À propos du Gangs of London en quelques mots:

Gangs of London est une série télévisée britanno-américaine qui suit les luttes de pouvoir entre organisations criminelles rivales à Londres. Après l’assassinat du chef d’une puissante famille criminelle, la série explore le complexe réseau de loyauté, de trahison et de violence qui émerge alors que différentes factions se battent pour le contrôle du monde criminel de la ville. La série est connue pour ses scènes d’action viscérales et ses rebondissements de l’intrigue.

Découvrez les personnages de Gangs of London

Sean Wallace

Sean, oh là là, c’est ce genre de chef que tu sens même quand il n’est pas dans la pièce — calme, tranchant et trop protecteur, parfois à la limite du tyran paternel (mais genre, un tyran qui prépare aussi le thé, jure). Il est pragmatique, brutal quand il faut, et il adore les plans hyper calculés… sauf quand il part en mode improvisation totale. On dit qu’il a une éthique bizarrement romantique — loyal jusqu’au bout, mais il peut écraser des gens sans cligner des yeux, et pourtant parfois il sourit comme un oncle maladroit. Bref, il impose le respect et laisse toujours une odeur de cuir et de café noir derrière lui.

Ed Dumani

Ed est le patriarche qui porte tout sur ses épaules, la sagesse d’un vieux lion mais avec des éclairs de colère typiquement explosives — attention, ça fuse. Il est posé, réfléchi, aime les règles et la famille par-dessus tout, même si parfois il a des décisions carrément discutables (ouais, il ment pour « protéger »). Faut pas se tromper, il sait se salir les mains mais préfère régler les problèmes à l’ancienne, avec des conseils et parfois un coup de poing quand il est pressé. Il collectionne peut-être des trucs bizarres — timbres? couteaux? — je suis pas sûr, mais il a ce côté à la fois rassurant et terrifiant.

Alexander Dumani

Alex (oui, Alexander, mais tout le monde l’appelle Alex sauf quand tata est fâchée) c’est le bras armé qui veut prouver sa valeur à tout prix — impulsif, passionné, un peu trop sûr de lui parfois. Il peut être charmant et maladroit en même temps, genre il envoie un bouquet après avoir presque déclenché une guerre, ce qui est très lui. Il adore la bagarre mais a un faible pour des petites choses douces (les animaux? les vieux films? impossible de dire), ce qui le rend étrangement attachant. Parfois il est hyper réfléchi et d’autres fois il fonce tête baissée, donc bon, tu choisis ton Alex.

Elliot Finch

Elliot, l’énigmatique — stratège, nerveux, toujours trois coups d’avance et pourtant il oublie où il a posé son porte-clés (vrai story). C’est le type qui parle doucement mais te manipule sans même que tu t’en rendes compte; il adore les calculs et les plans, et il déteste l’improvisation… sauf quand il fait des choses complètement folles pour impressionner quelqu’un (ou parce qu’il a perdu un pari). Il a un côté nervosité adorable (si on peut dire ça) et un humour très sec; parfois il sourit et tu te demandes si c’est sincère. Bref, génie en costard et cœur en pièces, ou l’inverse — dépend des jours.

Marian Wallace

Marian, wow, c’est la matriarche imprenable, glaçante et chaleureuse en même temps — elle gère tout avec un regard qui suffit à remettre le monde à l’endroit. Elle est calculatrice quand il le faut, tendre quand il le faut aussi (oui, les deux!), et elle peut être la plus douce des mères ou la pire des revanches, souvent dans la même journée. Elle aime l’ordre mais a aussi des tics imprévus — range ses figurines puis danse sur du rock à trois heures du mat, je jure. Elle a une présence qui écrase, mais on sent toujours une faille humaine qui la rend fascinante et un peu triste.

Billy Wallace

Billy, le petit frère qui veut tout prouver, impulsif, fougueux, super loyal et parfois terriblement immature (genre, dramatique pour une égratignure). Il est fougueux au combat et étonnamment doux avec ceux qu’il aime — il pourrait te casser la gueule puis t’offrir un sandwich, vrai combo. Parfois il fait des choix idiots parce que l’ego prend le dessus, mais il a un cœur énorme et une énergie contagieuse (cri de guerre inclus, probablement). Bref, un mélange d’espoir mal placé et de courage mal dosé, absolument impossible à ignorer.