À propos du Hellbound: Jiok en quelques mots:

Hellbound: Jiok est une série télévisée sud-coréenne qui tourne autour d’un groupe de personnes qui reçoivent des prédictions d’un ange de la mort selon lesquelles ils feront bientôt face à une damnation éternelle. Alors que la panique et le chaos s’ensuivent, une organisation de type culte émerge, proclamant que l’ange est un sauveur, conduisant à la formation d’un nouvel ordre mondial. La série suit un avocat et un journaliste alors qu’ils découvrent la vérité derrière les prédictions mystérieuses de l’ange et les motifs cachés de l’organisation.

Rencontrez les personnages de Hellbound: Jiok

Jeong Jin-soo

Jeong Jin-soo, c’est ce type silencieux qui s’impose sans cris — juste une présence lourde, tu vois? Il a ce mélange de justice froide et de failles humaines, genre il peut sembler impassible puis soudain craquer sur une chose toute bête (une chanson des années 90). Leader né? Peut-être, mais il a aussi des tics étranges, il range toujours ses dossiers par couleur et parfois il oublie où il a mis son portefeuille. Je le vois comme quelqu’un qui porte le poids du monde sur les épaules et qui se refuse à l’exploser en rage — en même temps il peut être furieux comme un orage. Bref, complexe, parfois contradictoire, toujours captivant; j’ai l’impression qu’il cache plus qu’il ne montre et ça me tue.

Min Hye-jin

Min Hye-jin, c’est la femme qui fonce, qui n’attend pas que le monde lui explique comment fonctionner — elle crée ses propres règles. Elle est hyper perspicace, presque irritante dans sa lucidité, avec un sens de l’humour sec (oui, elle rit parfois à des blagues nulles). En même temps elle a des moments de fragilité totale, genre elle garde des photos dans son portefeuille et ne veut pas qu’on les voie. Je l’imagine toujours en talons qui courent — elle porte des talons et des baskets selon l’humeur — bref, une pile d’énergie imprévisible.

Bae Young-jae

Bae Young-jae, wow, personnage magnétique et flippant à la fois — on ne sait jamais vraiment s’il est charismatique ou carrément dangereux. Il a cette façon douce de parler qui te berce puis te cloue, il manipule les silences comme d’autres manipulent des épées. Fanatique? Parfois oui, parfois non — il croit sincèrement en quelque chose mais il y a clairement une part d’ambition personnelle. Petit détail idiot: il collectionne des objets banals (pailles, bouchons) et dit que c’est pour « l’observation sociale » — j’y crois à moitié. En tout cas il apporte la tension partout où il passe et on peut presque sentir la pièce changer quand il entre.

Song So-hyun

Song So-hyun, la mère courage mais pas la caricature non, elle est tellement humaine, tellement contradictoire. Elle peut être douce et maternelle puis devenir froide et déterminée en une fraction de seconde, tu la sous-estimes à tes risques et périls. Elle a des petites manies, genre toujours un briquet dans son sac et une playlist nostalgie qui tourne tout le temps (oui, même au mauvais moment). Sa loyauté est énorme, parfois maladroite, et c’est exactement ce qui la rend à la fois admirable et tragique.

Jin Kyeong-hoon

Jin Kyeong-hoon, le sceptique qui veut des preuves et qui bouffe des cafés noirs en lisant des rapports à 3h du matin. Il est méthodique, presque obsessionnel, et je le vois toujours fouiller des poubelles pour trouver un indice (ou alors c’est une exagération de ma part, mais non pas vraiment). Il peut être froid, mais il a des petits gestes tendres et bizarres, comme écrire des notes pour lui-même en forme de petits cœurs (oui, vraiment). Il ne fait pas confiance facilement, mais quand il s’engage, il ne lâche rien — une vraie force tranquille, un peu cassée sur les bords.