À propos du Pluribus en quelques mots:

Voici donc le scoop sur la série : elle s’appelle Pluribus (2025) et c’est le dernier casse-tête de Vince Gilligan (oui, celui de Breaking Bad). L’histoire se déroule à Albuquerque et suit Carol Sturka, une romancière de romances qui s’avère être l’une des rares personnes non infectées par un mystérieux contagion de « bonheur ». Soudain, elle se retrouve plongée dans un monde où tout le monde est étrangement content — et elle doit tenter de sauver l’humanité de… trop de joie.

Découvrez les personnages de Pluribus

Carol Sturka

Carol Sturka, je vous jure, c’est le genre de personne qui commande la pièce sans lever la voix. Pragmatique, un peu froide parfois, mais avec des éclairs d’humour noir et une obsession secrète pour la peinture à l’aquarelle (oui, sérieux). Elle tient tout le monde en place, mais elle oublie parfois ses clés dans le frigo — ne me demandez pas pourquoi — et elle a un chat qui l’aime davantage que la plupart des humains. On sent qu’elle a un passé complexe, qu’elle protège ardemment ses proches et qu’elle fait des choix durs parce qu’elle croit que c’est nécessaire, même si en réalité elle adore les comédies romantiques quand personne ne regarde.

Zosia

Zosia, oh Zosia, c’est un mélange impossible de douceur lunaire et de panique organisée. Elle ressent tout très fort, s’emporte pour une phrase mal comprise et se calme en réarrangeant des listes (elle tient des listes de listes — oui, ridicule mais top). On la voit toujours avec un carnet, parfois elle écrit des poèmes, parfois juste des recettes étranges pour des tartines au miel; elle est à la fois précise et complètement distraite. Elle ferait n’importe quoi pour aider un ami, mais vous la verrez aussi soudainement refuser une sortie parce qu’elle a besoin d’un dimanche entier pour ne rien faire — ou pour apprendre le saxophone, qui sait.

Manousos

Manousos a ce charme râpeux, ce genre d’homme qui raconte une blague vieille de vingt ans comme si c’était la première fois et on rit quand même. Il est malin, stratégique, presque conspirateur, aime les plans à long terme et collectionne des objets improbables (une montre sans aiguilles, par exemple — je vous jure). Il déteste l’autorité mais suit un rituel matinal précis; il peut être brusque mais a une tendresse cachée pour les enfants et les plantes, oui les deux. On ne sait jamais vraiment à quoi il pense — il improvise, il trahit parfois (pas toujours méchamment), et il a cette capacité d’être à la fois dangereux et terriblement attachant.