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Quel personnage de The Nevers es-tu ?

Avez-vous déjà demandé quel personnage de la série à succès de HBO "The Nevers" vous ressemble le plus? Eh bien, maintenant vous pouvez le découvrir avec notre quiz amusant et interactif! De la courageuse et ingénieuse Amalia True à l'énigmatique et calculatrice Maladie, la série regorge d'un casting éclectique de personnages, chacun avec ses forces et faiblesses uniques. Alors, qu'attendez-vous? Faites défiler vers le bas et cliquez sur le bouton "Commencer" pour découvrir quel personnage de "The Nevers" vous ressemble le plus!

Bienvenue au quizz: Quel personnage de The Nevers es-tu ?

À propos du The Nevers en quelques mots:

« The Nevers » est une série dramatique de science-fiction se déroulant dans le Londres de l’ère victorienne qui suit un groupe de femmes dotées de capacités surnaturelles appelées « les Touchées ». Créée par Joss Whedon, la série explore les thèmes du pouvoir, de l’oppression et du changement social alors que les Touchées naviguent dans leurs nouvelles capacités tout en faisant face à l’opposition de l’ordre établi. La série a été saluée pour ses personnages féminins forts, sa construction de monde complexe et son intrigue captivante.

Découvrez les personnages de The Nevers

Hugo Swan

Hugo, oh là là, il est ce type un peu mystérieux et flamboyant qu’on remarque tout de suite — journaliste/informateur? Oui et non, disons plutôt “quelqu’un qui sait des choses” et qui adore les secrets. Il a un rire trop fort pour la situation et une faiblesse pour les canards en caoutchouc (vraiment), mais il peut aussi se montrer étonnamment sérieux quand il faut, genre stratégie de combat et plans tordus. On sent qu’il a des dettes, des amis douteux et une loyauté surprenante envers ceux qu’il aime — parfois il change d’avis deux fois par phrase, mais c’est aussi pour ça qu’on l’adore.

Amalia True

Amalia, c’est la tornade héroïne — combattante implacable, détective à ses heures, et complètement têtue, limite charmeuse quand elle veut pas l’être. Elle protège les siens avec une violence douce, partage des anecdotes tristes et boit du thé comme si de rien n’était (même si elle oublie souvent que la théière brûle). Toujours un peu brisée mais pas du tout prête à demander de l’aide, elle garde des secrets qui la rendent à la fois dangereuse et magnétique — et oui, elle a ce fameux manteau et parfois un chapeau improbable. Bref, elle est compliquée, loyale, blessée, et drôle quand elle tente de faire la cuisine (spoiler : ça finit mal).

Penance Adair

Penance est la scientifique du groupe, inventive et douce comme un chaton mais avec la tête pleine d’engrenages et de formules — elle bricole des machines qui te font pleurer de joie. Hyper empathique, elle écoute tout et répare tout, parfois en chantant — sérieusement, elle chante souvent quand elle est concentrée, c’est adorable et inquiétant. Elle a une peur folle de faire du mal aux autres malgré ses inventions parfois explosives, et en même temps c’est la première à tester un prototype sur elle-même (oui, vraiment). Tendre, créative, un peu distraite (toujours en train d’égarer ses clés), et terriblement attachante.

Lavinia Bidlow

Lavinia est la matriarche parfaite en costume impeccable — philanthrope, organisatrice et absolument convaincue de son bon droit, même quand c’est borderline. Elle parle beaucoup de respectabilité et de classe, mais sous ce vernis y’a une femme qui manie le pouvoir comme un jeu d’échecs, parfois cruellement, parfois par peur; c’est flippant et fascinant. Elle adore les soirées thé et les orchidées (ok, peut-être deux fois plus que nécessaire) et a ce regard qui vous juge mais vous sauve aussi, allez comprendre. Bref, elle est carriériste, raffinée, secrètement romantique et terriblement dangereuse si on la prend de haut.

Augustus ‘Augie’ Bidlow

Augie, il est un peu l’adorable grand garçon naïf qui essaie d’être utile — parfois héroïque, souvent maladroit, toujours sincère. Il porte des costumes un peu trop grands (ou c’est son ego qui est trop grand?) et collectionne des soldats miniatures qu’il aligne en silence quand il réfléchit — un peu étrange mais mignon. Loyal à sa manière, il peut se montrer incroyablement brave au mauvais moment, puis repartir en bafouillant comme un enfant; contradiction totale, oui, mais ça marche. On sent qu’il veut plaire, qu’il veut appartenir, et franchement on le trouve touchant même quand il fait des gaffes monumentales.

Lord Massen

Lord Massen, le grand méchant aristocratique, tout en froideur et en planification clinique — il a l’air de quelqu’un qui préfère les tableaux Excel aux discussions. Il incarne le pouvoir et la décadence industrielle, toujours propre sur lui, souvent glaçant; il manipule les gens comme des pions, mais parfois il se met à sourire comme si quelqu’un avait raconté une blague privée (bizarre, non?). Il croit en l’ordre, en la « solution » définitive, et ça le rend terrifiant parce que c’est logique et sans remords. Bref, élégant, méthodique, implacable, et parfois étonnamment vulnérable quand on le surprend hors de sa mise en scène.

Annie Carbey

Annie est cette âme pétillante, un peu bruyante, qui tient la baraque — serveuse? amie? volontaire héroïque? Tout ça à la fois, en gros. Elle a toujours une remarque trop honnête, des biscuits cachés dans sa poche et une énergie débordante qui fait du bien, même si elle raconte des histoires contradictoires le lendemain matin (mémoire sélective ou dramaturgie, on sait pas). Terriblement loyale, parfois exaspérante, elle est capable d’un courage surpris et d’une tendresse qui te prend par surprise. Elle répare les cœurs avec des blagues douteuses et un sac plein de pansements.

Maladie

Maladie, wow, quelle présence — chaotique, magnétique, complètement hors norme, elle est à la fois géniale et terrifiante; on est fasciné et un peu effrayé. Elle incarne la révolte extrême, la douleur transformée en art et en violence, avec des démonstrations publiques qui donnent la chair de poule; et pourtant, parfois, elle peut être étrangement tendre, comme une artiste incomprise (oui, on sait, ça sonne contradictoire). Maniérée, souvent folle aux yeux des autres, mais incroyablement lucide sur certaines vérités, elle transforme la souffrance en spectacle et en pouvoir. Bref, elle est dangereuse, créative, imprévisible et, franchement, inoubliable.

Horatio Cousens

Horatio, le policier fatigué mais droit, tu sais le type dont le regard en dit plus que ses mots — sérieux, très pro, parfois casse-pieds, parfois père spirituel. Il essaie de maintenir l’ordre dans un monde qui change trop vite pour lui et s’accroche à la loi comme à une bouée, mais il a aussi des failles, des doutes et un cœur qu’il cache derrière des protocoles. Il fume trop, il joue aux échecs, et il a un faible pour les théories compliquées (ou pour les biscuits, ça dépend des jours). Loyal, inflexible puis parfois surprenant dans ses choix, il est la main ferme quand tout s’écroule.

Frank Mundi

Frank, c’est le dur au grand cœur — policier de terrain, un peu bourru, mais toujours prêt à sauter dans la mêlée pour protéger les autres. Il a des façons brusques, un accent qui claque, et une collection de vieilles cartes postales qu’il garde dans sa poche (très cliché, je sais). Pragmatique, drôle malgré lui, il est capable d’actes de bravoure presque par accident; parfois il râle, parfois il pleure, et on le comprend. En résumé: solide, humain, pas toujours subtil, mais inébranlable quand ça compte vraiment.