À propos du Mayor of Kingstown en quelques mots:

Le Maire de Kingstown est une série dramatique criminelle qui suit la famille McLusky alors qu’elle navigue dans le monde corrompu de la politique et de l’incarcération dans la ville du Michigan du même nom. La famille possède et exploite une prison privée, ce qui en fait des acteurs puissants dans le système de justice pénale de la ville. La série explore les thèmes de la loyauté familiale, des luttes de pouvoir et des lignes floues entre le bien et le mal. La série met en vedette Jeremy Renner, Dianne Wiest et Kyle Chandler.

Rencontrez les personnages de Mayor of Kingstown

Ed Simmons

Ed, c’est ce type qui respire la loi et la fatigue en même temps — genre tu sais qu’il va suivre le règlement mais il a aussi des secrets qu’il ne dira jamais. Il a ce côté “vieux du village” mais il n’est pas du tout sénile, loin de là, plutôt rusé et plein de ressources. Parfois il joue les stoïques et puis hop, il lâche une réplique qui te fait comprendre qu’il en pense pas moins; j’adore ce contraste. Ah et il aime le café trop fort (ou est-ce le thé?), j’suis pas sûr mais c’est marrant.

Kyle McLusky

Kyle, argh, ce gamin qui veut être dur mais qui est encore tout brûlant d’idées — impulsif, bien intentionné parfois, souvent maladroit. Il est le genre à foncer sans lire la pièce, puis à réparer en s’excusant trop fort; on a envie de le secouer et de l’embrasser en même temps. Il est incroyablement loyal à sa famille, même si ça le met dans des situations catastrophiques (et il jure toujours comme un marin, sauf quand il ne jure pas du tout, allez comprendre).

Iris

Iris, la personne qui a l’air calme mais qui bouillonne en secret, toujours à noter des trucs dans un carnet — ou est-ce sur son téléphone? Elle a un humour sec qui t’attrape quand tu t’y attends le moins et une sorte de sagesse de rue bizarrement apaisante. On sent qu’elle n’aime pas les faux-semblants; parfois elle dirait des choses blessantes sans vouloir et puis puis elle apporte des gâteaux, c’est contradictoire mais c’est ce qui la rend vraie.

Rebecca

Rebecca est tactile, franche et parfois un peu contradictoire — elle te hurle dessus pour ton bien, puis elle pleure en regardant un film mielleux, c’est dire. Elle joue souvent le rôle de médiatrice ou d’électrochoc, capable de changer le cours d’une conversation d’un seul mot; moi je parie qu’elle a une playlist secrète de chansons des années 90. Elle a de l’autorité naturelle mais n’en fait pas tout un plat, et parfois elle semble fatiguée d’être forte (ou alors elle aime juste les défis, dur à dire).

Evelyn Foley

Evelyn, c’est la personne ultra organisée qui cache une vie intérieure chaotique — avocate? conseillère? bref, elle maîtrise les dossiers mais oublie parfois son parapluie au café. Elle parle en lignes droites et garde ses émotions pour la nuit, puis boum, elle explose en conversations intimes (et là on découvre qu’elle lit de la poésie, surprise!). Elle a cette nonchalance calculée qui rend tout plus intrigant; j’ai l’impression qu’elle planifie trois coups d’avance et qu’elle rigole en cachette.

Hakim

Hakim, homme d’action avec un sourire étrange — il paraît calme et pourtant il est toujours à l’affût, type “je sais ce que tu vas faire avant que tu le fasses”. Il est aussi étonnamment cultivé pour quelqu’un qui donne l’impression d’être juste “musclé”, il cite des films ou des proverbes au hasard (véridique ou pas, ça marche). Parfois il est brutal, parfois il est doux, et parfois il oublie d’appeler sa mère, ce qui le rend humain.

Deverin “Bunny” Washington

Bunny — ah là là, Bunny c’est le cœur en bandoulière et le sourire qui cache des choses lourdes; on l’adore parce qu’il est imprévisible mais profondément loyal. Il a l’air d’un type simple, bon vivant, mais il a des stratégies tordues quand il s’agit de protéger ses potes, genre il planifie tout et puis fait semblant d’improviser. Il collectionne peut-être des briquets? Ou des tickets de bus? Je dis ça, je dis rien.

Mike McLusky

Mike est le cerveau fatigué et généreux de l’histoire — tellement de poids sur les épaules mais il continue, comme si la ville était une plaie qu’il doit soigner. Il est froid quand il doit l’être et incroyablement humain quand il n’y a personne autour; souvent il parle peu mais ses gestes disent tout. Il est en quelque sorte un médiateur implacable: il règle les problèmes, parfois par la parole, parfois par des méthodes moins propres — et malgré tout, il aime les chiens (ou peut-être juste un chien, je mélange tout).

Miriam McLusky

Miriam, la matriarche, vous la sentez venir à dix kilomètres: rigide, fière, manipulatrice mais tellement protectrice que ça en devient presque attendrissant. Elle a cette capacité à remettre les gens à leur place d’un seul regard, et pourtant elle sait aussi pleurer devant un vieux morceau de jazz — contradictoire mais parfait. Parfois elle paraît froide comme un roc, parfois elle te surprend avec une surprise complètement spontanée (ou pas si spontanée), bref, une vraie tornade domestique.