À propos du The Nevers en quelques mots:

« The Nevers » est une série de science-fiction/fantastique de HBO se déroulant dans le Londres victorien. Après un événement mystérieux connu sous le nom de « The Turn », un groupe de personnes, principalement des femmes, acquièrent des pouvoirs inhabituels. L’histoire suit Amalia True, une veuve mystérieuse et impulsive qui devient la leader d’un groupe de ces femmes, appelé « The Touched ». Avec son amie fidèle Penance Adair, elles luttent pour protéger les leurs et découvrir la vérité derrière leurs capacités. La série explore des thèmes de pouvoir, d’identité et de contraintes sociales à travers une lentille imaginative, créant un monde unique et captivant.

Rencontrez les personnages de The Nevers

Hugo Swan

Hugo, c’est le grand frère discret du groupe, genre imposant mais avec un cœur de chamallow (vrai). Il protège comme un rocher et parle peu, ce qui le rend encore plus mystérieux — parfois il sourit comme s’il gardait une blague intérieure depuis 20 ans. Il a des mains qui savent à la fois réparer une roue et calmer un bébé, ou du moins c’est ce qu’on dit; parfois il aime aussi des choses étranges comme les pigeons, ou était-ce les tulipes? Bref, loyal jusqu’à l’os, un peu têtu, et ô surprise, il adore la poésie victorienne quand il pense personne n’écoute.

Amalia True

Amalia c’est la leader badass qui te frappe puis t’offre une cigarette (symbolique), elle a des cicatrices et mille mensonges romantiques sur son passé. Méfiante, hyper pratique et terriblement drôle quand elle s’énerve (ce qui arrive souvent), elle est aussi incroyablement protectrice envers ses gens, même si elle nie tout le temps. Elle vole, elle se bat, et pourtant elle garde parfois des petits trésors ridicules dans sa poche — boutons, tickets, souvenirs, qui sait — comme si chaque objet était un petit monde. Et entre nous, elle prétend détester les contes de fées mais les lit sous la couette: contradiction parfaite.

Penance Adair

Penance est cette inventrice adorablement fofolle à qui tu confierais ton chien et ton cerveau, sérieusement. Brillante, pleine d’enthousiasme, souvent maladroite dans la vie sociale (trop d’empathie, pas assez de filtres), elle crée des gadgets qui font « oh! » et parfois « aïe » — mais toujours avec style. Elle parle vite, gesticule encore plus vite, et a une façon de croire que tout est possible, même les choses légèrement impossibles (oui, toujours optimiste). Et petite bizarrerie: elle garde une boîte de boutons triés par couleur et humeur, je jure que c’est vrai.

Lavinia Bidlow

Lavinia, la doyenne impeccable, c’est l’autorité morale avec des gants de soie, le regard qui juge et la volonté de cimenter l’ordre social (pour le meilleur et le pire). Elle est charmante quand elle veut — attention, charme calculé — et elle adore les protocoles; paradoxalement elle peut être étonnamment impulsive si son monde est menacé. Elle collectionne les décorations et les causes, adore exiger des choses mais parfois, parfois, tu la surprends à écouter un opéra en pleurant (pas souvent, mais oui). C’est la dame de la société: majestueuse, crainte, un peu triste, très organisée.

Augustus ‘Augie’ Bidlow

Augie, le cousin timide et un peu gauche, a le cœur énorme et les mains qui tremblent quand il veut bien faire; il est touchant et maladroit comme pas permis. Il adore les modèles réduits, les petites maquettes — un homme qui aime tout en miniature et les bons thé; il est très poli mais nerveux, genre s’excuse pour le thé froid. Malgré son air doux, il peut faire preuve d’un courage surprenant (sérieux, on l’aurait pas parié), et il est extrêmement fidèle à sa famille, même quand la famille est compliquée. Et oh, il a parfois une moustache ridicule qu’il caresse quand il est pensif (vraiment).

Lord Massen

Lord Massen, le type froid et élégant qui te fait sentir que l’humain est juste une donnée à optimiser — so chic, so sinistre. Il manie le pouvoir comme un artisan, patient, méthodique, et il traite les autres comme des pièces sur un échiquier, ce qui est à la fois effrayant et fascinant. Il aime les expériences, les spéculations et… les choses rares (or, fruits exotiques, secrets personnels — tout ce qui peut briller). Et il y a ce truc bizarre où il semble presque admirer la créativité des autres, comme un collectionneur respectueux d’œuvres vivantes, puis il te contrôle; bref, élégant mais toxique.

Annie Carbey

Annie, la messagère/épicière (ou un truc du genre), c’est la bouffée d’air honnête et rapide, toujours avec un mot, une info, un biscuit peut-être. Elle a un sens du commerce et du réseau incroyable: si quelque chose se passe, Annie le sait, souvent avant toi; rumeurs, potins, secrets, tout passe par elle. Elle peut être râleuse et tendre en même temps — elle te mordera ou te câlinera selon son humeur — et aime les couleurs criardes (gants rouges? oui). Petite contradiction adorable: elle prétend ne pas croire aux héros mais mettrait sa vie pour ses amis sans hésiter.

Maladie

Maladie est l’incarnation du chaos poétique, fascinante et terrifiante, elle parle comme une prophétesse et brise des choses pour prouver un point (ou juste pour voir). Charismatique jusqu’à l’excès, blessée et blessante, elle a ce mélange de génie et de douleur qui te hypnotise et te rend méfiant en même temps. Elle joue avec les émotions, aime les motifs religieux et les symboles, et parfois elle est douce comme un chat, puis cruelle comme une tempête (oui, vraiment bipolaire, au sens dramatique). Ce qui est flippant: tu n’es jamais sûr si elle cherche la guérison ou la révolution — peut-être les deux, peut-être aucun.

Horatio Cousens

Horatio, l’homme de loi qui a la lassitude du monde et pourtant une honnêteté presque gênante, tu le vois traîner un carnet et une tasse de thé toute la journée. Méthodique, intelligent, un peu cynique mais pas sans espoir; il a vu des trucs, il est prêt à plier les règles si ça protège quelqu’un (ou s’il a un bon argument). Il adore les détails, les preuves, les petits indices — il collectionne les faits comme d’autres collectionnent les timbres (vraiment méticuleux). Et fun fact improbable: il sait faire des tours de magie pour enfants, ce qui choque tout le monde (moi incluse).

Frank Mundi

Frank, le bourru au grand cœur — flic de terrain, pragmatique, qui a les mains toujours un peu grasses parce qu’il bricole ou mange des sandwichs, jamais sûr. Il est loyal, terre-à-terre, pas du genre à faire des grands discours mais il agit, et souvent il a raison; il dit des choses simples et elles sonnent juste. Il a un côté sentimental surprenant (il garde peut-être une lettre, ou un dessin d’enfant, ne demande pas pourquoi), et il râle beaucoup mais aide sans hésiter. Et oui, il a un rire bizarre qu’on n’oublie pas — un mélange de grognement et de klaxon, vraiment.