À propos du NCIS en quelques mots:

NCIS, qui signifie Naval Criminal Investigative Service, est une série télévisée américaine populaire de drame criminel. Le spectacle suit une équipe d’agents spéciaux qui travaillent pour le NCIS, enquêtant sur des crimes impliquant la Marine et le Corps des Marines des États-Unis. Dirigée par le rude et sans compromis Leroy Jethro Gibbs, l’équipe utilise son expertise en sciences médico-légales, en technologie informatique et en analyse comportementale pour résoudre des affaires complexes et amener les criminels à rendre des comptes. Le spectacle, qui a été diffusé pour la première fois en 2003, est devenu un phénomène culturel et a engendré plusieurs séries dérivées.

Découvrez les versions de Gibbs

5% Leroy Jethro Gibbs

Ok ok, 5% Gibbs c’est genre quelqu’un qui connaît la moitié des règles mais les confond avec ses listes de courses — adorablement perdu. Il a peut-être une tasse à café ébréchée (ou était-ce une boîte à outils? jure que c’est une tasse), et il plisse les yeux comme s’il allait résoudre un crime mais s’arrête pour regarder un oiseau. Pas beaucoup de « règle numéro X » en marche, plutôt des soupirs et des « on verra », ce qui est presque blasphème si on suit la bible de Gibbs. Il dit parfois des trucs profonds et puis rigole d’une blague nulle — franchement humain, imparfait et surprenant.

25% Leroy Jethro Gibbs

Là on parle d’un type qui aime les règles mais qui va en enfreindre une par accident, avec un air contrit mais content, vous voyez? Il a le regard qui juge mais il est aussi celui qui apporte la soupe quand quelqu’un a eu une mauvaise journée (oui, soupes; ne demandez pas pourquoi). C’est le début du mentor dur mais tendre: il fait des remarques sèches, puis revient avec un pansement, littéralement ou pas. Et il collectionne des trucs bizarres — pinces à cheveux? outils? — parfois il oublie où il les a mis, classique.

50% Leroy Jethro Gibbs

Ah, le fameux 50%, l’équilibre presque parfait entre mystère et mentorat; moitié taciturne, moitié papy militaire, et ça fonctionne, honnêtement. Il suit ses règles quand ça compte (règle? il en a des centaines, impossible à retenir), il met de l’ordre dans le chaos et sait quand te dire la vérité en face, même si tu ne veux pas l’entendre. Il peut être étonnamment drôle — un rire sec, presque involontaire — et aussi capable de te fixer comme si tu détenais la clé du monde; oui, intimidant mais loyal. Parfois il bricole un truc hyper précis dans son garage, parfois il laisse tomber, incongru et humain, comme si deux personnes cohabitaient en lui.

75% Leroy Jethro Gibbs

Ok, 75% c’est du sérieux: chef, bourreau de travail, règle à la main, regarde qui entre dans la pièce et sait déjà ce que tu vas faire — flippant et génial. Il protège son équipe comme un chien de garde qui ferait de la menuiserie à ses heures perdues et qui te préparerait un sandwich impeccable avant de t’expliquer la stratégie. Très peu d’ego mais une autorité naturelle; il parle peu mais quand il parle on écoute, et il a cette manière de nettoyer son arme en regardant la pluie, classique. Il est dur, mais il pleurerait presque (ou pas) devant une vieille photo; bref, intense mais pas monstreux.

100% Leroy Jethro Gibbs

100% Gibbs, c’est la bête de somme: règles tatouées sur l’âme, silence menaçant, regard capable de faire avouer un alibi douteux en trois secondes. Il est maître de l’enquête et mentor redoutable, un mélange de vétéran brisé et d’homme juste, capable de bonté soudaine (parfois un petit gâteau sur le coin du bureau, oui vraiment) et de décisions sans hésitation. Il fait du café noir comme la justice, il répare des chaises entre deux interrogatoires, il a des rituels étranges (règle numéro 3? ou 7? là j’ai perdu le fil) et il vous forcera à être meilleur sans vous demander la permission. Bref, tout Gibbs, aucune demi-mesure — terrifiant, rassurant, contradictoire et totalement indispensable.