À propos du Anatomy of a Scandal en quelques mots:

Anatomy of a Scandal est une série télévisée captivante et intense qui dévoile la vie d’un puissant homme politique britannique, de sa femme et de la femme qu’il est accusé d’avoir agressée. La série explore les thèmes du pouvoir, du consentement et de la trahison. C’est une histoire de scandale et des effets dévastateurs qu’il a sur la vie de ceux qui y sont impliqués. Le spectacle met en évidence la nature complexe des relations humaines et comment elles peuvent être déchirées en un instant.

Découvrez les personnages d’Anatomy of a Scandal

Sophie Whitehouse

Sophie, omg, quelle énigme — elle a ce calme très british en public et une tempête en privé, toujours sur le fil. Elle paraît parfaitement organisée (elle a un tiroir plein de stylos parfaitement alignés) et puis un jour elle oublie où elle a mis ses clés et panique pendant dix minutes, classic. Elle est loyale mais pas du genre à se laisser marcher dessus; en même temps parfois elle parle comme si tout allait bien alors que non, non, c’est compliqué. On l’imagine capable d’un acte de pure bravoure et d’un selfie embarrassant la minute d’après — humaine, contradictoire, fascinante.

Kate Woodcroft

Kate est la femme de la précision, la machine à argumenter : froide sur le banc, bouillante dans la tête, toujours deux pas en avance, enfin la plupart du temps. Elle a ce côté super rationnel mais surprise, elle collectionne des carnets minuscules (vraiment minuscules) où elle gribouille des pensées bizarres à 3 h du matin — qui l’aurait cru ? C’est une bosseuse, ambitieuse, parfois insensible sans le vouloir, et je jure qu’elle a un rituel de café très précis — trop précis. Elle donne l’impression de contrôler tout, même quand tout lui échappe doucement.

James Whitehouse

James, pauvre charmeur public, il a le sourire étudié et la confiance qui claque; on le voit tout de suite dans une salle bondée, là, au centre. Il a l’air si sûr de lui — parfois trop — et pourtant il y a des fissures, des hésitations quand la lumière se fait trop crue; c’est presque triste, parfois agaçant. Il aime les costumes impeccables, les répliques bien posées et a la mauvaise habitude de penser qu’on lui doit les choses; et pourtant il peut être maladroitment tendre, oui vraiment, parfois. Bref, fascinant parce qu’on ne sait jamais si on doit le défendre ou le détester, et c’est ça qui rend le truc addictif.

Olivia Lytton

Olivia est la curieuse douce-amère, un peu journaliste de salon, un peu amie trop impliquée, toujours prête à commenter mais avec une pointe d’empathie honnête – ou presque. Elle sait lire une pièce comme personne, remarque les petits gestes que les autres oublient et note des détails futiles (elle adore les tasses à thé étranges), ce qui la rend étonnamment perspicace. Parfois elle se tait quand on attend d’elle une opinion forte, et on se demande si c’est par prudence ou par paresse — mystère. Elle est le genre qui raconte une anecdote drôle puis s’arrête pour réfléchir à ce que ça signifie vraiment, you know?

Angela Regan

Angela a cette vulnérabilité brute mais aussi une colère qui vous prend au visage, c’est percutant et bouleversant à la fois. Elle peut paraître timide ou perdue au début (elle bégaye un peu parfois, ou peut-être c’est moi qui invente), puis elle se rassemble et claque une vérité qu’on n’attendait pas du tout — boom. Y a chez elle un côté très humain, des petits gestes incongrus (elle garde un chewing-gum dans la poche, oui, toujours), et aussi une dignité qui vous frappe quand elle se relève. C’est la figure qui rend tout plus grave, et franchement impossible à oublier.

Tom Southern

Tom, ah Tom — le type qui gratte, fouille, mais qui a aussi un humour un peu à côté de la plaque, on l’aime pour ça. Il est persévérant, un peu têtu, souvent dans l’ombre mais prêt à courir après une piste même au milieu de la nuit, avec des cheveux toujours en bataille (ou c’est juste moi qui le voit comme ça). Il peut être loyal au point d’être aveugle, puis tout à coup décevant, pas par méchanceté mais par peur, c’est contradictoire et humain. En résumé, le copain enquêteur, pas parfait, mais utile et souvent drôle au mauvais moment — ce qui le rend encore plus réel.