À propos du Major Crimes en quelques mots:

Major Crimes est une série télévisée dramatique policière qui suit la Division des Crimes Majeurs du Département de Police de Los Angeles alors qu’ils enquêtent sur des affaires complexes et amènent les criminels à rendre des comptes. La série met en vedette un casting diversifié de personnages, dont le capitaine Sharon Raydor, qui dirige l’équipe avec une approche sans compromis, et le détective Julio Sanchez, qui apporte un soulagement comique avec son esprit vif. Avec des intrigues intenses et des personnages captivants, Major Crimes garde les téléspectateurs au bord de leur siège.

Découvrez les personnages de Major Crimes

Sharon Raydor

Sharon, c’est la femme des règles mais pas juste pour faire joli — elle les connaît, les applique, puis parfois les plie un peu si ça sauve une vie. Flic d’Internal Affairs devenue quelqu’un qu’on écoute parce qu’elle a du cran et un cœur très… surprenamment mou, oui oui. Elle aime l’ordre, collectionne les stylos (vraiment), et regarde des comédies romantiques en cachette quand tout est calme — je jure que c’est vrai. Parfois froide, parfois hyper maternelle, toujours implacable quand il le faut, et souvent plus humaine que beaucoup d’autres personnages plus «dramatiques».

Louie Provenza

Provenza, c’est le vieux loup du commissariat: râleur, drôle, un peu baroudeur, et terriblement fidèle à ses habitudes (il a une chemise préférée, vous savez laquelle). Il jure contre la technologie mais il a un smartphone planqué dans sa caisse — contradiction classique. Ses répliques acides tombent toujours au bon moment, mais il cache une tendresse pour les jeunes flics qui vous prend par surprise. Toujours une anecdote de guerre à raconter, parfois inutilement longue, mais on l’écoute parce que c’est le boss, et puis il sent comme un vieux café, en fait.

Andy Flynn

Andy, c’est l’ami sarcastique qu’on veut dans sa voiture quand on file en mission: rapide, charmeur, toujours une vanne, mais aussi loyal comme un roquet (dans le bon sens). Il cache des compétences surprenantes en infiltration et a un sens du timing comique impeccable — et parfois agaçant — mais vraiment efficace. Il fait des blagues pour dédramatiser et puis pouf, devient sérieux et profond quand c’est nécessaire; un vrai mélange. Ah et il adore les blagues stupides, parfois au mauvais moment, mais ça fait partie du charme.

Mike Tao

Mike, l’as de la tech et des preuves, hyper méticuleux au point où ça frise l’obsession — mais il a aussi une fibre très sèche dans l’humour qui vous prend à froid. Toujours concentré, il voit des détails que personne d’autre ne remarque (oui, même la cale sur la porte), et il est étonnamment maladroit en société — il vous fera un exposé sur fibres textiles pendant un dîner. Il chante mal au karaoké et insiste pour choisir la playlist; contradiction adorable. Sérieux au boulot, un peu gaucher hors du bureau, et indispensable quand il faut résoudre l’absence d’un tout petit morceau de verre.

Julio Sanchez

Julio, c’est l’escalade émotionnelle incarnée: il est bouillant, impulsif et après il pleure peut-être un peu, mais toujours par loyauté; il aime fort, il défend fort. Flic de la rue, bagarreur parfois, mais papa de substitution dans l’âme — il cuisine mal mais s’y met quand il faut et prétend que ses tacos sont excellents. Il a des tatouages, de la colère à revendre, et une poésie étonnante quand il parle de justice ou de sa mère; oui, mélodrame et cœur d’or en combo. Parfois il veut qu’on le laisse seul et il vient squatter le bureau deux heures plus tard, contradiction vivante.

Buzz Watson

Buzz, l’avocat un peu geek mais incroyablement humain, toujours prêt avec une citation de procédure et un sourire digne d’un café matinal. Il garde une énergie positive bizarrement contagieuse et des habitudes étranges — je jure, il collectionne les trombones ou les agrafes (je me souviens plus) — mais son sens du détail légal sauve la mise plus d’une fois. Il peut paraître léger, presque clown, puis bim, il sort l’argument juridique qui ferme des bouches. Bref, il est fiable, drôle, et il a une manie de réarranger les Post-it comme s’il orchestrait une symphonie.

Amy Sykes

Amy, c’est la bonne vieille épée de justice: directe, sans chichi, pas là pour tes faux-semblants, mais étonnamment protectrice avec son équipe. Interrogatrice impitoyable parfois, elle a un sens de l’humour sec et des yeux qui vous disent «ne mens pas» — ce qui est flippant et efficace. Elle déteste perdre son temps avec la politique de bureau mais elle adore les commérages en petit comité (allez comprendre), et elle a une plante sur son bureau qu’elle parle probablement. Elle suit les règles, puis se met à les contourner si ça sert la vérité; pragmatique jusqu’au bout.

Rusty Beck

Rusty, le survivant qui observe tout: calme, sarcastique, et avec une lucidité qui vous surprend à chaque réplique. Il lit les gens comme d’autres lisent un journal, a un petit rire nerveux, et collectionne des comics vintage (certains disent qu’il a un coffre entier — exagération ? peut-être). Il est discret mais présent, capable d’un humour noir et d’une compassion immense, souvent contradictoire: veut la tranquillité et adore secrètement l’attention quand on le comprend. En résumé: malin, tendre, un peu casse-cou à l’intérieur, et terriblement attachant.