À propos du Severance en quelques mots:

Severance est une série palpitante d’Apple TV+ qui suit un groupe d’employés d’une mystérieuse entreprise technologique alors qu’ils essaient de découvrir la vérité sur leur employeur et les événements étranges qui se produisent dans l’entreprise. La série met en vedette un casting talentueux comprenant Adam Scott, Patricia Arquette et John Turturro, et promet de maintenir les téléspectateurs au bord de leur siège avec son intrigue intrigante et sa narration pleine de suspense.

Rencontrez les personnages de Severance

Mark Scout

Mark, c’est ce type qui semble porter la culpabilité du monde dans ses poches — toujours en train de regarder par la fenêtre comme s’il essayait de racheter quelque chose. Il était chirurgien, il sait réparer les choses mais il passe parfois des heures à ne rien faire de concret, go figure. Observateur hyper attentif mais distrait par une vieille liste de courses qu’il a écrite au stylo qui fuit, il donne l’impression d’être à deux vitesses: moteur fort mais freins à mains. Il est sérieux, plein de nostalgie, et puis parfois il lâche une blague tellement sèche que tu te demandes si c’était voulu. J’ai l’impression qu’il collectionne des reçus et des souvenirs qu’il jette ensuite, ou bien il les garde — je sais plus, comme lui, un peu confus mais profondément humain.

Helly

Helly, wow, elle entre dans une pièce et tout change d’atmosphère, c’est juste ça — elle est en colère, vive, totalement incapable d’accepter la connerie sans réagir. Elle balance des vérités comme des coups de poing et puis, quinze secondes plus tard, te récite quelque chose de super lyrique et tu te demandes si elle n’est pas deux personnes à la fois. Impulsive, loyale à sa façon (même si elle te le dira jamais calmement), elle a des réactions brutes mais parfois étonnamment délicates — elle a un cœur tendre, oui oui je l’ai dit. Elle fume peut-être pas mais elle casse des stylos quand elle est nerveuse, et j’aime cette image, c’est bête mais vrai.

Irving

Irving, c’est l’homme des procédures: il adore les routines, les horaires, la ponctualité, et il te parlera de son club de lecture comme si c’était la Sainte Bible. En même temps il est si anxieux qu’il peut rougir en répondant à un compliment, paradoxal mais sincère, et il vous expliquera la signification d’un mot juste après t’avoir serré la main trop fort. Il a des manières d’un autre temps, des références rétro, mais il sait aussi être d’une fidélité presque douloureuse envers ses collègues. Parfois il dit des choses qui n’ont aucun rapport, genre il commence à parler trains miniatures en plein meeting — je me demande s’il n’a pas un diorama secret chez lui.

Dylan

Dylan, c’est le clown du groupe mais pas le clown stupide; il dédramatise tout avec de l’humour un peu bancal, toujours prêt à faire une blague, souvent à se moquer de lui-même, et c’est charmant. Il ressemble à un ado qui n’a jamais grandi complètement — collectionne des bonbons, des blagues, et probablement des playlists honteuses — mais il est loyal comme un chien. Paradoxalement il joue au dur et pleure devant un dessin animé ; j’ai vu ça, c’est réel. Il donne l’impression que tout va bien parce qu’il fait des blagues, mais si tu gratte un peu tu trouves quelqu’un de très sensible.

Milchick

Milchick est la figure autoritaire qui te serre la vis tout en te regardant avec un sourire qui veut dire « fais ce que je dis ». Il est froid, manipulateur parfois, et adore le pouvoir bureaucratique plus que tout — des formulaires, des règles, yummy pour lui. Mais attention, il a des petites bizarreries: il fredonne parfois des airs de comédie musicale en classant des dossiers, et apparemment il a une plante verte qu’il arrose religieusement, ce qui humanise un peu la bête. Il inspire la crainte, mais aussi une sorte de curiosité morbide: pourquoi ce type aime tant les stylos dorés ? Aucune idée, mais ça le rend fascinant.

Harmony Cobel

Harmony, la grande patronne au sourire impeccable et aux mains très propres sur tout le monde — elle est glaciale, stratégique et incroyablement charmante quand ça l’arrange. Elle peut te convaincre que perdre est une opportunité et te vendre la fin du monde comme un plan parfait, j’exagère à peine. Parfois elle paraît presque maternelle, puis deux secondes plus tard elle fait une chose totalement calculée qui te brise le cœur (gentiment, avec une brochure). Elle porte des tailleurs immaculés, collectionne des tasses à thé improbables et prétend ne jamais boire de café alors que je suis sûr qu’elle a un mug caché sous son bureau.