À propos du The Tourist en quelques mots:

Le Touriste est une mini-série palpitante en six parties qui suit un homme britannique (joué par Jamie Dornan) souffrant d’amnésie qui se retrouve dans le bush australien. Alors qu’il essaie de découvrir sa véritable identité, il doit naviguer dans des situations dangereuses et éviter ceux qui sont à sa poursuite. En chemin, il rencontre une variété de personnages, chacun avec leurs propres motivations et secrets. La série est pleine d’action, de suspense et de rebondissements inattendus qui vous tiendront en haleine.

Rencontrez les personnages de The Tourist

The Man

Ah, le type mystérieux — la mécanique même du film. Toujours un peu paumé mais terriblement élégant, il a ce chic improbable pour se retrouver dans des histoires qui le dépassent (et parfois il ment sur son propre prénom, je crois?). Il parle peu, observe trop, et on jurerait qu’il a des souvenirs qui viennent et partent comme des bateaux dans le brouillard. Et pourtant, malgré tout, il garde une sorte d’humour sec — parfois il sourit pour une raison qu’il ne comprend pas lui-même.

Helen

Helen, c’est le calme apparent avec un feu sous la glace; genre elle sait tout, mais elle feint l’étonnement comme un art. Elle est brillante, hyper pragmatique, et d’une loyauté surprenante — parfois trop, au point de se mettre en danger pour des gens qu’on ne voit même pas encore. J’adore ses micro-gestes, ces petites manies (elle range toujours son stylo dans le même sens, oui, j’ai regardé). Parfois elle paraît froide, et puis deux secondes après elle fait quelque chose de complètement impulsif — contradiction totale, et c’est parfait.

Luci

Luci, oh Luci, elle est à la fois rafraîchissante et un peu imprévisible, comme une chanson pop qu’on chante n’importe quand. Elle parle vite, rit souvent, et cache une sensibilité presque naïve — enfin, naïve jusqu’à ce qu’elle sorte une remarque coupante qui cloue tout le monde. Elle collectionne des objets bizarres (des billets, des cartes postales écrites à l’envers, oui vraiment), et j’en suis presque jaloux·se. Parfois elle donne l’impression d’être hyper organisée, puis perd son passeport dans la même journée, classique Luci.

Billy

Billy, le genre de mec qu’on remarque tout de suite — voix rauque, gestes amples, un peu trop confiant mais pas désagréable. Il adore raconter des histoires, parfois tellement embellies qu’on se demande si c’est du cinéma ou de la mémoire défaillante. C’est le cœur sympa du groupe, celui qui fait des blagues au mauvais moment et qui finit par ramener tout le monde à la réalité. Il a un faible inexplicable pour les biscuits secs et pour caller des vieux morceaux de guitare au milieu d’une conversation sérieuse.

Sue

Sue est douce mais déterminée, la preuve vivante que la gentillesse n’exclut pas la force. Elle a cette façon de fixer les choses jusqu’à ce qu’elles deviennent claires — un peu comme si elle effaçait le flou autour d’elle à force de volonté. Elle parle bas, presque conspiratrice, et pourtant elle peut exploser en un rire qui remplit la pièce. Parfois elle paraît super organisée (elle a un carnet, oui), mais d’autres fois elle perd ses clés dans le frigo — ne me demandez pas pourquoi, c’est Sue.

Ralph

Ralph, c’est le type rugueux mais finalement touchant, vous voyez le cliché qui marche pourtant? Il joue souvent le rôle du colosse taciturne mais il adore les petites choses — un oiseau incongru, un café trop sucré, des films en noir et blanc, tout ça. Il est loyal jusqu’à l’excès, parfois obstiné, et franchement il peut surprendre par des gestes d’une grande tendresse. Il fume peut-être un peu trop; ou pas, à vrai dire je l’ai vu avec et sans cigarette le même jour, donc je ne sais plus.

Lachlan

Lachlan a ce truc un peu sauvage mais cultivé — genre il pourrait lire du poetry slam avant de casser une porte. Il est brillant, impatient, et toujours à deux pas d’une idée dangereuse mais géniale. J’adore qu’il porte toujours un foulard (ou est-ce une écharpe?) et qu’il ait l’air d’avoir dormi trois heures; dramatique et efficace. Parfois il exagère ses propres blessures pour attirer l’attention, mais parfois il les cache tellement bien qu’on se demande s’il en a vraiment.

Kostas

Kostas, c’est la voix du terrain, brutale et directe, mais pas dépourvue d’humour — souvent noir, certes. Il a un passé qui colle, des mains solides et une façon de dire la vérité qui fait mal mais qui éclaire en même temps. Il collectionne des anecdotes de voyages (certaines plausibles, d’autres… moins), et il a ce tic de jouer avec une pièce de monnaie quand il réfléchit, ou peut-être c’était un stylo, je mélange tout. En un mot: fiable jusqu’à l’imprévisible, ce qui est, je sais pas, franchement intéressant.