À propos du What We Do in the Shadows en quelques mots:

What We Do in the Shadows est une série télévisée de comédie-horreur en mode faux documentaire qui suit la vie de quatre colocataires vampires alors qu’ils naviguent dans le monde moderne à Staten Island, New York. La série est basée sur le film du même nom de Taika Waititi et Jemaine Clement sorti en 2014, et met en vedette un ensemble de talents qui donnent vie aux personnages excentriques et absurdes. La série combine des éléments d’horreur et d’humour pour créer une expérience de visionnement unique et divertissante.

Découvrez les personnages de What We Do in the Shadows

Nandor

Nandor est ce vampire un peu pataud mais tellement grandiose, le genre de leader qui crie «CONQUÊTE!» en buvant du thé à cinq heures. Il se prend pour un guerrier légendaire — vraiment, il le pense — mais il a aussi des insécurités ridiculement humaines et il oublie souvent où il a mis son épée (ou son canapé, on sait jamais). Il est formel, cérémonieux, adore les rituels anciens et en même temps il est hyper maladroit avec la technologie moderne, genre il confond la télécommande et une baguette magique. Il collectionne des cuillères étranges et prétend être indestructible, sauf quand il fond en larmes devant un feuilleton, ce qui est à la fois tragique et adorable.

Laszlo Cravensworth

Laszlo, oh mon dieu, quel personnage — l’aristocrate décadent, charmeur, un peu farfelu, qui joue de la guitare et récite des poèmes douteux à trois heures du matin. Il a ce mélange parfait de cynisme et d’enthousiasme pour les choses ridicules: il adore le glam, déteste les trucs «boring», et son humour est aussi noir que ses costumes. Il est outrageusement confiant, surtout quand il raconte ses exploits, toutefois il a des faiblesses étranges (sincèrement, il pleure devant les comédies musicales parfois) et il prétend ne jamais cuisiner mais en réalité il fait des omelettes comme personne… enfin, c’est ce qu’il dit.

Nadja

Nadja, reine du drame et de la nostalgie éternelle, elle vit surtout dans son passé romantique et ça la rend à la fois terrifiante et incroyablement attachante. Elle est féroce, intelligente, et protective comme une mère tigre — surtout quand il s’agit de ses histoires d’amour anciennes (qui sont, clairement, mille fois compliquées). Elle parle souvent de la Bulgarie, chante sans prévenir et garde des souvenirs bizarres dans des boîtes, parfois des trucs qui semblent incohérents mais qui ont du sens pour elle; elle aime aussi les chats, ou était-ce un rat? On n’est jamais sûr, et c’est parfait comme ça.

Guillermo de la Cruz

Guillermo est le fidèle, le cœur pur et parfois désespéré du groupe: dévoué, travailleur, et complètement coincé entre son rêve d’être vampire et sa conscience de chasseur de monstres, oui c’est un vrai dilemme. Il est drôle parce qu’il essaie toujours d’être sérieux (surtout quand il gère les choses pratiques), mais il a des hobbies adorables et un peu surprenants — il tricote peut-être, ou il collectionne des couteaux de cuisine, je mélange toujours les deux. Il est loyal jusqu’à l’os, incroyablement compétent quand il faut nettoyer une scène de crime ou faire un repas, et en même temps il panique devant une simple araignée, ce qui est ridiculement humain.

Colin Robinson

Colin Robinson est l’anti-épateur absolu: terne, monotone, parfaitement ennuyeux et pour ça, diaboliquement efficace — il vous pompe l’énergie sans que vous sachiez pourquoi, souvent en parlant des choses les plus nulles au monde. Il travaille dans un bureau et adore la bureaucratie, les rapports, les graphiques, pourtant il a des hobbies surprenants (parfois il fait de la poterie? non, ou alors il adore les soirées dansantes, je confonds tout). Sa présence est à la fois comique et un peu horrible, parce que, oui, il peut vous écraser la joie en dix minutes et revenir ensuite tout à fait normal, comme si de rien n’était. Il est l’illustration vivante que l’ennui peut être une arme, et c’est fascinant.