À propos du Castle Rock en quelques mots:

Castle Rock est une série d’anthologie d’horreur psychologique basée sur la ville fictive de Castle Rock, dans le Maine, créée par Stephen King. La série entrelace différents personnages, thèmes et histoires de l’univers de King, donnant vie à un monde étrange et inquiétant où la réalité et le cauchemar se mélangent. Avec un casting talentueux et une intrigue captivante, Castle Rock tient les spectateurs en haleine à chaque épisode.

Découvrez les personnages de Castle Rock

The Kid

Ok, le Kid, c’est ce truc à la fois terrifiant et incroyablement triste qui traîne dans les recoins de Castle Rock — on ne sait jamais s’il est tout jeune ou si son âme a des siècles. Il a un regard vide mais parfois il sourit comme un gamin qui a trouvé un trésor (ou un insecte, je jure). Il fait des choses horribles et ensuite il s’assied et regarde des nuages, comme s’il essayait d’apprendre à être normal, ou du moins c’est ce que j’imagine. Parfois il parle, parfois non — vraiment imprévisible, comme un orage qui finit par raconter une blague. Ah et il collectionne des boutons? Non, ou peut-être des cailloux… bref, mystérieux.

Henry Deaver

Henry, c’est le type cassé mais résolu, l’avocat hanté qui revient à Castle Rock comme si la ville l’aimait et le griffait en même temps. On sent tout de suite qu’il porte une histoire lourde sur les épaules, il est calme mais avec une colère froide qui peut surgir — pas toujours violent, souvent juste tellement fatigué. Il a ce côté empathique, il veut comprendre les monstres (ou se comprendre lui-même), et parfois il pleure pour des chansons ridicules en voiture — oui, vraiment. Il s’accroche aux petites preuves, aux dossiers, aux anecdotes, mais il oublie parfois où il a mis ses clés; très humain.

Annie Wilkes

Annie! Oh man, elle est à la fois adorable et absolument terrifiante, genre l’hypermamie qui te fait un gâteau et ensuite… t’empêche de respirer (métaphoriquement et parfois pas). Elle peut coudre un pull moelleux puis casser une chaise en deux — elle a des compétences très variées, clairement. Sa voix douce cache des éclats de folie et des décisions qui te laissent sans voix; elle croit fermement au bien et au mal à sa façon, ce qui est très… dangereux. Et elle aime les sucreries? Non, attends, elle adore les sucreries mais déteste les cornichons, ou l’inverse — je mélange toujours.

Molly Strand

Molly, c’est la fille solide du coin, genre « je gère les problèmes » avec une tasse de café toujours à portée de main et une cicatrice (physique ou émotionnelle, choisissez). Elle est probablement la personne qui connaît tout le monde et en même temps n’en dit presque rien; loyale jusqu’à la moelle mais réservée. Elle a des réflexes de protection incroyable, du genre qui t’empêche de traverser la route quand tu es trop têtu, et elle joue peut-être du ukulélé dans le sous-sol? Oui, ça paraît étrange mais j’ai l’image dans la tête. Parfois dure, parfois douce, et parfois elle sourit à des choses que personne d’autre ne voit — ou elle sourit parce qu’elle a gagné au bingo, je ne sais plus.

John ‘Ace’ Merrill

Ace, c’est le portrait classique du méchant local: charmeur, cruel, et totalement imprévisible — tu le détestes mais en même temps tu regardes quand il entre dans une pièce. Il dirige, intimide, et a toujours une blague bordeline prête, souvent suivie de quelque chose de méchant; un vrai leader de bande. Il a une fierté presque enfantine pour des trucs idiots (comme des trophées poussiéreux ou une vieille voiture), et il hurle quand on lui manque de respect — très théâtral. Parfois il montre un côté presque protecteur envers certains, ce qui rend tout encore plus compliqué; bref, dangereux mais fascinant.

Abdi Howlwadaag

Abdi est ce pilier calme du quartier, quelqu’un qui parle doucement mais sait dire les choses quand il le faut — un peu papa pour tout le monde, même s’il s’en défend. Il a ce sens de l’humour sec, parfois il sort des blagues qui tombent à plat, puis il hausse les épaules et ça devient mignon. Il porte toujours une vieille montre qui ne marche pas mais il insiste pour la garder — sentimental, oui, un peu contradictoire. Il est résilient, généreux, et il a des histoires que personne ne croire mais tout le monde écoute quand même.

Jackie Torrance

Jackie traîne avec la lourde réputation de son nom (oui, Torrance, pas besoin de le rappeler mais je le fais quand même), et elle essaie tellement fort d’être « normale » que ça en devient touchant. Elle bosse dur, sourit vite et parfois laisse échapper des éclats de colère qui surprennent — comme si un petit volcan dormait en elle. Elle adore les mots croisés et déteste les romans d’amour mais pleure pendant les publicités, ce qui est hilarant et humain. Parfois elle dit qu’elle ne croit pas aux fantômes, et puis elle cligne des yeux très vite quand quelqu’un mentionne la cave; contradictions, moi j’aime.

Dr. Nadia Howlwadaag

La Dr Nadia, sérieusement, c’est la personne qui garde la tête froide quand tout s’effondre — professionnelle, brillante, un peu trop honnête parfois. Elle a des mains sûres, des diagnostics précis, mais elle cache une playlist d’émo des années 2000 qu’elle écoute en secret, oui c’est mignon. Elle est protectrice envers sa famille et incorruptible au travail, mais elle peut être étonnamment sentimentale devant une vieille photo, ce qui te surprend. Parfois elle donne des réponses cliniques, parfois elle parle comme une tante — pas toujours cohérent mais très réel.

Ruth Deaver

Ruth, c’est la mère qui essaie de recoller les morceaux, douce avec un fond de nervosité comme un chien qui s’assoit trop près de la porte. Elle a des prières, des recettes et des secrets, et souvent ces secrets la suivent comme une ombre qu’elle ne regarde jamais. Elle paraît fragile mais elle a des nerfs d’acier quand il faut — du genre à affronter l’indicible avec une casserole à la main (oui, je la vois tenir une casserole, ne me demandez pas pourquoi). Parfois elle rit trop fort, parfois elle murmure, et parfois elle oublie pourquoi elle est entrée dans une pièce; très humaine.

Joy Wilkes

Joy est cette boule d’énergie étrange: à la fois lumineuse et cassée, elle sourit beaucoup mais ses yeux racontent une autre histoire. Elle a des rêves d’artiste, griffonne tout le temps et colle des choses dans des carnets que personne d’autre ne comprend — collages, tickets, miettes, peut-être des herbes séchées aussi. Elle adore sa mère d’une manière compliquée et parfois elle crie dans la voiture après la radio; impulsive, oui, mais incroyablement vraie. Parfois elle est courageuse au point d’être téméraire, parfois elle reste cachée sous une couverture pendant des heures; on ne s’ennuie pas avec elle.

Chris Merrill

Chris, c’est le type qui a grandi dans l’ombre d’Ace et qui porte encore des blessures d’enfance comme un uniforme trop grand. Il a ce côté rugueux — bagarreur, loyal, un peu perdant — mais il lit parfois des poèmes à voix basse, ce qui casse tout et te rend triste. Il se comporte souvent comme s’il savait tout mais en vérité il improvise beaucoup, ce qui est à la fois pathétique et touchant. Parfois il veut changer, parfois il retombe dans les mêmes vieux schémas; humain, bancal, irrésistible à sa façon.