À propos du The Undoing en quelques mots:

« The Undoing » est une mini-série dramatique captivante qui suit la vie de Grace Fraser, une thérapeute réussie, et de son mari Jonathan, un oncologue pédiatrique respecté, alors que leur vie apparemment parfaite se déroule après qu’une mort violente secoue leur communauté. Le spectacle est plein de rebondissements alors que Grace doit naviguer dans les conséquences de la tragédie tout en découvrant des secrets sur le passé de son mari. La série met en vedette Nicole Kidman et Hugh Grant et a été créée par David E. Kelley.

Découvrez les personnages de The Undoing

Grace Fraser

Oh là là Grace, la thérapeute qui paraît toujours si droite et qui en fait a des fissures partout — élégante, polie mais nerveuse sous la surface. Elle analyse tout le monde et oublie parfois de s’analyser elle-même, ce qui est à la fois tragique et un peu comique, tu vois ? Maman protectrice, professionnelle froide mais avec des petits gestes tendres (elle garde des sachets de thé dans son sac, oui vraiment), et puis parfois elle perd ses clés trois fois par semaine, ce qui la rend étonnamment humaine. Sérieusement, on sent qu’elle tient tout le monde ensemble mais qu’elle pourrait se disloquer à n’importe quel moment — en même temps elle sourit toujours, c’est tordu mais vrai.

Jonathan Fraser

Jonathan c’est ce mélange bizarre de charme soigné et de mystère grinçant — il parle doucement, il séduit, et il cache des trucs (évidemment il cache des trucs). Médecin au faciès impeccable, il a cette manière de minimiser les choses qui donne envie de lui faire confiance et de hurler en même temps, vous voyez ? Parfois tendre, parfois distant, collectionneur de montres (ou de mensonges, confus), et il a un rire qui paraît sincère même quand on n’est pas sûr que ce soit le cas. Bref, fascinant et frustrant, la personne qui fait tourner la tête de tout le monde — et qui nous donne toujours envie de cliqué sur « retour en arrière ».

Henry Fraser

Henry, le gamin qui a l’air habitué à être sérieux avant l’âge, il a ce regard trop lucide pour un ado et il est souvent silencieux — mais attention, il n’est pas ennuyeux. Il adore les BD ou peut-être les dinosaures? (Je ne suis plus sûr, je crois que c’est l’un des deux, okay c’est les BD). Loyal jusqu’à l’excès, parfois explosif quand on titille sa famille, et puis il a des moments de maladresse adorable — genre il fait des pancakes brûlés et il revendique que c’est « la nouvelle recette ». Il est à la fois le plus jeune et parfois le plus sage de la pièce, contradiction totale mais ça marche.

Detective Joe Mendoza

Mendoza, le flic qui garde son calme même quand tout part en vrille — patient, carré, un peu avec des manières brusques mais au fond il essaye vraiment de comprendre les gens. Il colle aux indices, aime les détails minuscules (et il mâche du chewing-gum comme si sa vie en dépendait), et parfois il chante tout seul dans sa voiture, ce qui est très humain. Il est persistant, pas flashy, très terre-à-terre, mais attention il peut devenir étonnamment empathique avec les familles, alors que paradoxalement il passe son temps à critiquer les émotions. Bref le type qu’on veut dans une enquête: pas de fanfaronnade, juste de l’efficacité… et peut-être un amour secret des vieux disques.

Sylvia Steineitz

Sylvia, la mère qui parle sans filtre et qui a des opinions comme on a des tasses de café — à gogo. Elle est surprotectrice, pas toujours subtile, mais étrangement touchante quand elle essaie d’être raisonnable; elle a ce côté dramatique (genre elle a un vieux manteau trop chic et des pantoufles en même temps, pourquoi pas). Elle dit les choses crûment, souvent avec humour, et parfois elle prend des décisions surprenantes — indépendante mais aussi très attachée à la famille, contradiction totale. On l’adore parce qu’elle est vraie, même quand elle exagère un peu, et parce qu’elle garde toujours un paquet de biscuits dans son sac « au cas où ».

Elena Alves

Elena est volatile et intense, une espèce de force vive qui bouscule tout sur son passage — chaleureuse mais compliquée, on la remarque tout de suite. Elle a ce mix d’impulsivité et de vulnérabilité, c’est le genre à envoyer un texto à deux heures du matin et à regretter ensuite, ou peut-être pas, c’est ambigu. Elle aime la musique forte, parle avec les mains, et garde des petits souvenirs dans des poches secrètes (des tickets de métro, des notes — ce qui est mignon mais aussi dramatique). Bref, elle fait bouger l’histoire sans vraiment vouloir être au centre, et elle laisse toujours une trace, qu’on veuille l’admettre ou pas.

Miguel Alves

Miguel, le type solide qui porte le poids des choses sans faire de cinéma — protecteur, parfois taciturne, et franchement il a l’air d’un homme qui n’aime pas qu’on le prenne de haut. Il défend sa famille avec une loyauté presque brutale, mais il sait aussi être doux quand il faut — oui, doux et bougon dans la même phrase, je sais, c’est confus. Il a des petites manies, comme siffler quand il est nerveux et prétendre qu’il n’a pas peur (alors qu’on voit bien le contraire), et il cache parfois une colère froide qui surprend. En résumé: solide, blessé, aimant, avec un tempérament qu’on ne sous-estime pas — il est facile à aimer et à craindre à la fois.

Detective Paul O’Rourke

O’Rourke est le flic un peu plus vieux, fatigué mais malin, le genre qui a vu trop de choses pour croire aux contes de fées — cynique, mais pas sans cœur. Il a la répartie sèche et une façon de lever un sourcil qui dit tout, et paradoxalement il collectionne des photos de famille dans son tiroir de bureau (oui, vraiment, c’est mignon et incongru). Il est méthodique, parfois têtu comme une mule, mais quand il faut improviser il sait le faire, souvent avec un café à la main. Bref, un policier réaliste avec des failles charmantes: râleur, mais loyal, et étonnamment protecteur quand les choses deviennent personnelles.

Franklin Reinhardt

Franklin, le riche bien habillé qui respire le pouvoir (et les bonnes chaussures), a ce côté philanthropique un peu show-off mais pas complètement faux non plus. Il aime contrôler l’image, organiser des dîners parfaits et faire des dons qui font parler — et il a un rire calculé, mais parfois il rit vraiment, surprise! Il est charmant à la surface, un requin poli en dessous, et il collectionne des choses bizarres comme des cartes postales anciennes (ou des secrets, parfois difficile à dire). En fin de compte il est indispensable dans le décor: élégant, manipulateur, et étrangement vulnérable quand on fragilise son statut.

Fernando Alves

Fernando est le gamin qui semble petit mais qui a une présence immense — observateur, sensible, un peu réservé, mais avec une force tranquille. Il aime les blagues nulles et a peut-être un jouet préféré qu’il traîne partout (je jure que c’est une voiture rouge, ou peut-être un dinosaure, je mélange tout), ce qui le rend tout à fait adorable. Il est connecté à sa famille, loyal, et parfois trop mature pour son âge, puis il repart jouer comme un enfant, c’est contradictoire et vrai. En bref, il touche le cœur des personnages autour de lui sans le vouloir, discret mais central, et on se surprend à vouloir le protéger — même si lui s’en sortirait probablement très bien tout seul.