À propos du Aarya en quelques mots:

Aarya est une série indienne de drame criminel qui suit l’histoire d’une femme qui entre dans le monde des drogues illégales pour sauver sa famille. La série présente des performances puissantes de son casting, une intrigue captivante et des séquences d’action intenses. Le spectacle met en évidence les luttes des femmes dans les industries dominées par les hommes et les efforts qu’elles feront pour protéger leurs proches.

Rencontrez les personnages d’Aarya

Aarya Sareen

Aarya, c’est la tornade calme — elle a cette façon de rester posée quand tout part en vrille, et pourtant elle peut devenir terrifiante en une fraction de seconde. Méthodique, rusée et follement protectrice avec sa famille, elle prend des décisions impossibles avec une sorte de logique froide… mais parfois elle pleure en cuisinant, oui vraiment, elle cuisine! Elle est à la fois mère, chef d’un monde dangereux et actrice d’un plan qui change tout, et tu sens qu’elle dort peu (ou beaucoup, impossible à savoir). J’adore qu’elle soit élégante et crasseuse à la fois, genre bijoux de famille + bottes boueuses — c’est tellement elle.

ACP Khan

Khan est le flic qu’on respecte même si on voudrait parfois l’envoyer en prison pour entêtement — ultra-professionnel, mais avec des failles humaines qui le rendent hyper intéressant. Il aime les procédures, la preuve par les faits, et pourtant il a ce petit côté sentimental (il garde des photos, il oublie des rendez-vous, il bougonne) — bref pas un robot. Parfois il plie les règles, parfois il s’enferme dedans comme dans une armure; ça dépend de la lune, ou du thé, ou des deux. Et je jure qu’il a une montre cassée qu’il regarde comme si elle lui donnait des réponses… bref, on le sent capable de tout pour la vérité.

Arundhati

Arundhati c’est la vipère glamour — froide, calculatrice, et magnifiquement difficile à cerner; on croit tout de suite savoir ce qu’elle veut et puis non, elle surprend. Elle manie la manipulation comme d’autres font la couture, délicatement et sans tacher (ou presque), et elle a un sens du détail qui fait flipper — mais parfois elle rit comme une ado, ce qui te désarme complètement. Loyal(e)? Parfois. Traître? Aussi parfois. Et elle collectionne des petites habitudes bizarres — des cartes postales, des recettes, des reproches — j’adore son côté imprévisible.

Veer

Veer est ce personnage magnétique qui te fait lever les sourcils: charmeur, impulsif, super protecteur mais parfois carrément immature (oui je dis ça). Il part au casse-pipe parce que le cœur le dit plus que la tête, et ça le rend à la fois héroïque et sacrément casse-couilles — mais bon, on l’aime pour ça. Il aime le grand geste, les motos et les phrases dramatiques à la fin des repas, et en même temps il est capable d’un silence profond qui te fiche les jetons. Petites incohérences adorables: il te fait des sonnets et oublie où il a mis ses clés.

Daulat

Daulat a ce profil de patriarche ancien style, tout en calculs et regards lourds, mais il n’est pas juste un méchant cliché — il ressent, il pèse, il planifie comme un joueur d’échecs nerveux. Impitoyable quand il faut, étonnamment sentimental sur un détail (une lettre, un nom, un parfum), donc parfois tu le plains quand tu devrais le haïr, ce qui est déroutant. Il parle peu mais sa présence remplit la pièce; il aime les choses simples parfois (un dahlias? un vieux radio?) et parfois le luxe de la domination — contradiction, toujours. Et franchement, il a des tics bizarres, genre remettre sa montre à l’endroit trois fois avant de prendre une décision; c’est flippant et fascinant.