À propos du Sheriff Country en quelques mots:

Le spectacle en question vous plonge dans la maison d’un petit village du shérif Country, où le shérif Mickey Fox essaie de maintenir la paix à Edgewater pendant que son passé—et sa famille—frappent à sa porte. C’est un spin-off de Fire Country, et oui—il y a du crime, du drame familial, des secrets douteux, et une héroïne qui ne lâche rien. Une dose de dureté, une touche d’émotion, et beaucoup d’énergie prête à servir.

Rencontrez les personnages de Sheriff Country

Mickey Fox

Mickey Fox, c’est le genre de type qui sourit tout le temps mais qui a des secrets dans les poches — un peu voyou, un peu héros, tu sais ? Il bouge vite, parle encore plus vite, et garde toujours un petit couteau (ou peut-être une cuillère, j’oublie) dans son jean; très fiable quand la nuit tombe. Il adore les blagues nulles mais te protège comme personne, ce qui est adorablement contradictoire. Parfois ultra-organisé (liste après liste), parfois il vit dans un chaos total et perd ses clés pendant trois jours, mais quoi, ça fait partie du charme.

Travis Fraley

Travis, c’est le cowboy taciturne qui marche comme s’il connaissait toutes les routes — et souvent c’est vrai, il connaît les chemins et les histoires des vieilles pierres. Il parle peu, mais quand il parle, c’est souvent une vérité sèche qui claque; attention, il peut être trop franc, parfois même maladroitement tendre (genre il t’offre un vieux poster plié au lieu de fleurs). Il collectionne les casquettes, il a une main étonnamment douce pour les réparations, et il a cette manie de se cogner contre les portes — sérieux. On dirait un mur solide mais il joue la guitare toute la nuit quand il croit que personne n’écoute, et c’est mignon.

Cassidy Campbell

Cassidy est la tornade brillante du coin: vive, drôle, sarcastique et surtout impossible à ignorer, tu vois ? Elle bosse partout à la fois — bar, radio locale, réseaux (ou peut-être juste un blog, je mélange) — et elle a toujours un plan, même si ce plan implique souvent du café en trop grande quantité. Elle peut sembler insouciante mais elle repère une injustice à trois rues, et là elle est intraitable; elle a aussi des chaussettes dépareillées par principe, parce que pourquoi pas. Parfois elle parle trop, parfois elle se tait pendant des jours et improvise une playlist entière; polarisante et absolument géniale.

Nathan Boone

Nathan Boone, le patriarche rugueux mais au cœur flingué (romantique secret, oui vraiment), est la colonne vertébrale de la ville: un vieux shérif ou juste un type avec la posture de shérif, difficile à dire. Il impose le respect sans le vouloir trop, sourit rarement mais rit aux blagues nulles (ce qui le rend terriblement attachant), et il a des règles — beaucoup de règles — mais il oublie parfois pourquoi il en a une (humain). Il cuisine comme un poisson hors de l’eau mais insiste pour préparer la tarte de Thanksgiving, et il raconte des anecdotes qui semblent contradictoires à l’infini parce qu’il change les détails selon l’audience. Bref, c’est le mentor qu’on aime détester puis embrasser (littéralement ou pas), une belle pagaille bien rangée.