À propos du The Haves and the Have Nots en quelques mots:

« Les riches et les pauvres » est une série dramatique télévisée américaine créée par Tyler Perry. La série suit la vie des familles Cryer, Harrington et Young, qui font partie des plus riches de Savannah, en Géorgie. L’intrigue tourne autour de leurs interactions avec leur personnel de maison, en particulier la famille de leur femme de ménage, et explore les thèmes du pouvoir, de la richesse, de la race et de la classe sociale. La série a reçu des critiques mitigées mais a maintenu une grande base de fans dévoués depuis sa première en 2013.

Découvrez les personnages de The Haves and the Have Nots

Candace Young

Candace, oh la la, elle est si complexe — à la fois douce et explosive, tu vois? Elle a ce côté naïf qui te fait fondre mais elle peut aussi tordre la réalité quand ça l’arrange (je jure que parfois elle oublie d’où elle vient, mais bon). Protectrice de sa famille, elle se bat comme une lionne, sans toujours savoir comment. Et puis elle a cette manie bizarre de collectionner des porte-clés improbables — je ne sais pas pourquoi je retiens ça, mais c’est typique d’elle.

Jim Cryer

Jim, c’est le type calme à la surface, un peu comme un lac tranquilo mais profond et parfois dangereux dessous — trop dramatique? Peut-être. Il aime le contrôle, les décisions difficiles lui collent à la peau et il parle toujours comme s’il avait une stratégie en tête (souvent il en a vraiment une). Il paraît poli, presque vieux monde, mais il peut virer froid en un clin d’œil — et il adore le scotch, ou était-ce le café fort?

Hanna Young

Hanna, la matriarche avec un cœur énorme mais plein de cicatrices; elle pardonne trop parfois, et c’est à la fois sa force et sa faiblesse. Elle gueule rarement mais quand elle ouvre la bouche, tout le monde écoute — sérieux, respect. Elle travaille dur, garde la famille ensemble, et a une foi (ou une superstition) bizarre pour les trèfles à quatre feuilles qu’elle garde dans son sac. On la voit comme tendre et coriace en même temps, un mélange qui marche (sauf quand elle panique, ce qui arrive aussi).

Veronica Harrington

Veronica est l’archétype de la méchante stylée — élégante, glaciale, et ô combien manipulatrice, mais aussi fascinante, je peux pas m’empêcher de la regarder. Elle contrôle tout avec des sourires tranchants et des talons qui claquent, et elle a des standards impossibles (pour elle-même et pour les autres). Parfois on croit deviner une faiblesse, mais non, elle rebondit toujours; en prime elle aime les roses rouges comme si c’était une signature. C’est le genre de personnage que tu détestes et que tu adores en même temps, c’est addictif.

Katheryn Cryer

Katheryn, c’est la femme de la haute société qui manipule les règles sans se salir les mains — champagne, réunions, crise, repeat. Elle joue la philanthropie mais garde des secrets dans sa garde-robe (métaphoriquement et littéralement, peut-être un tiroir spécial? je plaisante — ou pas). Elle est fière, ambitieuse, et parfois presque comique dans sa façon de tout planifier. Étonnamment, elle a un petit faible pour les chats errants (vraiment, j’ai vu ça dans mon esprit), ce qui la rend un peu moins monstre, non?

Wyatt Cryer

Wyatt, le jeune impulsif qui veut tout prouver et qui se perd souvent en route, mais ça le rend humain. Loyal jusqu’à la bêtise parfois, il fonce tête baissée et oublie de réfléchir — mais bon, au moins il agit, pas comme certains qui parlent beaucoup. Il a un sens de l’humour sec quand on s’y attend le moins, et il adore les motos (ou était-ce les voitures? je mélange toujours). Il est à la fois accroché à sa famille et frustré par le monde qui l’entoure — terrible combo mais hyper intéressant.

David Harrington

David est le pilier tranquille, le type posé qui essaie de garder la paix et ça lui pèse parfois; il a ce calme qui sauve des situations. Empathique, il entend les gens et essaie de réparer les dégâts, même quand il devrait partir — classique héros fatigué. Il écrit parfois dans un carnet (poèmes? listes? je ne sais plus) et aime les petites choses comme le café matinal. Ce qui est cool, c’est qu’il n’est pas parfait; il doute, il flanche, et ça le rend crédible, pas un robot moral.

Jeffrey Harrington

Jeffrey, oh la tension chez lui — poli, sophistiqué, mais avec une anxiété qui bouillonne dessous; il cache beaucoup mais pas toujours bien. Il est ambitieux, il veut être reconnu (et plausible) mais ses choix le trahissent parfois; tu sens qu’il cherche sa place. Il a un style impeccable, toujours bien habillé, mais parfois il se met à chanter des chansons ringardes quand il est stressé — c’est adorable et incongru. C’est ce mélange d’apparence contrôlée et de chaos intérieur qui le rend fascinant.

Benny Young

Benny, le grand frère rugueux mais tendre, protecteur à l’extrême et parfois un peu caveman dans ses méthodes — pas toujours juste mais loyal. Il a un passé dur, il se bat pour la famille comme si c’était sa mission sacrée, et il peut être imprévisible (et un peu réactionnaire, oui). Par contre, il a un don caché pour la cuisine — je te jure, j’ai l’image d’un type qui fait des ribs incroyables — totalement contradictoire avec son look parfois brutal. Il est rugueux mais avec un cœur en or, cliché mais efficace.

Celine Gonzales

Celine, la battante maline, rapide avec les mots et encore plus rapide à trouver une solution (ou une échappatoire), j’adore. Elle est débrouillarde, loyale envers les siens, mais elle garde des réserves, comme si chaque sourire avait une clause en petit caractère. Elle porte souvent des baskets même quand tout le monde est en talons (petite touche sympa), mais parfois elle apparaît en robe super élégante, ce qui me perturbe toujours (qui l’eût cru?). Bref, elle a des couches et des surprises, c’est une survivante stylée.