À propos du The Pursuit of Love en quelques mots:

« La poursuite de l’amour » est une série télévisée dramatique britannique en période, adaptée du roman éponyme de Nancy Mitford. L’histoire suit les vies de la famille Radlett, en particulier le lien entre les cousines Linda et Fanny, alors qu’elles naviguent dans les complexités de l’amour, de la société et de la politique pendant l’entre-deux-guerres. Avec un casting impressionnant, des costumes époustouflants et une bande sonore fantaisiste, cette série charmante et spirituelle est un incontournable pour les fans de drames historiques.

Découvrez les personnages de The Pursuit of Love

Linda Radlett

Linda, c’est ce tourbillon romantique qui débarque et change tout sans prévenir — elle a les idées romantiques les plus folles et les baskets les plus tachées, vraiment. Toujours prête à partir pour une aventure (sauf quand elle oublie son passeport sur la table de la cuisine), elle est d’une sincérité désarmante et parfois incroyablement égoïste — mais dans le bon sens ? enfin, souvent. Elle lit des poèmes en marchant et fait des plans grandioses qu’elle n’applique qu’à moitié, puis s’excuse en offrant du thé. Elle peut être d’une naïveté touchante et en même temps elle capte des choses que personne d’autre ne voit, franchement mystérieuse par moments.

Fanny Logan

Fanny, c’est la voix plus posée du duo, un peu dans la lune mais solide comme un chêne, toujours en train de juger (gentiment) le monde autour d’elle. Elle a ce sens moral tenace et une réserve qui fait croire qu’elle n’est pas drôle — faux, elle a un humour sec qui te surprend à 3h du matin. Collectionne les billets de théâtre et les petits carnets où elle écrit des phrases qu’elle ne montre jamais; aime l’ordre mais déteste les formules toutes faites. Elle hésite souvent entre céder à l’aventure et rester pieusement raisonnable, ce qui la rend très humaine et terriblement attachante.

Uncle Matthew

On adore Uncle Matthew, le type qui a vécu mille vies et raconte les meilleures histoires, parfois exagérées — probablement exagérées, ou pas, qui sait ? Il a ce charme un peu roublard, une moustache qui aurait besoin d’un entretien et un rire qui emplit la pièce, et il peut être à la fois terriblement sérieux et complètement farfelu. Il donne des conseils précieux et oublie parfois où il a posé ses lunettes (sur sa tête, évidemment), mais il sait comment remettre les gens en selle. Il a un côté protecteur mais il laisse aussi les autres tomber parce qu’il adore voir comment ils se débrouillent (ok, ça sonne cruel, mais c’est pour leur bien).

The Bolter

La Bolter, c’est la catastrophe glamour ambulante, toujours prête à déployer ses ailes et filer à la première occasion — et quelle élégance en partant, des chapeaux ridicules et des chaussures impeccables. Elle brise des cœurs comme on brise des verres, sans trop y penser, mais elle a ce rire qui rend tout pardonnable, même si on jure de ne jamais lui refaire confiance. Scandaleuse, irrésistible, parfois complètement immature, elle tient cependant une façon étonnamment lucide de résumer la vie en deux phrases. Ah, et elle dit qu’elle ne pleure jamais, mais je l’ai déjà surprise en larmes dans un train (ou c’était un autre train ?).

Aunt Sadie

Aunt Sadie, c’est la tante un peu sévère mais secrètement molle au cœur, la main de fer dans un gant de velours… enfin, parfois dans un gant de cuir. Toujours impeccable, un sens du protocole qui pourrait diriger un pays, et pourtant elle te prépare un gâteau à 2h du matin si tu rentres triste — ce contraste est son super-pouvoir. Elle a des opinions tranchées, ne mâche pas ses mots et adore une bonne réprimande bien formulée; paradoxalement, elle collectionne les cartes postales ridicules. Froid en surface, très drôle quand on la connaît, et elle a un chat qui l’ignore totalement (ou l’aime follement, je suis jamais sûre).

Alfred Wincham

Alfred est le type pratique — banquier? avocat? un peu les deux dans ma tête — toujours poli, avec une moustache discrète et une fiche de comptes impeccable qu’il caresse comme un trésor. Plutôt raisonnable, il semble qu’il n’ait jamais fait de folie mais il a ce petit côté nostalgique, collectionneur de vieilles chansons et timbres, qui le rend attachant. Parfois un peu ennuyeux (oui), mais il surprend par des gestes tendres, des lettres écrites sur du papier de mauvaise qualité mais avec un cœur énorme. Et je jure qu’il a une paire de chaussures rouges cachée sous son lit — ou alors je l’ai rêvé ?

Lord Merlin

Lord Merlin, quel personnage! Excentrique, brillant, un peu sorcier de salon — il pourrait écrire des aphorismes en sirotant un cocktail, porter un monocle et une écharpe violette le même jour, et tout le monde le trouve irrésistible. Il adore les conversations absurdes, les théories délirantes et donner des surnoms, et il a toujours une anecdote improbable à sortir (souvent vraie, parfois non). Grand manipulateur au sens le plus charmeur du terme, il mêle sagesse, spectacle et un brin d’égoïsme élégant. Parfois il fait des plaisanteries qui tombent à plat, mais on lui pardonne tout parce qu’il brille trop.

Davey

Davey, c’est le jeune homme un peu gauche mais terriblement loyal que tu veux protéger; il est à la fois touchant et maladroit, avec cette timidité adorable qui fait craquer la galerie. Il parle peu, observe beaucoup, et quand il prend la parole on sent que ça vient du fond; parfois il déborde et raconte des détails bizarres sur sa grand-mère (vraiment bizarres). Il peut être courageux d’une façon douce — supporter quelqu’un sans fanfare — et il a une passion secrète pour la couture ou les oiseaux, je sais plus trop, mais c’est mignon. Bref, évident mais pas ennuyeux, et souvent surpris par ses propres sentiments.

Aunt Emily

Aunt Emily, c’est la tante chaleureuse qui a tout vu et garde des biscuits dans son sac comme s’il n’y avait pas de lendemain; elle est maternelle mais pas étouffante, plutôt du genre à te lancer un regard qui dit « je sais » et à te préparer un remède maison. Elle a une mémoire étonnante pour les ragots mais un tiroir plein de lettres qu’elle n’ouvre jamais — contradiction parfaite. Elle peut être distraite (la clef dans le frigo? classique) et d’une lucidité incroyable quand il s’agit de dire les choses justes. On l’aime pour ses petites maladresses et ses grandes vérités, toujours prête à intervenir avec une tasse de thé et une remarque cinglante.