À propos du All’s Fair en quelques mots:

All’s Fair (2025) est un drame juridique brillant créé par Ryan Murphy, où un cabinet d’avocats spécialisé dans les divorces, entièrement féminin, se détache du vieux club masculin pour créer sa propre pratique puissante. Attendez-vous à des ruptures à enjeux élevés, des secrets juteux et des loyautés changeantes – et oui, il y a beaucoup de drame tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du tribunal.

Rencontrez les personnages d’All’s Fair

Allura Grant

Allura est la tornade glamour de la bande — ambitieuse, brillante et dangereusement charmante. Elle manœuvre les salles de réunion comme des nuages de champagne, toujours trois coups d’avance, mais parfois elle laisse tomber son parapluie dans la fontaine, vrai. Fière, compétitive, mais avec une faiblesse secrète pour les comédies romantiques (et pour les plantes d’intérieur qu’elle oublie d’arroser). Sa confiance masque une peau plus tendre; elle donne des ordres, puis envoie des textos pleins de cœurs à 2h du matin. Bref, elle fascine, exaspère, et on la regarde même quand on dit qu’on la déteste — classique Allura.

Liberty Ronson

Liberty est l’esprit libre qui hurle « faire une révolution? » pendant qu’elle trie ses post‑it par couleur. Militante, drôle, et avec une énergie contagieuse — on la suit parce que ça semble toujours épique (ou parce qu’elle a des cookies, souvent brûlés). Elle déteste les règles mais adore les listes, ce qui est à la fois drôle et très pratique. Loyalissssime avec ses amis, un peu impulsive, et parfois elle parle si vite qu’on lui demande de respirer — ou d’expliquer deux fois parce qu’elle s’emballe. Et oui, elle a un tatouage mal aligné et considère ça comme une philosophie de vie.

Emerald Greene

Emerald est la voix posée et mystérieuse — calme comme une forêt, mais pas ennuyeuse, jamais. Elle pense en couches, planifie en silence, et peut vous retourner le cerveau avec une seule remarque subtile (toujours en vert, lunettes ou pas). Écologiste, artiste, collectionneuse de thés — ou de cailloux, parfois les deux — elle est à la fois pratique et rêveuse, contradiction comprise et aimée. Elle garde des secrets, rit rarement aux blagues évidentes, mais vous pardonnera pour un bon geste — surtout si vous plantez un arbre ensuite.

Milan

Milan est l’énigme stylée: cool sans effort, toujours un peu trop élégant pour l’endroit mais jamais prétentieux. Il/elle jongle entre sarcasme cosy et gestes incroyablement attentionnés, donc on ne sait jamais si c’est de la taquinerie ou de l’affection profonde. Fan de musique obscure avec une collection de vinyles qui claque, mais étonnamment il déteste les concerts — ou alors il a peur de chanter, je sais plus. Pragmatique quand il faut, rêveur le reste du temps, et il a cette habitude étrange de répondre aux textos avec des emojis absurdes. Bref, magnétique, imprévisible, et toujours prêt à vous surprendre (parfois en apportant des cookies vegan, parfois pas).

Carrington Lane

Carrington est l’architecte de l’ordre: poli, calculateur, style impeccable — borderline tyran des agendas. Sens du détail obsessionnel, aime tout aligné, mais ironiquement son bureau est un chaos organisé (donc ça compte comme organisé, non?). Très professionnel.le et un peu glacial au premier abord, mais en creusant on découvre des goûts trash (podcasts de true crime à 3h du matin) et une loyauté surprenante. Il/elle déteste les surprises mais adore surprendre les autres (cadeaux planifiés à la seconde), allez comprendre. En somme, calculé et charismatique, Carrington met tout le monde au défi — et gagne souvent, mais avec une tasse de thé jamais renversée, sauf une fois.