À propos du Nisser en quelques mots:

Nisser est une série télévisée norvégienne qui suit la vie d’un groupe de créatures espiègles et mythiques connues sous le nom de Nisser. Située dans une petite ville, l’émission est remplie d’humour, de drame et d’aventure alors que les Nisser naviguent dans le monde humain tout en essayant de garder leur existence secrète. La série a acquis une fidèle communauté de fans et est connue pour son mélange unique de folklore et de narration contemporaine.

Rencontrez les personnages de Nisser

Liv

Liv, c’est l’énergie pure, celle qui arrive en courant et envoie tout valser (mais toujours avec un plan, enfin la plupart du temps). Têtue comme pas permis, elle tient tête à tout le monde et s’en sort souvent grâce à un mélange de chance et d’entêtement héroïque — ou idiotie charmante, selon l’humeur. Elle adore les choses minuscules (collec­tionne des boutons? des cailloux? on n’est pas sûr) et déteste… les pissenlits? (vraiment bizarre, je sais). Parfois elle pleure devant une vieille pub à la télé, puis rit cinq minutes après, donc bon, émotionnellement riche et un peu imprévisible.

Charlotte

Charlotte est la planificatrice, la voix raisonnable dans le chaos, mais pas sans ces petites explosions d’impulsivité qui la rendent vivante. Elle tient des listes pour tout — même pour ses listes — et perd parfois une heure à réorganiser ses organisateurs, c’est presque un art. Elle est douce mais peut être tranchante quand il faut, genre guillotine en tailleur, et je jure qu’elle sait chanter faux avec conviction (et elle pense que non). C’est la personne qui vous apportera une soupe réconfortante tout en corrigeant votre posture, adorablement agaçante.

Josefine

Josefine est mystérieuse à la façon dont on garde un livre fermé sur une étagère: intrigante, un peu froide, mais avec des pages pleines d’encre là-dedans. Sarcastique, observatrice, capable d’un commentaire qui vous retourne la tête et d’un sourire qui vous désarme — elle a des contradictions écrites en grand. Elle peint des choses étranges et boit du thé trop fort à des heures impossibles, souvent à 3h33 pour une raison très précise (ou peut-être pas, je me rappelle mal). Ne la sous-estimez pas: elle a un plan B, C et un post-it pour chacun.

Mads

Mads, oh Mads, le cœur sur la main et souvent la main dans la mauvaise poche — un peu maladroit mais tellement attachant. Loyal jusqu’à la moelle, il protègera ses amis comme s’il réparait une vieille bicyclette: avec acharnement et de l’huile partout. Il aime les gâteaux, les animaux et les blagues pas drôles mais on rit quand même, parfois parce qu’on veut l’encourager. Il peut paraître peureux (il sursaute devant un oiseau) et puis hop, il se jette dans l’action sans réfléchir, donc on ne sait jamais vraiment.

Kasper

Kasper est le farceur du groupe, toujours prêt à une blague (ou un plan mi-illégal mi-génial), mais avec un cœur en or caché sous des couches de sarcasme. Il est vif, rapide, un peu casse-cou, et adore jouer les héros improbable — surtout si ça implique des accessoires ridicules. Il garde des secrets comme des cartes à jouer, on ne sait jamais lequel il sortira, et parfois il est étonnamment sentimental (ne le dites pas, il rougirait). Éternel optimiste? Non, mais presque ; il a des jours sombres et d’autres où il construit une fusée en carton pour le fun.

Karen

Karen paraît stricte au premier regard — tableau, règles, discipline — mais bon sang, elle a un petit rire contagieux quand on la surprend hors de son rôle. Elle organise tout, même les crises, et tient à ce que les choses soient faites correctement (même si sa définition du « correct » change selon la météo). Elle aime tricoter des écharpes pour des inconnus et collectionner des cuillères — oui oui, des cuillères — et elle se raconte des histoires tragiques avant de s’endormir, juste pour se sentir vivante. Paradoxale? Totalement, et c’est pour ça qu’on l’adore.

Møller

Møller, le pilier vieux style, un peu grincheux, mais avec une sagesse qui arrive quand on s’y attend le moins (souvent sous la forme d’une remarque pince-sans-rire). Il marche lentement, parle encore plus lentement, et possède probablement une vieille bicyclette qui en a vu de toutes les couleurs; il la bichonne comme un animal de compagnie. Il a des manies — toujours un mouchoir, parfois deux, et il chante des airs marins en réparant des choses — et pleure devant les aurores boréales (ou était-ce un film?). On dirait un rocher, mais il cache un cœur qui fond devant un bon riz au lait.