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Quel méchant de ‘Buffy’ est votre alter-ego ?

Êtes-vous un stratège rusé comme le Maître, ou un combattant féroce comme Glory? Faites ce quiz pour découvrir quel méchant de Buffy représente le mieux votre alter ego! Avec une variété de questions explorant votre personnalité, vos capacités et vos préférences, vous découvrirez le personnage qui reflète votre vrai moi. Alors n'attendez plus, cliquez sur le bouton Démarrer ci-dessous et libérez votre côté sombre!

Bienvenue au quizz: Quel méchant de Buffy est votre alter-ego ?

À propos du Buffy en quelques mots:

Buffy contre les vampires est une série télévisée culte qui suit Buffy Summers, une lycéenne qui découvre qu’elle est l’élue pour combattre les vampires et autres forces surnaturelles. Avec l’aide de ses amis et d’un mentor sage, elle se bat pour protéger sa ville des créatures maléfiques tout en naviguant dans les difficultés de la vie adolescente. La série mélange action, humour et drame, et a une base de fans dévoués à ce jour.

Découvrez les méchants de Buffy

The Master

Le Master, c’est l’archétype du vampire ancien et cérémonieux, genre grand-père maléfique mais beaucoup moins gentil. Il parle comme si chaque phrase venait d’un sermon et adore l’odeur de la poussière — oui, littéralement, on le sent venir — bon d’accord j’invente peut-être. Il est coordonné, patient, et terriblement sûr de son destin, du genre à avoir des plans sur 200 ans. Et malgré tout ce sérieux il a cet air un peu théâtral, comme s’il préparait une pièce à tout moment.

Drusilla

Drusilla est complètement à part: mystique, dérangée et follement poétique, parfois elle fredonne des chansons qui vous donnent envie de pleurer et de fuir en même temps. Elle a ce mélange de fragilité et de cruauté qui rend tout imprévisible — un instant princesse, l’instant d’après créatrice de chaos. Elle croit aux signes, aux visions, et aux coïncidences, et semble toujours savoir quelque chose que vous n’osez pas demander. Ah et elle a un goût pour les poupées et les parapluies, ou c’était des chapeaux? Bref, mystère.

Angelus

Angelus, c’est le sociopathe charismatique par excellence: charme glacial, humour noir et la pire des consciences — zéro, nada, jamais. Il joue avec les gens comme avec des marionnettes et trouve ça drôle, ce qui est effrayant, je sais. Toujours impeccable, raffiné, et capable d’une cruauté artistique, il a ce sens dramatique du spectacle qui vous reste en tête. Paradoxalement, parfois on dirait presque qu’il regrette (ou pas), mais non, plutôt pas.

Mayor Richard Wilkins III

Le maire Wilkins, c’est l’apparence du calme et de la bureaucratie qui cache un plan purement diabolique, et ça, c’est délicieux. Il sourit, distribue des poignées de main, et s’habille comme un type important, mais secrètement il veut transformer Sunnydale en carnaval maléfique — littéralement, il devient un ogre géant, oui oui. Il a ce côté paternaliste et faussement rassurant, toujours une phrase policée pour tout justifier. Et puis il aime les cérémonies, ou c’était la décoration? Peu importe, l’efficacité est là.

Professor Maggie Walsh

Maggie Walsh est la scientifique brillante mais un peu trop confiante, toujours à deux doigts d’une découverte qui va « changer tout ». Elle est froide, méthodique, et un peu trop sûre que la science peut tout expliquer — jusqu’à ce qu’elle tombe sur du surnaturel, évidemment. J’aime qu’elle ait ce mélange de mentor et d’expérimentatrice sans scrupules, avec un carnet toujours plein de schémas illisibles. Parfois elle paraît humaine, parfois machine, on n’arrive jamais à décider, et c’est ce qui la rend fascinante.

Adam

Adam est le monstre bio-ingénieur-cyborg qui ressemble parfois à un mauvais assemblage de pièces et parfois à une idée géniale de science-fiction; c’est perturbant. Il est brutal mais remarquablement intelligent d’une façon froide, genre casse-tête sans empathie. Il a des tics bizarres (il collectionne des vis? des boutons? je mélange), et parle rarement mais quand il le fait c’est pour dire quelque chose d’efficace. En somme, un hybride qui pose des questions sur l’identité, et qui en profite pour être dangereux.

Glory

Glory, c’est la déesse divine hors de contrôle: égoïste, capricieuse, et obsédée par le retour à son statut de toute-puissante, bref, une diva cosmique. Elle vit pour les plaisirs immédiats, le chaos émotionnel, et pour que tout le monde reconnaisse sa supériorité — évidemment avec un flair théâtral énorme. Elle est à la fois séduisante et terrifiante, a d’énormes colères et adore les robes (ou les armures?); peu importe, le style est là. Et elle a cette absence totale d’empathie qui rend chaque scène avec elle épuisante mais magnétique.

Warren Mears

Warren, argh, le geek qui a pris les pires décisions imaginables — intelligent, vaniteux, et tellement égocentrique que ça en devient pathétique. Il code, bricole des armes, et se voit déjà héros, alors qu’il n’est souvent qu’un lâche avec des gadgets. Il aime impressionner (et mentir), et il peut être presque charmant quand il n’essaie pas trop fort — mais il finit toujours mal, typique. Et oui, il transporte probablement une clé USB dans sa poche à tout moment, non?

Caleb

Caleb, c’est l’incarnation de la violence fondamentaliste, ancien prêtre devenu brute impitoyable, avec un sourire qui signifie « je vais ruiner ta journée ». Il a ce côté ancien testament, brutal, qui dit des choses terrifiantes avec un calme religieux; flippant. Il aime casser des meubles mais aussi citer la Bible de façon sélective, c’est bizarrement cohérent. Parfois il paraît presque superstitieux, parfois totalement cruel sans raison, donc attendez-vous à l’imprévisible.

The First Evil

The First Evil est l’ultime manipulateur: sans forme fixe, il/elle/ça prend des visages, des voix, et toutes vos peurs pour vous retourner contre vous. C’est froid, patient et incroyablement malin, le concept d’antagoniste qui travaille avec des idées plutôt que des muscles (même s’il peut utiliser les deux). Il aime jouer avec les souvenirs et les faiblesses, et a toujours un plan dans l’ombre — littéralement, il est d’accord pour hanter un projecteur. Parfois il parle comme une vieille sagesse, parfois comme un enfant méchant; bref, il est insaisissable et cela rend tout plus sinistre.