À propos du The Handmaid’s Tale en quelques mots:

La Servante écarlate est une série dystopique basée sur le roman du même nom de Margaret Atwood. Située dans une société totalitaire où les femmes sont forcées de porter des enfants pour la classe dirigeante, la série suit l’histoire d’Offred, une Servante qui doit naviguer dans un monde dangereux et oppressif tout en essayant de se réunir avec sa famille. Avec des thèmes d’oppression, de résistance et de lutte pour la liberté, La Servante écarlate est une série captivante et stimulante qui a capturé les cœurs et les esprits du public du monde entier.

Rencontrez les hommes de La Servante écarlate

Fred Waterford

Fred, oh là là, c’est le type qui te glace le sang tout en souriant comme si tout était normal — le charme hypocrite incarné. Contrôlant, cérémonieux et toujours impeccablement habillé, il aime que les choses aient l’air propre même quand c’est pourri à l’intérieur. On peut presque l’imaginer triant ses boutons de manchette par ordre alphabétique (sérieux, je le vois bien faire ça), et puis il y a ce côté fragile qui apparaît parfois, mais est-ce de la stratégie ou de l’âme ? Bref, il incarne la menace polie, le genre qu’on déteste mais qui fascine, et je jure qu’il a un pull en cachemire qu’il porte quand il lit des discours — ou alors c’est du satin, je sais plus.

Nick Blaine

Nick, c’est le mystère doux qui te rend confus·e — calme, patient, et toujours un peu ailleurs, comme s’il écoutait une radio que personne d’autre n’entend. Il a ce mélange bizarre de loyauté et de secret, tu veux lui faire confiance mais tu sais qu’il a des poches pleines de choses qu’il ne montre pas (clés, cigarettes, bonnes intentions?). Super tactile parfois, distant d’autres fois; il peut te sourire comme si le soleil venait de se lever puis disparaître trois secondes après, j’adore ce côté imprévisible. Et oui, il conduit peut-être une vieille voiture ou alors il n’a jamais appris à conduire — dépend du jour — mais il sent bon le café tiède et la mélancolie.

Luke Bankole

Luke, c’est l’âme droite et prête à se battre, le type qui te serre la main avec une force tranquille et qui ferait tout pour protéger sa famille et sa communauté. Il est malin, pragmatique, un leader discret (pas du genre à crier dans les réunions, plutôt à planter des idées et les laisser pousser), et il a cette patience infinie qui te rend tout à fait jaloux·se. J’ai toujours l’image de lui en train de bricoler quelque chose dans un coin — un vélo, un moulin à vent, un repas improvisé — et parfois il chante faux sous la douche, c’est adorable. Parfois il est dur, parfois tendre, et parfois il oublie ses clés, ce qui est humain et un peu drôle pour quelqu’un d’aussi déterminé.

Joseph Lawrence

Lawrence, oooh, le manipulateur intellectuel, style bon goût et discours réfléchis, toujours enveloppé dans un vernis de rationalité qui donne envie de l’écouter… et de lui taper dessus en même temps. On sent qu’il croit à ses propres justifications, ce qui le rend terriblement dangereux: il réécrit la morale comme on arrange un tableau, avec soin et distance clinique. Il collectionne des livres, des idées et, apparemment, des petites vignettes — ou c’est des timbres, je mélange — et il a ce sourire un peu triste comme s’il connaissait trop bien le monde. Paradoxal, cultivé et souvent sinistre, c’est le genre de type qui te tend la main en parlant de réforme et qui ferme la porte derrière toi sans un remord apparent.

Warren Putnam

Warren, boum, personnage qui te file le cafard, ancien camarade d’un passé qui sent la nostalgie réactionnaire et la mauvaise conscience cachée sous un chapeau trop serré. Franchement, il fait partie de ces hommes qui pensent que le monde doit rester figé et qui grincent dès qu’une idée bouge, bref pas le mec qu’on invite à une fête si on veut danser. Mais — et c’est important — il a aussi des petites habitudes ridicules, genre il collectionne des porte-clés de villes qu’il n’a jamais visitées, ou il parle à sa plante en lui expliquant la guerre froide, c’est bizarre mais humain. Il est dur, parfois mesquin, et on le sent prêt à tout pour préserver son confort; oh et il déteste les spores, je crois, ou il adore les spores, enfin, quelque chose comme ça.

Mark Tuello

Mark, ah Mark, le bureaucrate au grand cœur (oui, sérieux!), officieux, toujours avec un dossier sous le bras et un sourire un peu guindé mais sincère. Il joue le jeu diplomatique, bidouille des papiers, grince parfois des dents devant l’absurdité du monde, mais au fond il essaie d’aider — maladroitement, souvent, mais il essaie. J’adore l’imaginer manger des céréales pendant des conférences, ou mettre sa montre à l’envers par accident, petites touches humaines qui percent la façade. Il est parfois trop optimiste (naïf? non, juste… espérant), et ça fait du bien, même si ça le met dans des situations impossibles à gérer.