

Donna Maria

Donna Maria débarque comme la voisine qui sait tout sur tout (et qui n’a pas peur de le dire), une force tranquille avec un accent qui te cloue le bec. Elle tient la baraque, donne des conseils pratiques et des baffes morales quand il faut, et bon sang elle cuisine comme une reine — parfois elle offre des empanadas et parfois elle te mesure la vie en telenovelas, c’est la même personne. Elle est ferme mais douce, très ancrée dans le réel, sauf quand elle te parle de ses rêves bizarres à 3h du matin (rêves impliquant des perruches et des dettes mystérieuses). J’adore qu’elle soit à la fois super logique et complètement théâtrale par moments, contradiction parfaite.

Cyndee

Cyndee, c’est la joie condensée en humaine, sérieusement — elle a une naïveté solaire et une façon de reformuler le monde qui te fait sourire même si tu veux pas. Elle dit des choses qui n’ont pas toujours de sens mais qui trouvent leur place, comme si chaque phrase était une chanson courte. Parfois elle semble un peu perdue (genre, comment fonctionne un grille-pain?), mais elle est aussi étonnamment perspicace quand ça compte. Et puis elle a des tics adorables, des rires qui partent trop fort, je la vois bien collectionner des autocollants de licornes (ou au contraire, coller des autocollants sur des factures, on peut pas savoir).

Mikey

Mikey est ce type doux et un peu gauche que tu veux serrer dans tes bras — genre un chiot humain, vraiment. Il est loyal, maladroit en amour et souvent convaincu que ses idées géniales sont révolutionnaires (parfois elles le sont, parfois… moins). Il adore les vélos, les pizzas et parler de ses rêves professionnels comme s’ils étaient des plans militaires top secrets. Parfois il manque de confiance, parfois il se transforme en roc; il est contradictoirement stable et imprévisible, ce qui le rend touchant.

Jacqueline

Jacqueline, la femme des hautes sphères transformée en femme qui essaie de se réinventer — elle a les costumes, les cocktails et un passé qui lui colle à la peau. Elle joue la froideur mais craque souvent pour des choses ridiculement mignonnes (genre un chien miniature ou une déco de Noël en août), et je suis sûre qu’elle collectionne des foulards signés (ou peut-être des factures anciennes, j’oublie). Elle adore le contrôle et la façade mais bon, derrière tout ça il y a une femme qui cherche à ne pas pleurer devant son café — et qui y arrive rarement. Son élégance cache une vulnérabilité énorme, mais elle la porte comme un tailleur Chanel (avec des paillettes, parfois).

Lillian

Lillian est un personnage complètement crayonné, anti-système, anti-tout mais surtout anti-ennui — elle hurle contre la modernité et pourtant connaît toutes les paroles des chansons pop de 2003 (c’est fou). Propriétaire inventive, militante improbable, elle a des principes excentriques et une collection de reliques urbaines (surnaturelles?) que personne d’autre ne comprend. Elle dit des choses absurdes et puis, cinq minutes après, balance une vérité qui te coupe le souffle; c’est à la fois hilarant et réconfortant. Parfois elle fait semblant de détester les gens et en vrai elle adooore les squats de voisins — grosse contradiction, mais charmante.

Titus

Titus, le roi du dramatique et du cabotinage, une tornade de talent et de punchlines — il vit pour la scène, pour les costumes et les moments où il peut briller (parfois littéralement). Il est égocentrique, oui, souvent insupportable, mais son sens du sacrifice et son cœur immense te frappent au détour d’une chanson improbable. Il parle en punchlines, mais il a des insécurités profondes (sur sa carrière, ses amours, ses paillettes), et ça le rend humain. Je jurerais qu’il garde un carnet de rêves de comédies musicales et aussi un post-it avec des insultes adorables (ou des listes de courses, qui sait).

Kimmy

Kimmy, la meilleure explosion de positivité que la télévision ait connue — résiliente au possible, naïve parfois mais d’une volonté de fer. Elle voit le monde avec des yeux d’enfant rebelle et transforme chaque catastrophe en opportunité (et en chanson si nécessaire). Elle est hyper organisée d’une manière bizarre (Post-it + plans d’évasion = style de vie), mais parfois elle oublie des détails essentiels comme où elle a garé sa voiture — c’est contradictoire et parfait. Kimmy est à la fois fragile, acharnée, drôle et terriblement inspirante, et on devient vite accro à son optimisme maladroit.