À propos du Succession en quelques mots:

Succession est une série dramatique américaine qui suit la vie de la famille riche et puissante Roy alors qu’ils naviguent dans leur empire médiatique et leurs relations personnelles. La série explore les thèmes de la cupidité, de la loyauté, de la dynamique du pouvoir et de la dynamique familiale, tout en présentant une distribution talentueuse et une écriture pointue. Avec ses critiques élogieuses et sa base de fans dévoués, Succession est devenue un incontournable pour les fans de télévision intelligente et captivante.

Découvrez les personnages de Succession

Greg Hirsch

Greg est ce cousin un peu paumé qui devient soudainement indispensable, genre je t’assure, il a ce mélange d’innocence et de ruse qui te surprend tout le temps. Il bafouille, il note des trucs, il a l’air de ne jamais tout comprendre et puis paf, il sort un truc hyper concret qui sauve la mise — est-ce qu’il a un carnet magique? Il adore les snacks dans son bureau (ou était-ce une passion pour les dossiers scellés ?), et il est affreusement attachant même quand il cligne de l’œil comme un détecteur de mensonges. Il est naïf et calculateur à la fois, et honnêtement je suis convaincu qu’il garde des secrets qu’il oublie parfois lui-même.

Shiv Roy

Shiv est la femme froide-et-brûlante du clan: brillante, charismatique et dangereuse quand elle sourit trop longtemps, vous savez le sourire qui veut dire « je vais te couper ». Elle est politisée, stratège, mais aime aussi les manteaux chers et les petits défis personnels (et apparemment elle adore se contredire, ce qui la rend vivante). Elle peut sembler désinvolte avec les émotions, mais elle a des principes bizarres et des attachements imprévus — parfois elle est douce, parfois elle est un bulldozer, c’est fascinant. Je jure qu’elle garde une playlist secrète de vieux tubes des années 90 et qu’elle pleure en cachette devant des discours bien écrits.

Kendall Roy

Kendall est le gamin trop ambitieux qui veut la couronne mais qui trébuche à chaque pas, et putain c’est tragiquement captivant. Il bosse comme un fou, il jure qu’il va tout changer, puis il replonge dans ses démons, type cercle sans fin mais avec des costumes chers et des meetings, vous voyez le tableau. Il a des éclairs de génie et des moments de totale vulnérabilité qui te rendent fou de compassion (et de frustration). Parfois il joue les durs, parfois il appelle sa mère — oui, vraiment — et oui, il adore les falafels à trois heures du matin, détail inutile mais adorable.

Logan Roy

Logan est la montagne — froid, autoritaire, impitoyable, et en même temps il y a des micro-phrases qui laissent entrevoir une blessure humaine (ne me faites pas dire que je le défends, non, non). Il dirige comme on commande une armée, il n’aime pas les pleurnicheurs et il achète des compagnies comme d’autres achètent des chaussures, c’est effrayant et fascinant. Il a l’air d’une roche mais il râcle parfois les souvenirs comme quelqu’un qui garde une vieille chanson coincée dans la tête (c’est peut-être un cigare, peut-être un chat, qui sait). Parfois il est injuste juste pour tester les autres et parfois il montre une loyauté tordue, contradictoire au possible.

Roman Roy

Roman, c’est l’idiot brillant qui balance des blagues salées au mauvais moment mais tu sais que c’est son bouclier. Il est sarcastique, égoïste, mais il a des éclairs d’affection sincère qui surprennent (et qu’il nie ensuite en public, naturellement). Il flirte, il sabote, il adore choquer mais garde aussi une sensibilité étrange pour des choses minuscules, comme les films kitsch ou les faux bijoux. Parfois il est immature au-delà du supportable, parfois il devient terriblement sérieux et efficace — c’est ce côté-yoyo qui le rend irrésistible.

Marcia Roy

Marcia est la présence silencieuse mais dominante, toujours élégante, parfois glaciale, et terriblement posée comme si elle calculait chaque respiration. Elle protège sa place comme une forteresse et ses regards valent souvent plus qu’un discours, vraiment, méfiez-vous du silence. On la pense distante mais elle a des tempêtes intérieures (probablement) et des coups de jalousie surprises, et oui elle adore les plantes d’intérieur ou était-ce une collection de tasses ? Bref, elle est mystérieuse et on ne sait jamais trop si elle joue la partition ou improvise en douce.

Frank Vernon

Frank est le vieux loup de la maison, loyal (parfois), fatigué (souvent), avec des anecdotes de bureau qui pourraient remplir un livre ennuyeux mais étrangement drôle. Il connaît les rouages de la boîte mieux que personne, et il a ce mélange de pragmatisme et de lassitude qui sent la vraie expérience. Il donne des conseils comme s’il égrenait des perles, puis il se met à siroter quelque chose et raconte une histoire qui n’a rien à voir, et vous restez scotché. Il peut sembler blasé mais il a des élans de panique très humains quand ça chauffe — c’est là qu’on le voit vraiment.

Tom Wambsgans

Tom est l’époux qui veut plaire et qui manigance aussi (oui, les deux en même temps), toujours en quête d’approbation comme un gamin qui veut des cookies. Il est parfois ridicule, souvent calculateur sous le vernis, et il a ce rire un peu forcé — mais il est aussi terriblement résilient, obligé de l’être pour survivre. Il aime le pouvoir presque comme un hobby, et paradoxalement il a des moments d’une loyauté étonnante (ou de rancune glacée, selon le jour). Et je jure qu’il a une collection secrète de chaussettes absurdes, ne me demandez pas pourquoi, c’est juste une intuition.

Connor Roy

Connor, le frère étrange qui croit encore à des idées folles comme la présidence (oui, vraiment), il vit hors du monde réel mais d’une façon qui amuse et parfois énerve tout le monde. Il est distant des affaires, adepte du style excentrique (chapeaux, discours vagues), et il a ce côté aristocratique raté qui le rend presque attachant. Il parle de projets bizarres, se perd dans ses propres théories, et puis il revient avec une conviction qui ferait rire si ce n’était pas si sérieux pour lui. Parfois il est incohérent, parfois il a une lucidité surprenante sur les autres — c’est un mystère ambulant.

Lawrence Yee

Lawrence Yee, c’est le type tech/finances calme, un peu zen mais avec des poches pleines et des idées froides comme un algorithme, vous voyez le genre. Il sourit doucement, parle lentement et te rappelle qu’il peut racheter la moitié d’un empire avant ton café, sans tension apparente — parfois il a un tic adorable comme secouer la jambe, allez savoir pourquoi. Il incarne la modernité corporate mais cache peut-être des ambitions personnelles (ou une addiction au karaoké de luxe, je blague à moitié). Il est poli, stratégique, et étrangement imprévisible quand il décide que ça l’amuse — ça devient dangereux très vite.