À propos du Money Heist en quelques mots:

Money Heist, également connue sous le nom de La Casa de Papel en espagnol, est une série dramatique de braquage espagnole créée par Álex Pina. La série suit un groupe de braqueurs, dirigé par un cerveau connu sous le nom de Professeur, alors qu’ils tentent de réaliser le plus grand braquage de l’histoire en imprimant des milliards d’euros à la Monnaie royale d’Espagne. La série est connue pour ses personnages complexes, ses intrigues complexes et son action à haut risque. Diffusée à l’origine sur le réseau espagnol Antena 3, la série a ensuite été acquise par Netflix, où elle est devenue un phénomène mondial.

Découvrez les personnages de La Casa de Papel

Tokio

Tokio, c’est la tornade: impulsive, passionnée, toujours prête à sauter sans plan (même si elle prétend qu’elle a un plan, haha). Elle porte la rébellion comme une seconde peau et adore jouer avec le danger — parfois elle gagne, parfois elle met tout le monde en péril, c’est excitant et horrible en même temps. Elle a des instants de tendresse surprenants, genre elle cuisine un truc hyper doux pour quelqu’un puis repart en criant, rien ne se passe comme prévu. Franchement, tu veux la suivre parce que la vie est plus intense avec elle, même si tu devras parfois courir.

El Profesor

El Profesor est le cerveau hyper calculateur mais aussi un grand timide social, oui, oui, les deux. Il planifie chaque détail comme un puzzle, parle en métaphores et garde toujours un calmant sachet à portée de main (ou c’est peut-être juste un thé, je ne sais plus). Il a une aura presque paternelle, mais attention, il adore manipuler les situations — de façon presque artistique. Parfois il s’emballe sur une idée romantique et ça n’a absolument rien de rationnel, allez comprendre.

Raquel Murillo

Raquel, aka Lisbonne après (ou pendant) la tempête — elle est à la fois ferme et incroyablement empathique, genre policière durcie au cœur tendre. Elle jongle entre loyauté et colère, elle peut être très pro mais ensuite envoyer un message à trois heures du matin qui change tout ; bref, humaine. Elle a ce regard qui voit les mensonges mais qui pardonne aussi, parfois trop vite, parfois au bon moment, question de timing. Et puis elle collectionne des tasses (ou est-ce des disques ?), je confonds toujours ses petites manies.

Berlin

Berlin est l’élégance toxique incarnée: charmeur, cruel, drôle à sa manière décadente et complètement imprévisible. Il adore le théâtre, les monologues, et il a une idée très précise de la beauté — qui inclut des risques moraux considérables, oui. Parfois il est incroyablement loyal, mais il peut aussi faire des choix horribles en souriant, ce qui est dérangeant et fascinant. Perso j’ai l’impression qu’il joue toujours une pièce, même quand il dit la vérité.

Rio

Rio, mignon, naïf, hyper connecté (littéralement aux ordinateurs), et sentimental comme personne; bon voilà, il pleure un peu mais c’est adorable. Il est tech-génial mais parfois un peu immature, se laisse guider par le cœur plus que par la tête, ce qui est à la fois sa force et son talon d’Achille. Il a des moments de bravoure sincère, puis deux minutes après il est paniqué, humain quoi. Franchement, on veut le protéger et en même temps il nous surprend toujours.

Denver

Denver, grosse voix, rire contagieux, et cette espèce de cœur énorme caché sous l’agressivité — il est impulsif mais très loyal. Il a une façon de parler qui vous fait sourire et puis bam, il crie, ensuite il chante peut-être? (oui il chante parfois, c’est bizarre mais vrai). Il est fidèle à sa famille de braqueurs et ferait n’importe quoi pour eux, même des trucs stupides et géniaux. C’est le type qu’on adore confier aux plans risqués parce qu’on sait qu’il foncera.

Monica Gaztambide

Monica commence timide et se transforme en une force tranquille (ok parfois explosive), genre papillon qui décide qu’il est temps d’envahir le monde. Elle est douce, mais elle cache une colère qui peut devenir très nette, et puis elle est surprenante en amour et stratégie — pas juste la poupée cliché. Elle collectionne des petits moments de revanche personnelle, et parfois elle rit nerveusement quand tout va mal (ou quand c’est parfait). Très humaine, complexe, capable de beaucoup plus qu’on ne le croit.

Arturo Roman

Arturo est insupportable, dramatique, et absolument impossible à ignorer — je veux dire, il se croit héros mais c’est souvent catastrophique. Il a un ego surdimensionné, adore parler, se victimiser, et manipuler (mais parfois il a l’air vraiment paniqué et presque pitoyable, étrange contraste). On le déteste et on rit de lui en même temps, comme un mauvais feuilleton ambulant. Et il a des moments où il se ridiculise tout seul, c’est presque une performance comique involontaire.

Helsinki

Helsinki, masse imposante mais cœur tendre — il est silencieux, protecteur, et terriblement loyal, genre ours-gentil. Il peut paraître brut, mais connaît la compassion et les petites attentions (parfois il broie un bisou par accident, très maladroit, oui). Il parle peu mais ses gestes disent tout; il est drôle à sa façon, parce qu’il prend tout au pied de la lettre parfois, et ça donne des situations absurdes. Un pilier du groupe, indispensable et un peu mystérieux quand même.

Nairobi

Nairobi, feu sacré et maman de projet, elle a l’autorité naturelle, le rire fort et la répartie qui tue — et une obsession pour la qualité, surtout si ça implique de faire les choses bien. Elle sait motiver les gens, mais elle s’emporte aussi vite, ce qui est à la fois inspirant et un peu dangereux (on dit ça en bien). Elle a des maximes bizarres qui restent dans la tête, et parfois elle danse au milieu d’une crise, vrai. Franchement, elle est l’âme du groupe quand il faut tenir le cap, même si parfois elle triche un peu avec les règles.