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Quel personnage de Stay Close es-tu ?

Êtes-vous fan de la série à succès de Netflix Stay Close ? Avez-vous déjà voulu savoir quel personnage de la série vous ressemble le plus ? Maintenant, c'est votre chance de le découvrir ! Prenez notre quiz amusant et découvrez votre alter ego Stay Close. Cliquez sur le bouton Démarrer ci-dessous et commençons !

Bienvenue au quizz: Quel personnage de Stay Close es-tu ?

À propos du Stay Close en quelques mots:

Stay Close est une série dramatique palpitante basée sur le roman de Harlan Coben. Le spectacle suit les vies de trois personnes dont les chemins se croisent de manière inattendue et dangereuse. Alors que des secrets sont révélés et que de vieilles blessures sont rouvertes, chaque personnage doit naviguer à travers un réseau de tromperie et de trahison pour découvrir la vérité. Avec un casting talentueux et une intrigue captivante, Stay Close est un incontournable pour les fans de drames pleins de suspense.

Rencontrez les personnages de Stay Close

Megan

Megan est ce personnage qui vous cloue sur place sans crier gare — intense, secrète et un peu brisée, mais jamais dans la victimisation cheap, tu vois ? Elle a des réflexes protecteurs qui viennent d’on ne sait où, parfois elle sourit comme si tout allait bien et deux secondes après elle pète un câble, c’est fascinant. Elle aime les romans policiers (ou alors elle fait semblant), collectionne des timbres ou des magnets, je ne sais plus, c’est flou mais ça la rend humaine. Et j’adore ce petit truc où elle parle doucement mais décide d’un coup de tout chambouler, genre voilà, surprise.

Dave Shaw

Dave, oh là là, Dave c’est le type qu’on croit solide comme un roc et qui, surprise, a mille fissures sous la peinture. Protecteur à l’excès, parfois étouffant, et terriblement opiniâtre — il ne lâche jamais rien, ce mec. Il a ce regard de vieux policier fatigué parfois, et en même temps il fait des blagues nulles à la cuisine à 3h du matin (vraiment nulles). Il peut être adorable un instant et glacial l’instant d’après, c’est cette ambivalence qui le rend accrocheur.

Broome

Broome, le flic tenaillé par son sens du devoir, toujours entre deux cafés et un fichier d’indices mal rangés, mais il s’en fout, il finira par trouver quelque chose. Il paraît sec, méthodique, mais il a des failles sentimentales qui débordent quand on s’y attend le moins — et oui, parfois il écoute du jazz kitsch en boucle, je te jure. Il est vieux jeu, mais pas idiot, et il a ce petit sourire en coin quand il comprend une pièce du puzzle que personne n’avait vue. Bref, le genre qu’on veut dans une équipe et qu’on a peur de trop connaître.

Ray

Ray est ce mélange étrange de charme pop et de quelque chose de menaçant qu’on ne peut pas ignorer — il pourrait t’offrir des fleurs ou te crier dessus, parfois les deux en une journée. Il dit les choses direct, pas toujours bien, mais souvent avec une logique tordue qui, bizarrement, finit par coller. Il adore le sport (ou prétend savoir tout sur le foot), et porte souvent un blouson un peu trop grand, comme s’il essayait de grandir encore. Et bon, il a des petits gestes tendres, genre il sait faire du café comme personne, ça te surprend toujours.

Harry

Harry a ce côté légèrement paumé mais terriblement humain, le type qui veut bien faire et qui se plante royalement, souvent par maladresse. Il est nostalgique, parle de sa jeunesse comme si c’était hier, et pourtant il oublie ses clés cinq fois par semaine — un amour de tête en l’air. Il peut être drôle sans le vouloir, et touchant au point qu’on voudrait le secouer puis le serrer dans les bras (oui, je suis contradictoire, j’assume). En tout cas, il porte des pulls horribles mais ça lui va, et on l’aime pour ça.

Kayleigh Shaw

Kayleigh, ah Kayleigh, ado rebelle mais pas méchante, elle a un sacré tempérament et mille couleurs de vernis à ongles. Elle parle vite, change d’avis encore plus vite, et refuse les règles juste pour la beauté du geste — et parfois elle est étonnamment mature, va comprendre. Elle collectionne des playlists indé qu’elle partage à moitié, ou pas, et a un chat qui s’appelle quelque chose de ridicule (genre Biscotte), je jure. Elle passe d’un rire éclatant à des silences lourds, c’est ce qui la rend vraie.

Erin Cartwright

Erin est calme en surface mais en fait c’est un volcan discret, elle cache ses tempêtes sous une tasse de thé (ou est-ce du café ?). Professionnelle, précise, elle remarque tout — les miettes, les mensonges, les petits gestes — et elle s’en sert comme d’armes ou de pansements, selon l’humeur. Elle a un humour sec, genre qui surprend, et des petites manies bizarres comme toujours aligner ses stylos par taille, oui vraiment. J’adore sa façon de rester digne même quand tout part en sucette, c’est inspirant et un peu flippant.

Ken

Ken, le mec qu’on croit ordinaire et qui finit par vous surprendre avec une anecdote improbablement cool, du genre collectionneur de tasses de thé étranges — si, si. Il est loyal à mort, un peu maladroit socialement parfois, et il a cette honnêteté brute qui peut être charmante ou piquante selon le jour. Il a un rire qui traîne, et on se demande souvent s’il ne cache pas un passé plus sombre derrière ses blagues. En tout cas, il a toujours une clé USB avec des photos débiles, et ça fait partie du personnage.

Fester

Fester, nom qui sonne déjà comme un mystère, est le genre d’antagoniste qu’on adore détester (ou l’inverse? je mélange tout). Il est imprévisible, sait manipuler l’ambiance d’une pièce d’un coup, et en même temps il collectionne des carnets comme s’il tenait ses propres règles secrètes. Il peut être affable, presque charmant, jusqu’à ce que quelque chose cloche — et là, ciao, tout change. Il a des tics bizarres (il touche toujours sa montre) et des histoires de jeunesse que personne n’arrive à recoller correctement.

Lorraine

Lorraine, la voisine-maman-ours, chaleureuse mais curieuse, celle qui sait tout sur tout sauf sur sa propre vie parfois — drôle, non ? Elle cuisine des tartes immondes (ou délicieuses, selon qui goûte) et a des avis très tranchés sur la télé. Elle est solide, généreuse, mais garde aussi des secrets qu’on devine derrière ses gestes affectueux, c’est ce qui lui donne de la profondeur. Et puis elle aime les chiens mais prétend le contraire quand on lui demande, petit mensonge affectueux.

Simona

Simona est glamour mais pas dans le sens superficiel, plutôt dans le sens mystérieusement mise en scène, toujours impeccable même après une nuit blanche. Elle maîtrise le regard, les mots, et les silences — elle peut tout faire parler juste en levissant un sourcil. Elle collectionne des cartes postales (ou des boucles d’oreilles, je confonds toujours) et a une manière de raconter les choses qui rend tout plus dramatique, pour le meilleur. On la trouve parfois froide, parfois incroyablement fragile, et ces deux faces font d’elle un personnage fascinant.