À propos du Banshee en quelques mots:

Banshee est une série télévisée américaine de drame criminel qui suit l’histoire de Lucas Hood, un ex-détenu et maître voleur qui assume l’identité du nouveau shérif de Banshee, en Pennsylvanie. La série explore le côté sombre et violent de la ville alors que le passé criminel de Hood le rattrape et qu’il se retrouve impliqué dans un monde de drogue, de corruption et de criminalité organisée. Avec un casting talentueux et une intrigue intense, Banshee est un incontournable pour les fans du genre criminel.

Rencontrez les personnages de Banshee

Lucas Hood

Lucas, c’est ce mélange improbable de charme crasseux et de traumatisme ancien — genre beau gosse fauché qui a appris à se battre pour respirer. Il se fait passer pour shérif mais c’est un ex-taulard avec un code moral tordu, du genre qui te sauve la vie puis te ment direct après (et il sourit en le faisant). Il est drôle parfois, mélancolique souvent, violent quand il faut, et absolument incapable d’écrire un rapport sans raturer trois fois; j’insiste, il déteste la paperasse mais adore réparer les choses cassées (voitures, vies, ou bouteilles). Ah et il boit du café noir comme s’il fallait que son foie tienne le récit — soit disant il n’a pas de peur mais on voit bien qu’il en a plein, et c’est ce qui le rend vivant.

Carrie Hopewell

Carrie est tout en contradictions douces et tranchantes: mère aimante et menteuse professionnelle, genre tu voudrais lui confier tes gosses et tes secrets, mais surtout pas en même temps. Elle a ce calme clinique — organisée, froide au besoin — et puis hop elle explose en gestes protecteurs qui te surprennent, parfois même elle danse un peu quand personne ne regarde (vrai ou pas, je jure l’avoir imaginé). Elle sait se défendre, a un passé qui claque comme une porte, et conserve quand même un placard plein de biscuits maison (ou elle prétend en avoir, je ne sais plus). Bref, c’est la femme qui garde tout ensemble malgré les fissures, et ça la rend magnétique et terrifiante selon l’humeur.

Kai Proctor

Proctor, c’est l’archétype du seigneur local — riche, poli, avec des manières impeccables et un coffre plein de menaces silencieuses. Il taille les gens comme il taille sa pelouse: précision, exigence, et zéro pitié, sauf pour des trucs imprévus (une faiblesse pour une certaine loyauté? ou juste caprice, difficile à dire). Il adore le contrôle, les codes ancestraux et les rituels, et en même temps il peut se salir les mains en un clin d’œil; élégant mais brutal, un peu dangereux comme un verre de cognac laissé près d’une bougie. Et il collectionne des choses étranges, paraît-il — des objets d’antan, des sourires gagnés par la peur — bref, il a un goût pour la mise en scène.

Sugar Bates

Sugar, c’est le coeur brûlant du bar — chef, barman, ex-taulard, on ne sait plus où il s’arrête et où commence sa cuisine émotionnelle. Il te raconte des histoires en mélangeant recettes et vie (il a probablement une sauce secrète pour quand la situation est trop lourde), et il est drôle sans effort mais aussi triste comme un dimanche pluvieux; parfois il rit, puis il pleure un peu, on ne sait plus. Il est costaud mais délicat dans ses gestes, protecteur comme un frère, parfois un peu trop loquace, parfois silencieux; et il a une odeur indéfinissable de bacon chaud et de vieux livres. Sérieusement, il ferait la paix entre deux ennemis rien qu’en leur servant un plat — ou du moins, il essaierait très fort.

Deputy Brock Lotus

Brock est ce flic un peu gauche mais endurant, toujours prêt à suivre les règles… jusqu’à ce qu’il les plie (ou plie sous la pression, on n’est jamais sûr). Loyal au possible, il a l’air d’un mec qui essaie de faire bien mais se retrouve souvent en train de prendre la décision la plus compliquée de la pièce, avec des mains qui tremblent un peu — mais bon, quand il faut, il est étonnamment solide. Il collectionne des timbres? des porte-clés? (ok, peut-être je confonds avec quelqu’un d’autre, mais il aime organiser des choses). En résumé: gentil maladroit, parfois courageux, parfois peureux, très humain et incapable de mentir proprement sans rougir.

Job

Job, c’est le type silencieux et massif qui parle peu mais dont chaque action pèse lourd — un mercenaire avec des principes presque poétiques, parfois. Il est redoutable au combat, calme comme la mer avant la tempête, et étonnamment tendre sur certains détails (les enfants, la loyauté, un vieux morceau de musique afrobeat qu’il fredonne bizarrement sous la douche). On dirait qu’il choisit ses batailles avec un soin religieux; il ne fait pas de bruit inutile, et quand il sort les muscles, tu sais que c’est fini pour l’autre. Ah, et il a ce regard qui te juge mais en réalité te protège — un peu contradictoire mais tellement vrai.

Deva Hopewell

Deva, la fille qui a grandi trop vite et qui porte son passé comme un sweat trop grand: rugueuse, brillante et terriblement seule parfois. Elle est à la fois manipulatrice et terriblement honnête avec elle-même (comme si elle ne savait pas mentir sauf quand elle le faisait très bien), elle a des éclats d’humour noir et des accès de vulnérabilité qui te prennent au ventre. Adore la musique à fond, déteste les faux-semblants, et on jurerait qu’elle a un rasoir à portée de main pour couper les liens toxiques (métaphores obligent). Bref, une ado badass qui t’attire et te repousse en deux phrases, impossible de prédire mais facile à détester/adorer.

Rebecca Bowman

Rebecca, c’est la prêtresse guerrière improbable: pieuse, silencieuse, et mortellement efficace quand il faut. Elle a ce visage calme, presque vide parfois, mais dès qu’elle bouge c’est précis, rapide et terriblement efficace — une sorte de calme religieux transformé en violence tranchante. Elle adore les prières et les rituels, mais elle sait aussi manier un couteau comme si c’était une extension de ses doigts; douce avec un chien, impitoyable avec un ennemi, et étonnamment jeune dans ses contradictions. Parfois elle fait des choses qui n’ont pas de sens moral évident (ou peut-être si), et ça la rend fascinante et un peu effrayante, comme une mauvaise parabole qu’on ne veut pas arrêter d’écouter.